Le blog de L'esclave

Vers 20h00, samedi dernier, le Maitre m'a ordonné de monter au donjon.
Il m'a attaché sur la croix de st andré, avant de me mettre des pinces aux seins.
Pas le modèle standard : des pinces genres pinces à linge, mais très grosses, en metal, lourdes.
Puis il est reparti.
Je suis resté comme ça, suspendu, les tétons douloureux, une demi heure 3/4 d'heure.
A un moment, j'ai entendu sonner, puis des voix et des pas.
Le Maître est entré, accompagné de Cédric, la salope qu'il utilise depuis quelques mois pour me vider les couilles.
Cédric est sublime, taille moyenne, très mince, look minet.
Dommage qu'il ne soit pas maso. Le Maître nous aurait volontiers accouplé.

Il s'est dessapé, ne gardant que son jockstrap, très mini, rouge, hypersexy.
Il s'est approché de moi, m'a retiré les pinces.
"Ca te fait pas trop mal" ?
"Non, je suis là pour ca, j'ai l'habitude".
"Moi, je tiendrais pas"

Il a commencé par me rouler une pelle, tout en frottant son sexe ontre ma teub.
C'était génial. J'ai bandé au quart de tour : ca faisait 3 semaines que je n'avais pas juté.
On s'est embrassé un long moment.
Je me laissais faire : de toute manière, suspendu sur la croix, bars et jambes écartées, je ne pouvais rien faire d'autre.

Cédric s'est ensuite occupé de mes tétons, pour les lécher, les sucer doucement. Ils me faisait mal, à cause des pinces que j'avais portées pendant 3/4 d'heure. Mais sa langue me faisait du bien.

Le Maître, de son côté, s'est installé dans le fauteuil et nous matait.

Cédric a continué en me sniffant puis en me lèchant les aisselles, puis le torse, tout en continuant à frotter son sexe contre ma queue turgescente.

Comme je bandais comme un fou, mon Maître s'est levé et a pris un lacet. Il a dégagé Cédric pour m'attacher les couilles, hyperserrées, avant de faire un noeud à la base de ma teub, pour m'empêcher de jouir trop vite.

Cédric, pendant ce temps, s'etait poppérisé bien à fond.
"Tu en veux ?" "Ouais"
Il m'a fait sniffer bien à fond, avant de recommencer ses jeux.
J'étais excité à mort. Je ne pouvais pas bouger mais ses caresses, sa langue me rendaient fou de désir.
Ca a duré un bon moment, puis le Maître a repris la main.

Il m'a planté une aiguille dans chaque téton, avant de prendre une cravache pour me cingler de 10 coups sur le torse, et cinq sur le sexe.

Cédric s'est mis à genoux pour s'occuper de mes couilles. Il a commencé par les lècher, doucement, lentement, avant de les prendre en bouche pour les sucer.
C'était bon.
Après les couilles, ça a été le tour de ma queue.
Malgré le bondage, je triquais a fond.
Mes seins me faisait mal.
J'était chauffé à blanc.
Il a commencé par me lècher la teub.

"Tu bandes bien, tu as une queue géniale"

Il m'a décalotté le gland et l'a lèché à son tour, longuement, doucement.
Je mouillais à fond.
Il m'a mis l'index en bouche, pour que je l'enduise bien de salive, avant de me frotter le gland.
J'en pouvais plus, je gémissais de plaisir.
Enfin, il m'a pris en bouche et à commencé à me pomper.

J'essayais de me retenir au maximum, mais, malgré mes couilles attachées, chargées comme elles l'était de 3 semaines de jus, j'ai pas réussi à tenir longtemps.

Le foutre a giclé, à long traits, par terre, a plusieurs reprises. Je gueulais de plaisir.
J'étais complètement vidé.

Le Maître a ordonné à Cédric de se foutre à 4 pattes et lui a mis du gel, massant longuement sa chatte.
Puis il lui a fait sniffer du popps, a mis une capote et l'a enfilé, comme une chienne.
Cédric gémissait de plaisir quand le Maître a joui.

De mon côté, j'étais toujours attaché, les aiguilles dans les tétons.

Après avoir joui, le Maître a demandé à Cédric de me branler.
"Il a encore du jus. Il faut que tu le vides complètement".

Ma queue me faisait mal, mais ça ne m'a pas empêché de jouir a nouveau.
"Continue, je veux qu'il ne lui reste plus une goutte de foutre".

Cédric a continué un long moment. Quand je giclais, il s'arrêtait quelques instants, pour me lècher à nouveau le torse, les couilles, le Maître me re-popperisait et ils recommençaient.

J'ai giclé 5 fois de suite. J'en pouvais plus.

Le Maître s'est approché pour me palper, me travailler les couiles.
"Bon, je crois que c'est bon pour cette fois"

Il m'a enlevé les aiguilles,  le lacet que j'avais gardé toute la soirée autour de mes boules.
Elles me faisaient mal.
Il m'a détaché, m'a mis la CB (même si avec ce que j'avais giclé, je ne risquais pas de me branler), puis m'a mis en cage.

"Je m'occuperai de toi demain. Cédric passe la nuit ici, mais demain je devrais te punir pour avoir joui comme tu l'as fait".
"Oui, Maître. Je l'accepte par avance"
Sam 16 jan 2010 Aucun commentaire