Le blog de L'esclave

Le Maître était invité ce week end.

Vendredi soir, il m'a livré à Karim.

Nous sommes arrivés chez lui vers 21h00.

Immédiatement, Karim m'a ordonné de me foutre à poil.

Lui et le Maitre ont bu un verre, puis le Maître est reparti.

 

Karim s'est absenté pour passer un coup de fil. J'attendais, nu, à genoux.

Quand il est revenu, il était en slob. Il a commencé par m'enlever ma cage à bite  et m'a ordonné de le lécher.

 

Une dizaine de minutes plus tard, on a sonné à la porte.

Karim a été ouvrir. Il est revenu avec 3 autres mecs, deux beurs et un renoi, dans les 20/25 ans.

 

"Salue mes potes, bâtard"

J'ai été m'agenouiller à leurs pieds pour les sniffer, leur lécher l'emplacement du zob.

 

Le renoi a sorti sa queue. Il bandait un max. Il avait de grosses couilles, pendantes. J'ai foutu mon nez dessus, pour bien les sniffer, avant de les prendre en bouche puis de lui lécher la queue.

 

Pendant ce temps, les deux rebeus se déssapaient.

 

Un de rebeus s'est approché :

"Bouffe moi le trou". J'ai lâché le black pour m'occuper de lui, lui bouffer sa rondelle, la pénétrant avec ma langue, pendant que les autres mataient.

 

Le dernier m'a ensuite forcé à me relever. "Les mains sur la tête"

Il a commencé à me faire les seins.

Je gémissais doucement.

 

"Suce maintenant". Je me suis remis à genoux et j'ai commencé à sucer.

Le plus jeune des rebeus, d'abord. Sa bite a gonflé, je l'avais bien en bouche, elle était raide, dure.

Une fois bien en érection, le renoi a pris le relais.

 

Sa queue était la plus grosse. Ce salaud me l'enfonçait a fond dans la gorge.

Enfin, j'ai eu droit au dernier rebeu.

 

Pendant que le suçais, le black s'est mis derrière moi, a mis une capote et m'a enfilé.

Comme toujours, je n'avais pas eu droit à du gel.

"Laisse moi me poppériser"

"OK, sniffe bien, tu en auras besoin"

 

Vu la taille de son engin, il a eu du mal à me la mettre. Une fois en moi, il s'est déchainé, me défonçant le cul jusqu'à la garde.

 

Je continuais à sucer le rebeu.

 

Le black a fini par jouir.

"A nous maintenant, on va te filer nos deux zobs, commence par t'empaler sur moi"

Le plus jeune des beurs s'était allongé par terre et a enfilé une capote. Je me suis mis sur lui.

Ma chatte était déjà bien ouverte, je n'ai pas eu de mal à la prendre.

Puis, je me suis allongé sur lui, offrant mon trou, avec déjà une queue dedans à son pote.

Il s'est mis à 4 pattes pour me prendre à son tour.

Pendant qu'il enfilait une capote, j'en ai profité pour reprendre du popps.

 

Karim pendant ce temps nous matait.

J'avais deux queues de beurs en moi et tous les deux bandaient à mort.

Ils ont commencé à me limer, en synchronisant leurs mouvements.

Mon cul était complètement éclaté, ça faisait mal, mais c'était le pied.

J'étais vraiment traité comme un trou.

 

C'est le plus âgé qui a joui le premier, le deuxième s'est déchargé tout de suite après.

 

Après leur départ, Karim m'a foutu à genoux pour que je m'occupe de lui.

Il bandait comme un fou. Je l'ai caressé, léché, sucé.

 

"Viens dans la chambre"

Il m'a attaché sur le pieu, bras et jambes en croix, avant de se mettre sur moi, à 4 pattes et de me fourrer sa teub en bouche.

Il m'a laissé le sucer un moment, puis s'est relevé et a pris son ceinturon pour me cingler les couilles.

Je gueulais, mais ce salaud en avait rien à foutre.

Après les coups, il m'a torturé à la bougie, faisant couler de la cire sur mon torse, mes tétons et surtout mon gland.

Pour finir, il m'a détaché, a enfilé une capote qu'il a enduite de harissa et m'a défoncé le cul à son tour.

Ca faisait un mal de chien. Mais j'étais là pour ça.

 

Il était plus de minuit.

"J'ai envie de chier. Pendant ce temps, commence à faire le ménage. Y a de la vaisselle et la cuisine est crade. Pour les assiettes, tu utiliseras ta langue. Ca te fera à bouffer pour ce soir".

Avant d'aller aux chiottes, Karim m'a accompagné à la cusiine.

Elle était effectivement crade. Il y a avit des assiettes avec des restes de pizzas, des verres sales, le tout en vrac.

Il a pris les assiettes avec les restes de pizza et a pissé dessus.

"Ca leur donnera plus de goût. Bouffe"

Je commençais par bouffer les restes de pizzas. J'avais la dalle.

Puis j'ai commencé à ranger et à faire la vaisselle.

 

Je n'avais pas fini, que Karim m'appelait.

"J'ai fini de chier, nettoie moi le cul"

 

Il savait que je détestais ça. Le Maître ne pratique pas les plans scats (il trouve que ça n'offre aucun intérêt) mais Karim ça l'excite. Je me suis mis à genoux et j'ai commencé à lui bouffer le cul, malgré mon dégoût.

"Vas y plus profond. Sert toi de ta langue. Une raclure comme toi, ça sert à ça"

Je lui ai nettoyé le cul à fond, bouffant sa merde.

 

"Ok, il est tard. Tu dormiras par terre au pied de mon lit, au cas où j'ai besoin de tes services.

Tu mets le réveil sur 6 heures et demi. Tu me réveilleras à 7 heures et demi, avec mon petit dej. Je veux des croissants frais. T'as de la thune ?"

"Oui, le Maître m'a laissé 100 €"

"Ok, la boulangerie ouvre à 7 heures".

 

Karim m'a remis ma cage a bite et je me suis allongé par terre.

 

 

 

 

 

Lun 12 jui 2010 1 commentaire
Humm toujours aussi excitants tes récits. T'as le sens du détail qui fait tout !
Continue,
Aranaud S
sadic.arnaud - le 29/07/2010 à 12h02