Le blog de L'esclave
Le Boss m’a fait monter à l’avant. J’étais en jean moulant et tshirt, nu sous mon jean, les couilles serrées dans un ballstretcher métal, de sorte que s’il le souhaitait il pouvait me les travailler tout en conduisant.
Le trajet jusqu’à Bordeaux nous a pris 4 heures et demie environ, en s’arrêtant une fois sur une aire de repos et une fois pour prendre de l’essence. Le plein et les péages étaient à ma charge, indépendamment du « forfait » de déplacement prévu.
Avant d’arriver, je devais déjà au Boss plus de 200 €.
Il s’est arrêté une première fois après un peu plus de deux heures, sur une aire de repos. Il n’y avait personne. On a été aux chiottes pour handicapés et il m’a fait mettre à poil, puis à genoux.
« J’ai envie de pisser. Il paraît que tu aimes ça »
Il a sorti son zob, tout en gardant son fute et me l’a fourré en bouche avant de se vider la vessie. J’ai tout avalé.
« Tu es vraiment une sous merde. Ca me donne envie de jouir »
Il m’avait déjà enfilé avant de partir, mais visiblement, il avait de la ressource. J’ai commencé par lui lécher le gland, pour recueillir ce qui restait de pisse et je l’ai repris en bouche, pour le sucer, longuement.
Très vite, il a recommencé à bander.
Sa queue a très vite atteint une taille respectable, bien dure, tendue.
Je lui ai demandé de mettre une capote, comme convenu, ce qu’il a fait.
« Rassure toi, je ne vais pas te jouir dans la gueule. C’est ton cul que je veux »
Il m’a fait me relever.
« Je peux me poppériser, Boss ? »
« Non. Je sais que ton Maître te laisse abuser du poppers autant que tu veux mais avec moi, ce sera réservé uniquement aux grandes occasions. Quand j’encule, j’aime pas que la pute ait le cul trop détendu. Je veux que tu sentes un max la queue, que ça te fasse mal »
« Bien Boss. C’est vous qui décidez »
Je me suis mis devant les chiottes, jambes écartées, bras tendus, appuyé sur le couvercle.
Il a commencé par frotter sa teub contre ma chatte. Pendant ce temps, j’ondulais doucement du bas ventre, pour l’exciter davantage et lui montrer mon désir.
Il m’a enfilé direct, à sec. Même si son engin était de taille moindre que celui du Maître, je l’ai senti quand il m’a défoncé. J’ai couiné, mais en même temps je bandais comme un ouf !!!!
Il m’a limé un moment avant de jouir.
« Tu as vraiment un bon cul. Je sens que je vais bien en profiter.
J’avais commencé à me rhabiller.
« Reste comme ça. Je veux fumer un clope. Tu fumes, toi ?
« Non, Boss. Mon Maître me l’a interdit »
Il a sorti une marlboro.
« Allume moi la clope »
« Je n’ai pas de briquet, Boss »
« Tiens, je te file le mien. C’est facturé 5 € sur ton compte. Quand je veux fumer, c’est toi qui m’allumera le clope »
« Oui, Boss »
« Et remets toi à genoux. C’est comme ça que tu dois être »
Je me suis agenouillé à ses pieds.
Il a tiré une dizaine de taffes, moi toujours à genoux. Puis, il a pris son clope et me l’a écrasé sur un téton. J’ai hurlé.
« On peut y aller maintenant »
Je me suis rhabillé et on est reparti.
A la station suivante il a fait le plein et j’ai dû lui payer un café, refacturé également, dans le cadre des « frais liés à mon exploitation ».
Pendant la première partie du trajet, nous n’avions quasiment pas parlé. Un bâtard ne doit s’adresser au Mâle que si celui-ci lui pose des questions. Sinon, il n’ouvre sa gueule que pour prendre la queue.
Sur la deuxième partie, il m’a posé des questions sur ma vie avec mon Maître, ce que je subissais, ce que je n’aimais pas ….
Il m’a également autorisé à lui en poser.
Ce qui m’intéressait avant tout, c’était comme il voyait la suite, mon taff ….
Sur le taff, c’était la nuit, de 22h00 à 4-5 h du mat environ, suivant le boulot. Le boulot consistait à dépalettiser des cartons, plus ou moins lourds, pour les remettre sur palettes en fonction des destinations. L’équipe de nuit était constituée de 8 mecs (plus le Boss), un chef d’équipe, 3 caristes, 5 préparateurs. Le taff le plus dur, c’était la préparation : on devait décharger chaque carton, le transporter sur un diable, le reprendre et le mettre sur la bonne palette. Quand la palette était pleine, les chargeurs la filmait avec du plastique, la prenait avec un chariot élévateur et la mettait dans le camion. Les deux caristes étaient céfrans, les préparateurs étaient ou des arabes ou des blacks. Le chef était un algérien de 35 ans.
Evidemment, je serais affecté comme opérateur et le Boss veillerait à ce que ce soient les cartons les plus lourds dont je devrais m’occuper.
« Les mecs, ils sont bi ? Ils savent que vous êtes homo ? Vous leur avez dit quoi ? »
« J’en sais rien, ce qu’ils sont. La plupart sont pas mariés. Ce que je sais par contre, c’est que c’est pas des intellectuels et que le cul, ils aiment. Ils savent pas que je suis homo et tu devras fermer ta gueule »
« Mais vous leur direz quoi ? »
« Que t’es là en intérim et que tu es un PD. Que tu es une vraie salope, que je t’ai essayé et que le gros avantage des tapettes, c’est qu’il y a pas mieux quand on as envie de niquer une gueule ou un cul »
« Et que tu seras à leur disposition pendant les pauses s’ils ont envie de te tirer. T’inquiète pas, ils t’essaieront tous »
On est arrivé à Bordeaux vers 21h00.
Le Boss était crevé, après un aller retour dans la journée.
On a été dans un restau, plutôt sympa.
Evidemment, la bouffe était à ma charge. 50 € en plus
Il habitait en proche banlieue. Un appart de 4 pièces. Après avoir joui deux fois durant l’aprèm, il avait les couilles sèches. Il s’est dessapé, ne conservant que son slob.
« Maintenant, tu avales une dernière fois ma pisse et dodo. Tu te fous entièrement à poil »
« Demain, c’est dimanche. Réveil à 10h00. Tu dormiras par terre, au pied de mon lit. Je sais que ton Maître te mets une cage à bite, mais c’est pas mon truc. Tu seras menotté, les mains dans le dos ».
Ca n’était pas très confortable pour dormir, mais je me suis endormi presque tout de suite.
tu as un Master?
Arnaud S.
servir un vrai mâle c'est ce que nous devons faire pour lui rendre la vie plus agréable nos trous notre corps lui appartient
suis jaloux je voudrais être exploiter comme toi
avis aux amateur