Le blog de L'esclave
Il était 6h et demi quand on est rentré. Le Boss m’a attaché et dodo. J’étais épuisé.
Le lendemain, même scénario que la veille : ptit déj vers 10h00, douche, un peu de rangement/ménage.
L’aprèm, le Boss s’est « occupé » de moi. Il m’a attaché sur le lit, bras et jambes écartées, m’a fourré son calbut dans la bouche, m’a bondé les burnes et a pris une baguette pour me les frapper.
J’ai morflé grave.
Après les couilles, ça a été le tour de mes tits, puis j’ai eu droit à une séance d’électro et de bougie.
Pour finir, il m’a foutu une bougie (petit modèle) dans l’urètre, l’a allumée et l’a laissée fondre, jusqu’à ce que mon gland soit recouvert de cire.
J'ai été récompensé par sa queue..
Le soir, on est retourné au taff.
Les mecs me regardaient d’un autre œil. Le fait que je sois à leur dispo pour se vider les couilles semblait leur plaire.
Ce soir là, y avait pas mal de boulot et ils n’ont pas eu droit à une séance avant de commencer.
Saïd était toujours sur mon dos, à m’engueuler parce que j’étais trop lent. Et évidemment, les cartons les plus lourds étaient pour moi.
A un moment, un des mecs, un autre beur, Hakim, qui m’avait déjà sauté la veille, est venu vers moi.
« J’ai envie de pisser. Y parait que t’aimes ça. Tu viens ? »
Je l’ai suivi aux chiottes et me suis mis à genoux. Il a sorti son braquemard et me l’a fourré dans la tronche. Il avait la vessie superpleine. J’ai tout avalé.
« T’es une bonne pute et j’aime bien ta gueule. Suce moi en vitesse, avant que Saïd gueule »
J’ai commencé à l’astiquer. Ca a pas duré longtemps avant qu’il crache son jus. Il avait sorti sa queue juste avant de jouir et s’est vidé sur mon sweat. J’étais couvert de foutre.
En revenant, Saïd a tout de suite repéré que j’avais vidangé Hakim.
« La fiotte, que tu serves de chiottes, OK. Par contre, que tu en profites pour te faire niquer la tronche, c’est pas prévu. Y a les pauses pour ça. Là, c’est sur ton temps de travail. J’en tiendrais compte tout à l’heure »
« Mais, Chef, c’est Hakim qui m’a obligé »
« J’en ai rien à foutre. Si un ouvrier t’oblige, tu t’exécutes. Mais ça empêche pas que après tu devras en subir les conséquences »
A la pause, le Boss nous a rejoints.
« Le PD, tu vas directs aux chiottes et tu te fous à poil »
J’ai obéi, me suis dessappé et mis à genoux.
Il m’a rejoint avec deux autres mecs dont Saïd. L’autre, c’était Omar, le premier à m’avoir sauté.
« Qui s’occupe de donner du goût à son sandwiche ? Saïd ? »
« Non, j’ai pas envie de pisser là »
Omar s’est « dévoué » :
« Moi, je veux bien »
J’ai mis son sandwiche dans un urinoir et il a pissé dessus.
Puis, il m’a ordonné de le sucer, avant de me mettre debout, les mains appuyées au mur, cambré et de me sauter.
Pendant ce temps, 3 autres mecs nous avaient rejoints.
J’ai eu droit à leurs queue, dans la gueule d’abord, puis dans le cul.
Vers 4 heures, on a fini.
Je suis retourné aux vestiaires, me suis remis à poil et j’ai eu droit à 3 autres bites. Le seul qui m'avait pas encore sautén, c'était le céfran, Joël.
Après que les gars soient partis, le Boss et Saïd m’ont rejoint.
Saïd a enlevé son ceinturon.
« Ce soir, t’auras 5 coups de ceinturon en plus. Ca t’apprendra à sucer pendant ton temps de travail »
J’ai eu droit à 25 coups de ceinturon, dont 10 sur le sexe.
Ensuite Saïd m’a fait me relever.
« Comme ouvrier tu vaux que dalle. Mais t’es un bon tarba. Le tarba a droit à une récompense. Déshabille-moi »
Je me suis approché de lui, et j’ai commencé à me frotter contre son corps.
Il m’a roulé une pelle, tout en me faisant les tits.
Je luis ai enlevé son tshirt et j’ai commencé à lécher. Ca lui plaisait visiblement.
Après l’avoir bien chauffé, je me suis à genoux pour lui lécher les pompes de sécurité.
« Couche toi sur le dos »
J’ai obéi et il m’a& envoyé 5 coups de pied dans les burnes. J’ai couiné.
« Maintenant, occupe toi de ma queue »
Je me suis refoutu à genoux, j’ai sorti son engin et j’ai commencé à sucer.
Il bandait super. J’ai eu le droit de goûter à son gland bien humide, à lui bouffer ses couilles d’arabe vicieux et à le sucer longuement.
Pour finir, il m’a foutu à 4 pattes et m’a sauté comme une pute.
« A demain »
Le Boss m’a ordonné de rester à poil. Il m’a foutu dans le coffre de la bagnole pour rentrer.
Une fois dans l’appart, il m’a attaché sur le pieu et m’a torturé à la bougie avant de se faire sucer et de m’enculer à son tour.
J'ai travaillé du mieux que je pouvais. Mais ça a pas empêché ce salaud de Said de me tabasser à chaque fois !!
Le coté souffrance humiliation, obeissance me fait bander un max.
Vite met toi a ton clavier.
Franck