Samedi 27 novembre 6 27 /11 /Nov 18:39

"Le mec, qui voulait un plan à 4, il est toujours partant ?"

"Oui, Boss. J'ai son tél"

"OK, je vais l'appeler. Le tarif que t'as négocié, c'est combien ?"

"300, Boss"

"Bon, tu va pouvoir payer tes dettes. File son tél, je vais l'appeler. Toi, tu vas aux chiottes. Tu fermes la porte. les conversations entre mâles, ça te regarde pas"

 

J'ai obéi.

 

J'avais fermé à la fois la porte du living et celle des chiottes, ce qui fait que je n'entendais rien.

 

J'ai poireauté un bon quart d'heure, à genoux.

 

Puis le Boss est venu me chercher.

 

"On s'est mis d'accord avec Hubert. Son slave a l'air particulièrement hard. Vous allez mofler grave. Je veux que tu sois à la hauteur, compris ?"

 

"Oui, Boss. Je serais à la hauteur"

"T'as intérêt, pédale"

"Bon, tu t'habilles. Jean, sweat, blouson. A poil sous ton jean. Tu gardes ton collier et tu prends une laisse. Tu embarques pinces à seins, menottes, gode gonflable, cravache, poids. Exécution"

"Bien, Boss"

 

Trois quart d'heure plus tard on arrivait chez Hubert.

Il habitait au centre ville, un immeuble plutôt classe, au dernier étage.

On a sonné.

Un mec est venu nous ouvrir, la cinquantaine, en jean. Plutôt bien foutu, mince, belle gueule de mec.

Ca devait être Hubert.

 

"Salut. Vous devez être Jacky et Christophe ? Entrez"

 

L'appart était super, très chic. Hubert à filé les biftons au Boss.

"J'espère que ta pute sera à la hauteur"

"T'inquiète, t'en auras pour ton fric"

"Stéphane nous attend dans le donjon. On sera plus à l'aise là haut. Je vous précède"

 

 

On est monté à l'étage. Le donjon était superéquipé. Grand, plancher, un sling, une croix de St André, une table d'examen, des suspensions, deux fauteuils et un canapé en cuir, une cage. Question matos aussi y avait ce qui faut.

 

L'esclave, Stéphane donc, était à 4 pattes, nu, collier et laisse autour du cou. Il avait des pinces aux seins, avec des poids qui les étiraient bien. Bomec, visblement régulièrement tabassé, à en juger par les marques sur son corps. Un tatouage "slaveregister" sur l'omoplate.

 

"Aux pieds, chienne. Salue le Mâle"

 

Il est venu à 4 pattes et a commencé à lécher les panards du Boss.

 

Je me suis agenouillé à mon tour, pour saluer Hubert, à ma façon. Sniffage et léchage de l'emplacement de son sexe. Ca a eu l'air de lui plaire.

 

"Intéressant comme façon de saluer le Mâle. Je retiens"

"Bon, Jacky, tu expliques le programme ?"

 

"Si tu veux. Bon, vous savez à quoi vous servez. Vous êtes de bâtards et vous êtes là pour dérouiller. Hubert s'occupera de Christophe et moi de Stéphane. Comme on va chacun découvrir le slave de l'autre, vous avez droit à un "code d'arrêt" si vous trouvez que c'est trop hard. Le code c'est "SVP stop". Si vous l'utilisez, ça veut pas dire qu'on arrête.  Le code devra être confirmé par Hubert pour Stéphane et par moi pour Chris. Rassurez vous, vous allez pas dérouiller toutes la nuit. On fera quelques pauses. Evidemment, vous dites vous et Monsieur si vous vous adressez à nous. C'est compris ?"

 

"Oui, Monsieur"

"Oui, Boss"

 

"Bon, Chris, tu commences par te foutre à poil"

 

Je me suis dessapé et mis à genoux.

Le Boss et Hubert se sont approchés et nous on fait nous mettre debout, jambes écartées, mains sur la tête, pour un examen détaillé.

 

Hubert a commencé par jouer avec mes tétons, mes couilles, avant de me doigter. Je ne bougeais pas, me laissant faire, comme il se doit pour un bâtard. Un esclave est un objet, il est normal que le Mâle l'examine en détail avant de l'utiliser.

 

"T'as déjà bien dérouillé aujourd'hui"

"Oui, Monsieur. Le Boss s'est occupé de moi"

"C'est bien. on va prendre le relai"

"Foutez vous dos à dos, les bâtards"

 

Hubert a pris un double gode et nous a dit de nous écarter un peu.

Il a commencé par me l'enfoncer dans le cul avant d'ordonner à Steph de venir s'empaler dessus.

 

"Collez vous bien l'un contre l'autre. Je veux que le god soit complètement enfoncé dans chacun"

 

On a obéi. Steph se frottait contre moi pour bien se l'enfoncer et me l'enfoncer en même temps.

 

"Parfait"

 

Pendant ce temps, le Boss avait pris des menottes. Il nous attaché les poignets, chacun attaché aux poignets de l'autre. Hubert lui a attaché nos colliers. On était dos à dos, serrés l'un à l'autre.

 

Le Boss s'et mis face à Steph et Hubert face à moi. Il a commencé par me faire les tétons. Doucement au départ, mais vu ce que j'avais déjà subi, ça faisait mal. J'entendais Steph gémir.

Hubert me travaillait les tits de plus en plus fort.

 

"Si ça fait mal, tu as le droit de gueuler. On est au dernier étage, y a pas de risque" 

Il y allait de plus plus en fort, le salaud.

Quand il a commencé à me les mordiller, hard, j'ai pas pu m'empêcher de couiner.

"Je vois que tu commences à réagir"

 

Il a continué un peu, puis a été prendre des pinces.

Il avait pris celles que j'avais ramenées, croco réglables et une paire à lui, normales, plus soft.

 

Il m'en a fixé une de chaque, et le Boss a attaché l'autre aux tits de Stephane. Je l'entendais gémir.

Hubert de son côté avait réglé le serrage de la croco au max.

J'ai encaissé sans broncher.

Le Boss voulait que je sois à la hauteur.

 

Après mes seins, ça a été le tour de mes couilles. Il a pris une tapette et a commencé à les frapper.

Doucement, puis de plus en plus fort.

Ca faisait mal, je me tortillais, toujours attaché à Stéphane.

Je ne voyais pas ce que le Boss lui faisait subir, mais ça devait commencer à être hard aussi, à en juger par ses couinements.

 

"Bon, Jacky, on leur fout un poids aux couilles?"

"Bonne idée. T'as quoi ?"

"Comme on va les attacher ensemble, il y aura deux paires de couilles. Le plus lourd que j'ai c'est 5 kilos"

"Ca me semble sympa"

 

Hubert a été prendre un poids, modèle lourd.

 

"Ecartez les jambes, les esclaves"

 

Il a pris une cordelette, nous a attaché les couilles ensemble, hyperserré, puis y a suspendu le poids.

 

"On leur en fout aussi aux tétons ?"

"Tant qu'à faire"

"J'ai du 900 g et des 300. On met les deux"

 

Ils nous ont retiré les pinces. Sur le moment, ça a fait du bien, mais immédiatement après on a eu droit aux poids.

 

On s'est retrouvé attaché l'un à l'autre, le god dans le cul, des poids aux couilles et aux tétons.

 

"Bon, vous commencez à ressembler aux bâtards que vous êtes"

"On va pouvoir passer aux choses sérieuses. Mais comme vous êtes de bonnes salopes, vous avez droit à du popps"

 

"Merci, Monsieur"

 

Hubert a été prendre deux flacons de jungle. Je n'en avais pas emporté.

Il en a filé un au Boss et m'a permis de me gazer à fond.

 

Le Boss, après avoir gazé Steph, a apporté deux cravaches. Il en a tendu une à Hubert et a commencé par cingler Steph.

Hubert a fait de même avec moi.

Il frappait fort. Je sentais Steph se tordre de douleur. Connaissant le Boss, il devait dérouiller.

Moi aussi.

Il avait commencé par me frapper sur le torse, puis sur le sexe

J'ai dû me prendre une vingtaine de coups, quand Steph a gueulé "SVP, Stop"

 

"Ok, on va les laisser se reposer quelques minutes"

"OK"

 

Hubert et le Boss sont allées s'asseoir dans les fauteuils, nous laissant debout, attachés l'un à l'autre.

 

 

 

 

 

 

Par L'esclave - Publié dans : Taff - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Commentaires

Salut. a quand la suite de ton dressage dans les landes..... ai hate de savoir et je pense ne pas être le seul.
Bonne soirée.
Un batard nantais
commentaire n° :1 posté par : slavbatar le: 12/12/2010 à 19h52

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