Il avait mis le réveil à sonner à 10h00. J’étais réveillé avant, mais il n’était pas question de le réveiller.
« Viens ici, la pute. Faut que je pisse »
J’ai réussi à me lever tant bien que mal. Pas évident avec les mains menottées dans le dos. Je lui ai retiré le slob avec mes dents, je l’ai pris en bouche et l’ai bu. Sa pisse était forte, franchement dégueu. Ca m’a pas empêché de tout avaler.
Après avoir pissé, il m’a enlevé les menottes.
« La boulangerie est en bas de la rue. Tu t’habilles, tu vas acheter deux croissants pour moi. Ils sont à ta charge. Le porte monnaie est sur la table. Pour toi, il doit rester un bout de pain. Mon café, c’est dans un bol avec du lait et deux sucres »
J’ai obéi. Un quart d’heure plus tard, je lui servais son café, comme demandé, avec les croissants. Pour moi, j’avais trouvé un bout de baguette rassie.
« Tu as aussi droit à un café. Tu peux te le faire »
Après avoir avalé nos cafés, il m’a fait visiter l’appart. Il n’avait pas, contrairement au Maître, de donjon équipé. Et le matos était limité. Cravache, menottes, cockring, tapette, quelques gods et pinces. J’avais emmené de mon côte un fouet, un transfo et ce qu’il fallait pour me torturer à l’électricité, des menottes, liens ….
« Ben oui, j’ai pas les moyens de ton Maître. Mais on fera avec et ça m’empêchera de te faire couiner. Pour nos plans, ce sera mon pieu ou la cave. Je te la ferai visiter tout à l'heure"
Chez le Maître, nous avons une douche très grande, ce qui fait que le matin, c’est moi qui assure sa toilette (il en profite pour me tirer). Là, dur de tenir à deux, surtout pour me faire violer.
« Pour ma toilette, tu t’en occuperas. Ta langue sert à ça. Mais commence par prendre une douche et fais toi un lavement. J'ai envie de m'occuper de toi".
Je me suis douché rapidement.
On a été sur le pieu. C'était un grand lit, avec un pied et une tête en métal, à barreaux. Je l’ai léché intégralement, des panards aux aisselles, devant, derrière. Son cul était pas très clean. J’ai horreur de ça. Mais c’était no choice. Ce serait à moi de m’adapter.
Après l'avoir décrassé, il m'a mis sur le ventre.
"Tu aimes la fessée ?"
"Je n'ai pas l'habitude. Ca branche pas mon Maître. Il préfère me cravacher sur le dos, le torse, le sexe"
"Faudra t'y faire, moi j'aime"
Il a commencé à me fesser avec ses mains. Il frappait fort. Puis il a continué, avec une cravache. Il cognait pour de bon.
"Bon, ça c'était juste pour commencer à te chauffer. On va passer aux choses sérieuses".
Il a pris un gode gonflable et m'a ordonné de me mettre à 4 pattes, avant de me l'enfiler.
"Maintenant, couche toi sur le dos"
"Comme tu vas morfler, tu as droit à du poppers. T'as vu, je suis compréhensif"
"Oui, Boss, merci"
Il m'a fait sniffer à ma guise, avant de m'attacher sur le pieu, par les poignets et les chevilles.
J'avais le god dans le cul, bien enfoncé. Il l'a gonflé à bloc. J'avais le cul total explosé.
"On va commencer par tes tétons"
Il me les d'abord travaillés manuellement. Il avait les ongles mi longs. Il me les pinçait, les tordait, hard. Ca a duré un bon moment. Comme je couinais, il m'a ordonné de la fermer, et, pour que je ne fasse pas de bruit m'a fourré son slob en bouche.
Il s'est ensuite allongé sur moi, pour me les mordre. J'avais mal, mais en même temps, attaché, torturé, le Boss nu, couché sur moi, avec sa queue raide, ça m'excitait à fond.
"Tu bandes, salope, tu aimes ça"
Il a fini par se relever, pour prendre des aiguilles. Il était nu, en érection, j'avais envie de sa queue. Il a passé les aiguilles dans la flamme de son briquet, pour le stériliser, avant de me transpercer chaque tit avec une aiguille. J'ai hurlé. Le slob qu'il m'avait enfoncé dans la gueule a étouffé mon cri. Ca ne l'a pas empêche de me gifler.
"Ta gueule"
Il a ensuite allumé une bougie et a commencé à me faire couler de la cire sur les tétons. Il la tenait plutôt bas, pour que le cire soit bien brûlante. Je me tordais de douleur, mais attaché comme je l'étais ça n'empêchait rien.
Il ne s'est arrêté que lorsque mes tétons ont été totalement couverts de cire, pour me contempler un moment, avant de me retirer son slob de la gueule.
"Alors PD, qu'est ce que tu en dit ?"
"Merci, Boss"
"Bien, avant de continuer, tu as encore droit à du popps"
Il m'a pris par les cheveux, pour me relever la tête et m'a laissé me gazer bien à fond, en passant plusieurs fois le flacon sous mes narines. Quand il a fini, j'avais la tête qui tournait.
"Maintenant, je vais m'occuper de ce que t'as entre les jambes"
Il a commencé par m'enlever le ballstretcher que je portais depuis notre départ. Puis il a pris une cordelette, qu'il a utilisée pour m'attacher les couilles, l'autre extrémité étant fixée aux barreaux, tendue au max.
Mes coulles étirées à fond, il a commencé à jouer avec, de plus en plus durement, avant de prendre une cravache pour les frapper. J'ai eu droit à 10 coups. Je n'ai pu m'empêcher de gémir, ce qui m'a valu une nouvelle gifle et son slob dans la gueule.
Il a ensuite pris une boite d'épingles. Il en prenait une, la passait sous la flamme et me l'enfonçait dans les couilles. Une dizaine en tout.
Pour finir, j'ai eu droit à la cire, sur les couilles, la queue et enfin le gland.
Après m'avoir torturé, il bandait comme un taureau. Il m'a sorti son slob de la gueule et s'est accroupi sur moi, pour m'enfoncer sa teub dans la bouche.
"Suce maintenant, pétasse"
Je ne demandais que ça. Je l'ai sucé un bon moment. Il se retenait visiblement. Sa teub était dure, raide, un bonheur !!!!
Il a fini par se retirer et a immédiatement commencé à cracher, à flots successifs.
J'étais couvert de foutre !!!
"Ton Maître m'a dit qu'il t'autorisait occasionnellement à te vider les couilles. La dernière fois, c'était quand ?"
"Il y a 15 jours, Boss"
"OK, j'ai envie de te voir cracher"
Il m'a détaché les poignets.
"Caresse toi, maintenant. Mais ne jouis pas trop tôt"
J'ai commencé à me caresser. Quasi immédiatement, je me suis mis à bander. J'avais les couilles chargées à bloc. Elles me faisait mal, les épingles étaient toujours en place, il ne les avait pas détachées, mais elles étaient pleines de foutre et ne demandaient qu'à se vider.
"Ne jouis pas. Fais monter la sève doucement. Si tu sens que tu vas gicler, tu t'arrêtes"
"Oui, Boss"
Ma queue était raide. je continuais à me branler doucement.
"Arrête"
Il m'a décalotté le gland.
"Putain, tu mouilles à mort"
Quelques minutes au repos.
"Branle toi maintenant"
J'ai recommencé à me caresser.
Ca a duré un bon moment. Quand je sentais que j'allais exploser, j'arrêtais et je recommençais quelques instants plus tard.
"Bon, vas y. Crache".
En même temps, il avait recommencé à se branler.
Il ne m'a fallu que quelques secondes pour me vider totalement, à longs jets de foutre. Il a regiclé quasi en même temps.
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