Cédric est venu me libérer le lendemain matin. Il devait être 11 heures.
Enfermé dans ma cage pour la nuit, j'avais pu somnoler quelques heures à peine.
"On est réveillé, ton Maître veut que tu viennes de suite".
Je suis sorti de la cage et suis descendu dans la chambre.
Le Maître était allongé, nu. Il y avait deux capotes usagées sur la table de nuit.
"J'ai envie de pisser, grouille"
J'ai pris sa queue en bouche. Elle sentait le foutre.
Il m'a pissé dans la gueule, en s'arrêtant de temps en temps pour me permettre d'avaler.
"Va nous préparer le pti déj. Tu en profiteras pour vider les capotes et tu viendras nous le servir au lit"
J'emmenais les capotes. Pendant que le pain grillait, j'en ai coupé l'extrémité pour avaler le foutre du Maître.
J'ai été leur servir le petit déjeûner. Cédric et le Maître étaient au lit, nus tous les deux, Cédric suçait doucement le Maître.
"Enfin. Agenouille toi et attends".
Pendant qu'ils prenaient leur petit déj, j'étais à genoux, aux pieds du lit.
"Tu vas prendre une douche, tu es crade. Mais avant, prépare la chatte de Cédric, j'ai envie de me vider les couilles".
Cédric a ri, tout en se mettant à pattes sur le lit. "J'ai la chatte serrée et ton Maître ne veut pas me faire mal, alors prépare la bien".
Je lui ai lèché le trou, le pénétrant avec ma langue, longuement, avant de lui mettre du gel. Cette salope gémissait de plaisir.
"Va prendre ta douche maintenant"
J'ai été me doucher, me raser le visage et me faire un lavement, comme mon Maître l'exige.
Mon corps doit être lisse, propre et surtout ma chatte doit toujours être impeccable.
Pendant ce temps, je les entendais qui baisaient.
Quand je suis revenu, ils étaient tous les deux couchés, enlacés.
"Va ranger la cuisine, pendant ce temps on va se doucher également"
Quand ils sont sortis de la douche, nus tous les deux, le Maître nous a dit qu'il nous emmenait déjeûner au restau.
"Habille toi. Tu mettras un costume sombre et une chemise blanche. Mais avant, vient ici."
Il m'a enlevé ma cage à bite, pour la remplacer par un ballstretcher métal et m' a mis des pinces aux tétons.
"tu ne mets pas de slip. Cédric, accompagne le et surveille qu'il ne se branle pas".
Nous sommes allés dans un restau des alentours. Le repas était excellent, et, évidemment, je me suis comporté "normalement", comme à chaque fois qu'on sort. J'appelais le Maître Monsieur mais je
devais malgré tout le vouvoyer.
Nous avions l'air d'un groupe d'amis. Mais le ballstretcher qui me serrait douloureusement les couilles et les pinces que je portais étaient là pour me rappeler mon statut d'esclave.
A la fin du repas, le Maître s'est levé, pour aller aux toilettes. je l'ai rejoint quelques minutes plus tard. Il m'attendait dans une cabine. Il a fermé la porte et a sorti sa queue. Je me suis
agenouillé. "J'ai envie de pisser". Je l'ai pris en bouche et je l'ai bu. Il est sorti tout de suite après. J'ai attendu un peu et je suis sorti à mon tour.
En partant, dans la voiture, le Maître a demandé à Cédric s'il était libre l'après midi.
"Oui, pourquoi ?"
"Je vais devoir punir C. pour le plaisir qu'il a pris hier soir. Ca te dirait d'y assister ?"
"Oui, tu lui feras quoi ?"
"Tu verras"
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