Couilles de PD - plaisir d'esclave

Samedi 30 janvier 6 30 /01 /Jan 19:24
En rentrant, le Maître m'a ordonné de me dessapper et de monter au donjon. Cédric m'a accompagné, toujours pour surveiller que je ne me touchais pas.
Au donjon, il s'est approché de moi et a commencé à m'embrasser. "Non, le Maître va arriver. Je n'ai pas le droit".
"Laisse toi faire, c'est bon"
Evidemment le Maître est arrivé sur ces entrefaites.
"Je vois que je ne peux pas te laisser seul, même un instant". En même temps, il m'envoyait une baffé magistrale dans la gueule.

"Va t'allonger sur le dos. Il est temps que tu subisses le châtiment que tu mérites"
"Où ca, Maître ? Vous voulez m'attacher ?"
"Evidemment"
J'allais m'allonger dans un coin du donjon, où le Mâitre m'a fait fixer des attaches au sol.
Il a pris des cordes, m'a attaché les poignets, les chevilles, de sorte que je sois totalement entravé, incapable de bouger, jambes et bras en croix.

"Cédric, gaze le au poppers, il en aura besoin".
Cédric m'a soulevé la tête pour me faire sniffer du popps. Je respirais profondément. Je me doutais que j'allais morfler un max.

Le Maître s'est approché. Il avait remplacé son pantaton par un jean et mis des baskets, au lieu des pompes qu'il avait au restau, ne retirant que sa chemise. Il s'est placé entre mes jambes et a commencé à me latter les couilles, à coups de pieds. J'avais toujours le ballstretcher en place, qui me serrait les couilles et rendaient les coups de pieds encore plus douloureux.
Je gueulais. Ca faisait un mal de chien. Ce qui ne l'empêchait pas de continuer à frapper.
"Tu as joui combien de fois hier soir, bâtard ?"
"6 fois, Maître, mais je n'avais pas le choix"
"Que tu ai eu le choix ou pas, je m'en fous. Tu a joui, tu dois être puni pour ça"
"Oui, Maître, je sais, mais arrêtez, je n'en peux plus, vous me faites trop mal"
"C'est moi qui déciderai quand tu n'en pourras plus. Tu es là pour encaisser"

Cédric matait. Il s'était deshabillé et le spectacle ne le laissait visiblement pas indifférent.

"Tu n'a pas peur de lui détruire les couilles ?"
"Non, je sais ce que je fais. L'avantage avec les couilles, c'est que c'est hyperdouloureux, mais en même temps, elles offrent une bonne résistance".

Après encore une vingtaine de coups, le Maître a arrêté les coups de pieds.
"Bon, ça suffira pour l'instant. Cédric, détache le. On va passer à autre chose"

Cédric m'a détaché les poignets et les chevilles. Avec ce que j'avais pris, je tenais à peine debout.
"Allonge toi sur la table"
J'ai été m'allonger sur la table d'examen que nous avons installée. A nouveau, le Maître m'a attaché les poignets et les chevilles, en m'écartant bien les jambes. Puis il a pris une cordelette qu'il a utilisée pour me serrer les couilles, en plus du ballstretcher, et dont il a attaché les extrémités à une poutre, en tirant bien dessus pour que mon cul se soulève de la table. De la sorte, j'étais quasiment suspendu par les couilles.

"Poppers. Et a fond"

Pendant que Cédric me re-popperisait, le Maître a allumé deux grosses bougies.
Puis il a été chercher et stériliser des aiguilles.
Une fois poppérisé, il a commencé par me planter une aiguille dans chaque téton, avant de prendre la bougie et de faire couler la cire dessus.
Il tenait la bougie au plus près de mon corps, pour que la brûlure soit le plus douloureux possible.
Il a continué jusqu'à ce que me tétons soient totalement couverts de cire.
Attaché comme je l'étais, je ne pouvais que subir le supplice qu'il m'infligeait.

Après mes tétons, ça a été le tour de mes couilles, de ma queue et, au final, il m'a décalotté le gland pour y couler de la cire brûlante.
J'avais beau gueuler, il a continué jusqu'à ce que mon sexe soit à son tour couvert de cire.

Cédric pendant ce temps bandait comme un fou. Ca l'excitait, cette salope de me voir morfler.


"Bon, on va le laisser se reposer un peu. Tu veux un café ?
"Oui, je veux bien"

Ils sont descendus tous les deux, me laissant attaché sur la table.


Après un moment, je les ai entendu remonter.
Le Maître a commencé par enlever la cire de mon gland. Puis il a, à nouveau, demandé à Cédric de me poppériser.
De ce côté là, le Maître est cool : il sait que j'ai besoin de poppers pour morfler et j'y ai droit autant que nécessaire.
Pendant que Cédric me faisait sniffer, il a été chercher une bouteille de tabasco et un mouchoir sur lequel il en a versé une bonne quantité. Puis il m'en a enduit le gland.
Sur le moment, je n'ai rien senti, mais après quelques secondes la brûlure du piment est devenue atroce, au point de me faire chialer.
Mais je ne pouvais rien faire, attaché comme je l'étais.
Le Maître a ensuite pris une sonde urétrale, le modèle qu'on peut electrifier, qu'il a désinfectée, avant de me l'enfoncer doucement dans l'urêtre. Puis il l'a branchée et a envoyé le jus.
Malgré les liens, je n'ai pu empêcher mon corps de se tendre, tout en hurlant.

Il en  filé le boîtier à Cédric, en lui disant de m'envoyer du jus quand il le lui dirait, et m'a refait re-sniffer du popps.

Je me doutais bien qu'il n'en avait pas fini avec moi.
Quand le Maître a été prendre une canne anglaise, j'ai compris que j'allais vraiment dérouiller.

Je ne m'étais pas trompé. Il s'est placé devant la table, jambes écartées et les coups ont commencé à pleuvoir sur mes couilles. Je hurlais, je chialais, mais évidemment ça ne l'empêchait pas de continuer.

A intervalles régulier, il demandait à Cédric d'envoyer du jus, ce qui rendait le supplice encore plus insupportable.

Après une première série de coups, il s'est arrêté. J'ai poussé un ouf de soulagement;
Mais ce n'était que pour me frotter une nouvelle fois le gland avec du tabasco.
Les coups de canne ont recommencé.

Quand le Maître s'est finalement arrêté, j'étais à la limite de l'évanouissement.

"Bon, je pense que ça suffit. Détache le".

Après ce que j'avais enduré, je me suis écroulé. Mes couilles étaient littéralement éclatées.

Immédiatement, comme je dois le faire après chaque punition, je suis allé m'agenouiller aux pieds du Maître pour vénérer son sexe.

"Merci, Maître, de m'avoir puni comme je le méritais".
Il a sorti sa queue, je l'ai immédiatement prise en bouche. Il a joui presque tout de suite.









Par L'esclave - Publié dans : Couilles de PD - plaisir d'esclave - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 30 janvier 6 30 /01 /Jan 18:56
Cédric est venu me libérer le lendemain matin. Il devait être 11 heures.
Enfermé dans ma cage pour la nuit, j'avais pu somnoler quelques heures à peine.
"On est réveillé, ton Maître veut que tu viennes de suite".
Je suis sorti de la cage et suis descendu dans la chambre.
Le Maître était allongé, nu. Il y avait deux capotes usagées sur la table de nuit.
"J'ai envie de pisser, grouille"
J'ai pris sa queue en bouche. Elle sentait le foutre.
Il m'a pissé dans la gueule, en s'arrêtant de temps en temps pour me permettre d'avaler.
"Va nous préparer le pti déj. Tu en profiteras pour vider les capotes et tu viendras nous le servir au lit"
J'emmenais les capotes. Pendant que le pain grillait, j'en ai coupé l'extrémité pour avaler le foutre du Maître.
J'ai été leur servir le petit déjeûner. Cédric et le Maître étaient au lit, nus tous les deux, Cédric suçait doucement le Maître.
"Enfin. Agenouille toi et attends".
Pendant qu'ils prenaient leur petit déj, j'étais à genoux, aux pieds du lit.
"Tu vas prendre une douche, tu es crade. Mais avant, prépare la chatte de Cédric, j'ai envie de me vider les couilles".
Cédric  a ri, tout en se mettant à  pattes sur le lit. "J'ai la chatte serrée et ton Maître ne veut pas me faire mal, alors prépare la bien".
Je lui ai lèché le trou, le pénétrant avec ma langue, longuement, avant de lui mettre du gel. Cette salope gémissait de plaisir.
"Va prendre ta douche maintenant"
J'ai été me doucher, me raser le visage et me faire un lavement, comme mon Maître l'exige.
Mon corps doit être lisse, propre et surtout ma chatte doit toujours être impeccable.
Pendant ce temps, je les entendais qui baisaient.

Quand je suis revenu, ils étaient tous les deux couchés, enlacés.
"Va ranger la cuisine, pendant ce temps on va se doucher également"

Quand ils sont sortis de la douche, nus tous les deux, le Maître nous a dit qu'il nous emmenait déjeûner au restau.
"Habille toi. Tu mettras un costume sombre et une chemise blanche. Mais avant, vient ici."
Il m'a enlevé ma cage à bite, pour la remplacer par un ballstretcher métal et m' a mis des pinces aux tétons.
"tu ne mets pas de slip. Cédric, accompagne le et surveille qu'il ne se branle pas".

Nous sommes allés dans un restau des alentours. Le repas était excellent, et, évidemment, je me suis comporté "normalement", comme à chaque fois qu'on sort. J'appelais le Maître Monsieur mais je devais malgré tout le vouvoyer.
Nous avions l'air d'un groupe d'amis. Mais le ballstretcher qui me serrait douloureusement les couilles et les pinces que je portais étaient là pour me rappeler mon statut d'esclave.

A la fin du repas, le Maître s'est levé, pour aller aux toilettes. je l'ai rejoint quelques minutes plus tard. Il m'attendait dans une cabine. Il a fermé la porte et a sorti sa queue. Je me suis agenouillé. "J'ai envie de pisser". Je l'ai pris en bouche et je l'ai bu. Il est sorti tout de suite après. J'ai attendu un peu et je suis sorti à mon tour.

En partant, dans la voiture, le Maître a demandé à Cédric s'il était libre l'après midi.
"Oui, pourquoi ?"
"Je vais devoir punir C. pour le plaisir qu'il a pris hier soir. Ca te dirait d'y assister ?"
"Oui, tu lui feras quoi ?"
"Tu verras"
Par L'esclave - Publié dans : Couilles de PD - plaisir d'esclave - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 16 janvier 6 16 /01 /Jan 18:21
Vers 20h00, samedi dernier, le Maitre m'a ordonné de monter au donjon.
Il m'a attaché sur la croix de st andré, avant de me mettre des pinces aux seins.
Pas le modèle standard : des pinces genres pinces à linge, mais très grosses, en metal, lourdes.
Puis il est reparti.
Je suis resté comme ça, suspendu, les tétons douloureux, une demi heure 3/4 d'heure.
A un moment, j'ai entendu sonner, puis des voix et des pas.
Le Maître est entré, accompagné de Cédric, la salope qu'il utilise depuis quelques mois pour me vider les couilles.
Cédric est sublime, taille moyenne, très mince, look minet.
Dommage qu'il ne soit pas maso. Le Maître nous aurait volontiers accouplé.

Il s'est dessapé, ne gardant que son jockstrap, très mini, rouge, hypersexy.
Il s'est approché de moi, m'a retiré les pinces.
"Ca te fait pas trop mal" ?
"Non, je suis là pour ca, j'ai l'habitude".
"Moi, je tiendrais pas"

Il a commencé par me rouler une pelle, tout en frottant son sexe ontre ma teub.
C'était génial. J'ai bandé au quart de tour : ca faisait 3 semaines que je n'avais pas juté.
On s'est embrassé un long moment.
Je me laissais faire : de toute manière, suspendu sur la croix, bars et jambes écartées, je ne pouvais rien faire d'autre.

Cédric s'est ensuite occupé de mes tétons, pour les lécher, les sucer doucement. Ils me faisait mal, à cause des pinces que j'avais portées pendant 3/4 d'heure. Mais sa langue me faisait du bien.

Le Maître, de son côté, s'est installé dans le fauteuil et nous matait.

Cédric a continué en me sniffant puis en me lèchant les aisselles, puis le torse, tout en continuant à frotter son sexe contre ma queue turgescente.

Comme je bandais comme un fou, mon Maître s'est levé et a pris un lacet. Il a dégagé Cédric pour m'attacher les couilles, hyperserrées, avant de faire un noeud à la base de ma teub, pour m'empêcher de jouir trop vite.

Cédric, pendant ce temps, s'etait poppérisé bien à fond.
"Tu en veux ?" "Ouais"
Il m'a fait sniffer bien à fond, avant de recommencer ses jeux.
J'étais excité à mort. Je ne pouvais pas bouger mais ses caresses, sa langue me rendaient fou de désir.
Ca a duré un bon moment, puis le Maître a repris la main.

Il m'a planté une aiguille dans chaque téton, avant de prendre une cravache pour me cingler de 10 coups sur le torse, et cinq sur le sexe.

Cédric s'est mis à genoux pour s'occuper de mes couilles. Il a commencé par les lècher, doucement, lentement, avant de les prendre en bouche pour les sucer.
C'était bon.
Après les couilles, ça a été le tour de ma queue.
Malgré le bondage, je triquais a fond.
Mes seins me faisait mal.
J'était chauffé à blanc.
Il a commencé par me lècher la teub.

"Tu bandes bien, tu as une queue géniale"

Il m'a décalotté le gland et l'a lèché à son tour, longuement, doucement.
Je mouillais à fond.
Il m'a mis l'index en bouche, pour que je l'enduise bien de salive, avant de me frotter le gland.
J'en pouvais plus, je gémissais de plaisir.
Enfin, il m'a pris en bouche et à commencé à me pomper.

J'essayais de me retenir au maximum, mais, malgré mes couilles attachées, chargées comme elles l'était de 3 semaines de jus, j'ai pas réussi à tenir longtemps.

Le foutre a giclé, à long traits, par terre, a plusieurs reprises. Je gueulais de plaisir.
J'étais complètement vidé.

Le Maître a ordonné à Cédric de se foutre à 4 pattes et lui a mis du gel, massant longuement sa chatte.
Puis il lui a fait sniffer du popps, a mis une capote et l'a enfilé, comme une chienne.
Cédric gémissait de plaisir quand le Maître a joui.

De mon côté, j'étais toujours attaché, les aiguilles dans les tétons.

Après avoir joui, le Maître a demandé à Cédric de me branler.
"Il a encore du jus. Il faut que tu le vides complètement".

Ma queue me faisait mal, mais ça ne m'a pas empêché de jouir a nouveau.
"Continue, je veux qu'il ne lui reste plus une goutte de foutre".

Cédric a continué un long moment. Quand je giclais, il s'arrêtait quelques instants, pour me lècher à nouveau le torse, les couilles, le Maître me re-popperisait et ils recommençaient.

J'ai giclé 5 fois de suite. J'en pouvais plus.

Le Maître s'est approché pour me palper, me travailler les couiles.
"Bon, je crois que c'est bon pour cette fois"

Il m'a enlevé les aiguilles,  le lacet que j'avais gardé toute la soirée autour de mes boules.
Elles me faisaient mal.
Il m'a détaché, m'a mis la CB (même si avec ce que j'avais giclé, je ne risquais pas de me branler), puis m'a mis en cage.

"Je m'occuperai de toi demain. Cédric passe la nuit ici, mais demain je devrais te punir pour avoir joui comme tu l'as fait".
"Oui, Maître. Je l'accepte par avance"
Par L'esclave - Publié dans : Couilles de PD - plaisir d'esclave - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 16 janvier 6 16 /01 /Jan 18:18
Un esclave n'est pas un mec, mais un PD.
En principe, la joussance, privilège des Mâles, lui est interdite.
Certains mec, pour régler le problème, castrent leurs batards.
Par contre, ça aboutit à les priver du plaisir de supplicier son matériel génital.
Mon Maître m'a permis de conserver mes couilles et ma queue, et je suis plutôt bien monté (22 cm).
Tout en étant un vrai PD, je bande au quart de tour et je n'ai aucun problème, si le Maître me l'ordonne, à servir d'étalon pour d'autres putes.

Mon Maître admet que je doive me vider les couilles de temps en temps.
Evidemment, c'est totalement sous contrôle, et en sa présence.
Qand je ne suis pas sous contrôle visuel immédiat, je porte une cage a bite, cadenassée, dont il a la clé.

Après avoir joui, je suis puni du plaisir que j'ai pris, histoire de me rappeler que je ne suis pas un Mâle.

Au début, quand je suis devenu son esclave, il m'autorisait à intervalles réguliers (tous les 15 jours/3 semaines) à me branler devant lui pour me vider de mon foutre.
Depuis, il a levé une jeune salope, de 20 ans, hélas non maso, qu'il utilise pour ça.

Samedi soir, il l'avait convoquée.
Par L'esclave - Publié dans : Couilles de PD - plaisir d'esclave
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