Echange

Lundi 22 mars 1 22 /03 /Mars 09:08

Samedi dernier, en fin d'am, le Maître m'a ordonné de me préparer : douche, rasage du visage, lavement, de préperer un sac avec god, cravache, menottes, pinces, collier, liens ... et de le rejoindre en jean, tshirt blanc et mon blouson de cuir.

Vingt minutes plus tard, j'étais prêt. C'était le délai qu'il m'avait donné.

On a pris la voiture (pour une fois, je n'ai pas eu droit au coffre) et l'autoroute.

Durant le trajet, le Maître ne m'adressant pas la parole, je suis resté silencieux. Il s'est simplement arrêté une fois, sur une aire de repos, pour pisser. Evidemment, c'est ma bouche qu'il a utilisé comme urinoir.

Nous sommes arrivés au centre ville environ une heure et demi plus tard. Le Maître s'est garé, nous avons marché quelques pas, jusqu'à un immeuble ancien où il a sonné.

"C'est nous, Marc et sa pute". J'ai entendu une voix féminine répondre "OK, je t'ouvre, 3è étage"

Nous avons pris l'ascenseur jusqu'au 3è.

En arrivant, la seule porte sur le palier était ouverte.

Une jeune femme, d'environ 25/27 ans, nous attendait. Elle portait des bottes noires qui qui remontaient jusqu'en haut des cuisses, un soutiff en forme de bandeau noir également, et rien d'autre.

Elle a fait la bise au Maître et nous a fait entrer. Dans l'entrée, il y avait un mec, dans les 30 ans, à genoux, nu, totalement rasé, avec un collier autour du cou.

"je te présente Alex, mon esclave"

"Et voilà Christophe, le mien. On peux examiner la marchandise ?"

"Evidemment"

Le Maître s'est approché d'Alex, l'a aggripé par les cheveux pour le mettre debout et a commencé son examen : soupesage des couilles, décalottage du gland, doigtage, travail des tetons ...

La fille m'a odonné de me foutre à poil, en ne gardant que mon slob, si j'en portais un (en fait c'était un jock) et a fait de même avec moi.

Visiblement, mon marquage au fer, en haut de la cuisse, l'a impressionnée.

"tu l'as marqué ? tu as fait comment ?"

"Avec un fer rouge, ça se trouve facilement dans des brocantes, ou su internet. Le plus dur, c'est d'avoir la bonne initiale".

"Putain, il a dû souffrir"

"Oui, mais il est là pour ça"

"Tu pourrais m'aider à en trouver un pour Alex ?"

"On peut essayer, il est d'accord ?"

"Je m'en fous. Je n'ai pas à lui demander son avis".

L'examen terminé, le Maître nous a expliqué ce qu'ils attendaient de nous : durant le week end, Sandra (je devais l'appeler Mademoiselle) et lui allaient échanger leurs esclaves. Alex serait utilisé par le Maître et moi par Sandra.

J'aurais à lui obéir mais aussi, s'agissant d'une meuf, à la baiser.

"Mais Maitre, je ne sais pas si j'y arriverais. Les femmes, c'est pas mon truc, elles ne me font pas bander"

"C'est pas mon problème, tu devras faire ce que Sandra t'ordonnera et y arriver".

Par L'esclave - Publié dans : Echange - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Lundi 22 mars 1 22 /03 /Mars 08:59

Les présentations faites, Sandra nous a fait monter dans son donjon. Il était au 4è, l’appartement étant en duplex.

Il y avait deux fauteuils, une table d’examen, le matériel nécessaire pour torturer un esclave : pinces, cravaches, fouet, menottes, ballstretchers, plugs, godes, dont un gode ceinture, double ….

 

Le Maître a demandé à Alex de le dessaper.

« Tu commences par ma chemise, tu me lècheras le torse, les tétons. Ensuite tu m’enlèveras les pompes, tu snifferas, lècheras mes cho7 avant de les enlever pour me lécher les panards. Ensuite seulement tu m’enlèveras mon fute, après m’avoir bien léché l’emplacement du sexe. Compris, bâtard ? »

« Oui Monsieur »

 

Mademoiselle s’était quant à elle assise dans un fauteuil, en écartant ses cuisses, une cravache à la main.

« Lèche, esclave »

 

Sa chatte sentait la femme. Je n’ai jamais été accro aux plans odeurs (sauf quand il s’agit des odeurs du Maître), mais là, je détestais carrément. Je n’avais jamais sucé une meuf et je ne pensais pas que l’odeur de sa chatte était aussi forte.

 

« Pénètre moi avec ta langue, PD, tu dois me faire mouiller »

 

Je m’exécutais, à contrecoeur. Elle mouillait un max. C’était franchement désagréable.

 

« Mieux que ça, applique toi ». En même temps, elle m’a envoyé un coup de cravache.

Je m’appliquais. Je lui léchais la chatte, la pénétrait avec ma langue.

Elle mouillait de plus en plus.

 

« Tu ne bandes pas, PD ? »

 

« Non, désolé, je ne suis pas attiré par les femmes ».

« Tant pis pour toi, tu est là pour me faire jouir, ce que tu aimes, je m’en fous »

 

Je l’ai sucée un long moment. Régulièrement, elle m’envoyait un coup de cravache pour m’encourager.

 

Pour finir, elle s’est cambrée, en gémissant. J’avais réussi à lui faire avoir un orgasme.

Par L'esclave - Publié dans : Echange - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Dimanche 21 mars 7 21 /03 /Mars 22:53

Le donjon occupait tout le 4è étage. Dans un coin, il y avait un tapis de sport, en caoutchouc. Mademoiselle a proposé d'organiser un combat entre Alex et moi. Le vaincu servirait de sous-lope durant le week end : si le Maître ou Mademoiselle décidaient de punir le vainqueur, il pourrait demander que le châtiment soit infligé à la sous lope. Et celle-ci, évidemment, devrait également lui obéir, sous contrôle du Maitre et de Mademoiselle.

Le combat se passerait nus, tous les coups étant permis.

Pour commencer, nous avons dû nous enduire le corps d'huile de massage, pour qu'il soit bien luisant et glissant, chacun s'occupant de l'autre.
Alex était plutôt bandant, un corps lisse, musclé mais sec, belle gueule.
Visiblement, sa maîtresse le traitait de façon plutôt hard. Il avait des marques de coups sur le dos, le torse et des bleus sur les couilles et la queue.
Il était monté normalement, dans le 18 (moins que moi et beaucoup moins que le Maître), avec de belles couilles, qui visiblement étaient régulièrement travaillées elles aussi.

Une fois bien huilés, nous avons commencé à nous battre.

Le Maître et Mademoiselle nous regardaient, chacun une cravache à la main.

 

Alex et moi étions de la même taille. Mais tout en étant mince, il était nettement plus costaud que moi avec mes 58 kg de poids maximum autorisé. Je partais avec un sérieux handicap, surtout que mes couilles étaient encore douloureuses suite à une séance de lattage quelques jours avant.

 

Par contre, nos corps étant bien huileux, c’était évident de faire des prises. Nous nous battions comme des chiennes. J’ai vite compris qu’Alex n’était pas très résistant au niveau des couilles. J’avais le plus souvent le dessous, mais je réussissais à me dégager. Je bandais comme un fou, contrairement à lui. Et pour cause, les mecs c’était pas son truc.

Pour nous encourager, le Maître et Mademoiselle envoyaient régulièrement des coups de cravache dans le tas.

A un moment, j’ai réussi à lui passer le bras devant le cou et à lui faire une prise. En même temps, avec l’autre main, je serrais ses couilles. Il couinait, pouvant à peine respirer.

Malgré mon handicap de départ, j’avais réussi à le vaincre !

 

C’est là que Mademoiselle m’a bazardé un coup de cravache particulièrement vicieux dans les couilles. J’ai hurlé et je l’ai relâché. Nous avons continué à nous battre mais il avait pris le dessus. A un moment, il m’a immobilisé et a réussi à me prendre par les couilles à mon tour. Ca faisait un mal de chien il serrait comme une brute. Je me suis rendu.

 

Le Maître a proclamé Alex vainqueur.

Il m’a attaché par les poignets à une poutre et m’a poppérisé à fond.

Puis il lui a tendu sa cravache.

 

« Tu l’as battu. Punis le, défoule toi sur lui »

Alex a commencé à me cingler. Il cognait pour faire mal, sur mon torse, mes cuisses.

Après une vingtaine de coups, Mademoiselle lui a demandé d’arrêter.

 

« Ne le démolis pas trop. J’ai l’intention de m’en servir ».

 

Ils m’ont détaché et le Maître m’a ordonné de sucer Alex et de le faire jouir.

Je me suis agenouillé devant lui et j’ai commencé par lui lécher les couilles, la queue, le gland.

J’avais du mal à le faire durcir mais à force d’efforts, j’ai réussi à le faire bander.

Pour finir, il m’a craché son jus sur la gueule

 

« Je ne veux pas vous bousculer, mais si on veut dîner, il ne faut pas qu’on tarde ».

Le Maître a regardé sa montre.

« Putain, 9h et demie déjà. Tu connais un bistrot dans le coin ? »

« Oui, à 5 minutes à pinces »

« OK, C. avant de te rhabiller, apporte moi ton matos »

 

J’ai été chercher mon sac. Le Maître a sorti des aiguilles et m’en a enfilé deux dans chaque téton et une dizaine d’épingles dans les couilles.

 

« Tu lui plante souvent des aiguilles ? »

« Oui, surtout quand on sort. Ca lui rappelle qu’il n’est qu’un esclave et ca le fait souffrir pendant le diner »

 

Du coup, Alex aussi a eu droit à des aiguilles dans les tétons et les couilles !!!!

 

Par L'esclave - Publié dans : Echange - Communauté : Maitres et esclaves gay
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