Karim

Jeudi 15 juillet 4 15 /07 /Juil 21:12

Le samedi matin le réveio a sonné à  à 6h et demie. Karim n'avait pas eu recours à moi pendant la nuit.

J’ai commencé par aller aux toilettes puis j’ai pris une douche, me suis fait un lavement et rasé la tronche, avant de descendre chercher des croissants.

J’ai préparé le petit déj de Karim : 3 croissants, café au lait, jus d’orange.

 

A 7h et demie j’ai été lui lécher le zob pour le réveiller en douceur.

Il en profité pour me pisser dans la gueule et me faire boire sa pisse.

Ensuite, je lui ai apporté son pti déj sur un plateau.

 

Je n’ai pas été convié à sa toilette, mais en sortant de la douche, il était en rut.

 

« A 4 pattes, pd, que je te tire » Je lui ai présenté mon cul et il m’a défoncé direct.

 

Puis, il a enfilé un jean et un tshirt.

 

« J’ai un max de trucs à faire. Je rentrerai pas avant 19h00. Tu seras seul ici. Tu vas te louer. Quand je reviendrai ce soir, je veux 500 € »

 

« Mais, Seigneur, je vais faire comment ? Je n’ai pas de clients. D’habitude, quand je dois me louer, c’est vous qui me les imposez »

 

« T’as mon ordi, y a une webcam et je te laisse mon portable. Je sais que Marc ne veut pas que tu te serves du tien sauf pour répondre à ses appels. Les clients, tu les dragues sur le net. Le tarif, tu vois. Je vais même t’enlever ta cage à bite, et te permettre de baiser si tu trouves pas à te faire niker. Ce que je veux, c’est 500 € ce soir »

 

« Je ne sais pas si je vais pouvoir. Il faut que je trouve les mecs, qu’ils se déplacent »

 

« J’en ai rien à foutre. C’est ton problème. Moi ce que je veux, c’est 500 € »

 

Il a mis ses skets et il est parti.

 

Je me doutais quand le Maître m’a livré à Karim qu’il me ferait faire la pute.

Le Maître le fait aussi, occasionnellement, mais lui c’est parce que ça l’excite, le fric il s’en fout.

Pour Karim, c’est différent, je dois lui rapporter de la thune.

Mais c’est la première fois que ça se passait comme ça. D’habitude, il m’impose les clients.

Là, livré à moi-même, c’était pas évident.

 

Je me suis foutu sur le net, en parallèle sur smboy, citegay et dialgay.

Pseudo : "jsoumis à dispo".

Me faire 500 € dans la journée, ça risquait d’être chaud. C’est bien sûr pas la première fois que je faisais ça.

 

Comme à l’époque où j’ étais « escort » j’ai ciblé les mecs de plus 45 ans.

C’est ceux qui payent le plus facilement.

Comme il était seulement 8h et demi, y avait pas foule.

J’ai quand même bombardé de messages de présentation tous les mecs de Nantes rentrant dans la tranche d’âge que je pensais prête à payer

 

Les réponses ont commencé à arriver, genre « tu es comment, âge, tu proposes » ?

Le premier que j’ai accroché c’était sur Dialgay. Il annonçait 40 balais.

Comme il voulait me voir, on a échangé nos adresses msn et j’ai branché la cam.

Lui n’en avait pas, mais je m’en foutais. Ce qui comptait c’est qu’il paye.

Après 6 ou 7 msg, il semblait intéressé par une pipe rapide.

Je lui ai proposé 50 €.

Il a accepté.

Comme il était pas loin, il m’a dit qu’il pouvait être là dans le quart d’heure.

Je lui ai filé le tél de Karim, en lui demandant d’appeler une fois en bas.

 

Les autres, c’était surtout des questions à la cons.

Sauf un, sur smboy, qui cherchait un plan sm. Un vieux, qui m’avait dit s’appeler Charles, qui annonçait 55 ans.

Mais il était dispo qu’entre midi et 2.

Par contre, il voulait du hard.

Question tarif, ça m’intéressait.

Le téléphone a sonné à ce moment là.

J’ai filé mon tel à Charles, en lui disant que je reconnectais dans une demi heure max.

Le premier client était en bas.

Je lui ai donné l’étage (c’est dans une cité, y a pas de code) et j’ai entrouvert la porte, en me foutant à genoux derrière et en prenant du popps.

 

J’ai été agréablement surpris quand il est entré : malgré ses 40 ans il était super bien foutu.

Grand, mince, belle gueule de mec.

Il a fermé la porte et a posé un bifton de 50 sur l’étagère dans l’entrée, avant de s’approcher.

J’ai commencé par lui sniffer, lui lécher l’entrejambe, frotter ma gueule contre l’emplacement de son sexe.

Il a ouvert sa braguette et a sorti son engin.

 

« Pompe, PD »

J’ai commencé par lui bouffer les couilles, puis, langue tendue, je suis remonté le long de sa queue avant de le prendre en bouche.

Il était déjà en rut.

Il m’a laissé faire puis s’est retiré pour s’asseoir dans un fauteuil.

Je l’ai suivi, à 4 pattes, et je l’ai repris en bouche.

Il était visiblement en manque parce qu’il m’a joui sur la tronche après même pas 5 minutes.

Il s’est rhabillé et s’est cassé.

 

Je me suis rapidement rincé, pour enlever son foutre dont j’étais couvert, avant de retourner sur l’ordi.

Charles avait laissé 3 msg sur le tél.

Il était toujours en ligne.

Je lui ai renvoyé un message pour lui dire que j’étais de retour.

J’en avais au moins une vingtaine d’autres.

Mais certains mecs s’étaient cassés.

 

Un message était d’un mec de 50 ans qui était pas loin et qui cherchait la totale, suce et sodo.

Il était prêt à payer. J’ai proposé 100.

 

Charles m'a répondu qu'il était toujours intéréssé. On a continué de dialoguer.

Il cherchait un plan d’une heure et demie deux heures avec travail hard des tétons, des couilles, cravache, uro, bondage, tabassage. La totale quoi.

Comme il voulait me voir, j’ai rebranché la cam.

J’étais à poil, et le but c’était de le chauffer un max.

Vu ce qu’il demandait, j’ai proposé 300 €.

Ca lui semblait cher, mais je le sentais motivé un max.

Finalement, il a accepté 250.

J’espérais seulement que ce serait pas un lapin.

 

 

Celui qui était pas loin a accepté 80 pour la totale. C’était mieux que rien.

J’ai dit oui et lui ai filé mon tél.

Je continuais de chauffer Charles. Je lui ai dit que j’attendais un autre client, et lui ai proposé de laisser la cam discrètement branchée.

Ca le faisait kiffer un max.

En attendant le client suivant, je continuais à draguer.

 

J’avais eu un message d’une jeune mec de 18 ans, Fabien, un puceau, qui avait envie de passer à l’acte.

 Le genre de mecs qui m’excite un max, un jeune, auquel faire découvrir les privilèges des Mâles.

 Il était prêt à payer, mais ça me faisait chier.

Je l’aurais bien fait gratos, mais fallait que je rapporte du blé à Karim.

En plus, il était dispo que vers 17h30. Je lui ai quand même filé mon tél.

Le tél a sonné à ce moment là. Le deuxième était en bas.

Je lui donné l’étage, et même chose que pour le premier, je me suis foutu à genoux dans l’entrée, porte ouverte.

Les 50 ans qu'il m'avait annoncé, c’était n’importe quoi !!!

Il en faisait 10 de plus au moins.

Mais j’étais pas là pour prendre mon pied.

Je lui ai offert le même scénario qu’au premier.

Par contre, comme il semblait pas disposé à sortir les biftons, je lui ai demandé de me régler avant d’aller plus loin.

Il a raqué et on est passé aux choses sérieuses.

Il avait un petit zob et du mal à bander.

Je l’ai déshabillé, tout en le léchant, lui suçant les tétons et en me frottant contre son entrejambes, avant de m’appliquer à le faire triquer, léchant ses couilles, sa queue, son gland, tout en le caressant.

J’avais pas des heures à lui consacrer.

Finalement, j’ai réussi à lui filer la gaule.

 

« Mets moi une capote et file moi ton cul »

 

Je ne demandais que ça. Je me suis foutu à 4 pattes, lui présentant ma chatte.

Le temps de sniffer du popps, il me pénétrait.

Vu la taille de son engin, il a pas eu de mal.

Une fois dans mon cul, il m’a limé un max, sans doute pour éviter de débander.

Heureusement il a giclé assez vite.

Il s’est rhabillé et s’est cassé comme un voleur.

Il y avait pratiquement pas de jus dans la capote.

Un peine à jouir avec les couilles sèches.

Mais je m’étais fait 80 €.

 

Il était presque 10 heures et demi. Je m’étais encore fait que 130 €.

 

Charles était toujours là. Il avait maté et je devais lui commenter mes impressions.

Je ne demandais qu’à continuer de le chauffer.

 

Sur les contacts que j’avais eus avant le vieux, ils étaient tous partis.

Mais il y avait plus de monde sur le net.

 

J’ai accroché un autre mec, de 40 ans. Il était un peu plus loin, au centre ville.

Il y avait sa photo, plutôt bandant.

Comme Charles m’avait dit qu’il pouvait venir à midi, ça commençait à faire juste.

Mais le mec cherchait un plan direct, rapide, le genre "je viens, tu me pompes, je t’encule et bye".

C’était jouable.

Mais les 80 il voulait pas.

J’ai dit OK à 60.

C’était bon pour lui.

 

En l’attendant, je continuais de draguer. J’avais deux mecs qui étaient intéressés par un plan à 3.

Moi aussi, question thunes. L'un  (46 ans) était actif, l'autre (40 paraît il), passif.

Je pouvais faie les deux. Mais ce qui branchait le premier, c'était deux lopes au bout de sa teub. J'étais évidemment d'accord.

Je leur ai dit que je risquais de couper mais que je revenais aussitôt que possible, en leur filant mon tél.

 

Le tél a sonné vers un 11 heures.

 

C’était le 3è de la matinée. Le temps qu’il monte je me suis re-poppérisé bien à fond.

La photo qu’il avait mise sur le site était pas bidon.

Un bomec, grand, viril, superbandant.

Quand je me suis agenouillé devant lui, il bandait déjà.

Ca changeait du vieux.

En plus, lui, il a fait comme le premier, en réglant tout de suite le sujet financier.

Je lui ai fait la totale.

Il bandait comme un fou, avec une superbe queue.

Quand il m’a enculé, j’ai pris mon pied. Lui, il savait se servir de sa bite.

Et quand il a giclé, la capote était pleine.

Il m’a fait la bise et m’a remercié en partant.

 

Charles avait déconnecté, mais son numéro était enregistré avec les 3 coups de fil qu’il m’avait passé.

Je l’ai rappelé, tout en répondant aux différents messages que j’avais sur le net.

Les deux mecs qui voulaient un plan à 3 étaient toujours là.

Je leur ai dit 300 (ça faisait 150 chacun) mais ils étaient OK pour 200.

J’ai accepté un plan vers 15h00.

 

Au tél, Charles était toujours aussi chaud.

J’ai dû lui redire tout ce que j’étais prêt à subir et lui lister le matos que j’avais.

On a parlé 5 minutes et il m’a dit qu’il partait.

Il m’a dit qu’il appellerait une fois en bas et m’a demandé de descendre pour qu’il puisse commencer à me travailler dans l’ascenseur.

Jusqu’ici, je m’étais fait 190 €. Avec les 250 de Charles, si c’était pas un lapin, ça m’en ferait 440.

Ca commençait a devenir bon.

 Le tél a sonné à midi moins 5.

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Lundi 12 juillet 1 12 /07 /Juil 13:35

Le Maître était invité ce week end.

Vendredi soir, il m'a livré à Karim.

Nous sommes arrivés chez lui vers 21h00.

Immédiatement, Karim m'a ordonné de me foutre à poil.

Lui et le Maitre ont bu un verre, puis le Maître est reparti.

 

Karim s'est absenté pour passer un coup de fil. J'attendais, nu, à genoux.

Quand il est revenu, il était en slob. Il a commencé par m'enlever ma cage à bite  et m'a ordonné de le lécher.

 

Une dizaine de minutes plus tard, on a sonné à la porte.

Karim a été ouvrir. Il est revenu avec 3 autres mecs, deux beurs et un renoi, dans les 20/25 ans.

 

"Salue mes potes, bâtard"

J'ai été m'agenouiller à leurs pieds pour les sniffer, leur lécher l'emplacement du zob.

 

Le renoi a sorti sa queue. Il bandait un max. Il avait de grosses couilles, pendantes. J'ai foutu mon nez dessus, pour bien les sniffer, avant de les prendre en bouche puis de lui lécher la queue.

 

Pendant ce temps, les deux rebeus se déssapaient.

 

Un de rebeus s'est approché :

"Bouffe moi le trou". J'ai lâché le black pour m'occuper de lui, lui bouffer sa rondelle, la pénétrant avec ma langue, pendant que les autres mataient.

 

Le dernier m'a ensuite forcé à me relever. "Les mains sur la tête"

Il a commencé à me faire les seins.

Je gémissais doucement.

 

"Suce maintenant". Je me suis remis à genoux et j'ai commencé à sucer.

Le plus jeune des rebeus, d'abord. Sa bite a gonflé, je l'avais bien en bouche, elle était raide, dure.

Une fois bien en érection, le renoi a pris le relais.

 

Sa queue était la plus grosse. Ce salaud me l'enfonçait a fond dans la gorge.

Enfin, j'ai eu droit au dernier rebeu.

 

Pendant que le suçais, le black s'est mis derrière moi, a mis une capote et m'a enfilé.

Comme toujours, je n'avais pas eu droit à du gel.

"Laisse moi me poppériser"

"OK, sniffe bien, tu en auras besoin"

 

Vu la taille de son engin, il a eu du mal à me la mettre. Une fois en moi, il s'est déchainé, me défonçant le cul jusqu'à la garde.

 

Je continuais à sucer le rebeu.

 

Le black a fini par jouir.

"A nous maintenant, on va te filer nos deux zobs, commence par t'empaler sur moi"

Le plus jeune des beurs s'était allongé par terre et a enfilé une capote. Je me suis mis sur lui.

Ma chatte était déjà bien ouverte, je n'ai pas eu de mal à la prendre.

Puis, je me suis allongé sur lui, offrant mon trou, avec déjà une queue dedans à son pote.

Il s'est mis à 4 pattes pour me prendre à son tour.

Pendant qu'il enfilait une capote, j'en ai profité pour reprendre du popps.

 

Karim pendant ce temps nous matait.

J'avais deux queues de beurs en moi et tous les deux bandaient à mort.

Ils ont commencé à me limer, en synchronisant leurs mouvements.

Mon cul était complètement éclaté, ça faisait mal, mais c'était le pied.

J'étais vraiment traité comme un trou.

 

C'est le plus âgé qui a joui le premier, le deuxième s'est déchargé tout de suite après.

 

Après leur départ, Karim m'a foutu à genoux pour que je m'occupe de lui.

Il bandait comme un fou. Je l'ai caressé, léché, sucé.

 

"Viens dans la chambre"

Il m'a attaché sur le pieu, bras et jambes en croix, avant de se mettre sur moi, à 4 pattes et de me fourrer sa teub en bouche.

Il m'a laissé le sucer un moment, puis s'est relevé et a pris son ceinturon pour me cingler les couilles.

Je gueulais, mais ce salaud en avait rien à foutre.

Après les coups, il m'a torturé à la bougie, faisant couler de la cire sur mon torse, mes tétons et surtout mon gland.

Pour finir, il m'a détaché, a enfilé une capote qu'il a enduite de harissa et m'a défoncé le cul à son tour.

Ca faisait un mal de chien. Mais j'étais là pour ça.

 

Il était plus de minuit.

"J'ai envie de chier. Pendant ce temps, commence à faire le ménage. Y a de la vaisselle et la cuisine est crade. Pour les assiettes, tu utiliseras ta langue. Ca te fera à bouffer pour ce soir".

Avant d'aller aux chiottes, Karim m'a accompagné à la cusiine.

Elle était effectivement crade. Il y a avit des assiettes avec des restes de pizzas, des verres sales, le tout en vrac.

Il a pris les assiettes avec les restes de pizza et a pissé dessus.

"Ca leur donnera plus de goût. Bouffe"

Je commençais par bouffer les restes de pizzas. J'avais la dalle.

Puis j'ai commencé à ranger et à faire la vaisselle.

 

Je n'avais pas fini, que Karim m'appelait.

"J'ai fini de chier, nettoie moi le cul"

 

Il savait que je détestais ça. Le Maître ne pratique pas les plans scats (il trouve que ça n'offre aucun intérêt) mais Karim ça l'excite. Je me suis mis à genoux et j'ai commencé à lui bouffer le cul, malgré mon dégoût.

"Vas y plus profond. Sert toi de ta langue. Une raclure comme toi, ça sert à ça"

Je lui ai nettoyé le cul à fond, bouffant sa merde.

 

"Ok, il est tard. Tu dormiras par terre au pied de mon lit, au cas où j'ai besoin de tes services.

Tu mets le réveil sur 6 heures et demi. Tu me réveilleras à 7 heures et demi, avec mon petit dej. Je veux des croissants frais. T'as de la thune ?"

"Oui, le Maître m'a laissé 100 €"

"Ok, la boulangerie ouvre à 7 heures".

 

Karim m'a remis ma cage a bite et je me suis allongé par terre.

 

 

 

 

 

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 7 novembre 6 07 /11 /Nov 08:25
Vers 5h le Maître est venu me chercher.
Immédiatement j'ai été m'agenouiller à ses pieds, pour sniffer, lécher l'emplacement de son sexe.
A l'odeur qui s'en dégageait, j'ai compris que sa queue avait bien servi.

"Tout s'est bien passé ?" a-t-il demandé à Karim.
"Oui, sans problème. J'ai commencé par lui faire faire le ménage"
"J'ai vu, c'est clean"
"Ouais, pour les chiottes, il a utilisé sa langue"
"Et question cul ?"
"11 mecs, à 150 € chacun et il sacrément dérouillé. Je te file la moitié"
"Surement pas, il a fallu que tu t'en occupes"
"Sympa" 

Ils ont bu une bière tous les deux puis le Maître a proposé qu'ils me fassent une double sodo.
On a été dans la piaule de Karim, je l'ai déssapé (en le lèchant en même temps), puis il s'est allongé sur le dos.
J'ai pris du popps et ai été m'empaler sur sa queue.
Karim s'est mis entre les jambes écartées du Maître et m'a pénétré à son tour.
Ils m'ont limé ensemble un long moment, m'éclatant grave la chatte, avant de jouir ensemble.

Le Maître m'a remis ma cage a bite, m'a chargé dans le coffre et nous sommes rentrés.
En arrivant il m'a ordonné de monter au donjon et m'a ordonné de me dessaper, m'a retiré la cage à bite.
Puis il m'a attaché sur la croix de saint andré.
Il s'est approché de moi et m'a gazé.
J'allais morfler.
Le Maître considère en effet que tout acte sexuel avec d'autres mecs doit être puni sévèrement.
Le fait que ce soit sur ordre n'y change rien.
Il a pris un fouet.
"Combien de coups ?" m-a-t-il demandé ?
"Je ne sais pas. C'est à vous de juger.10?"

"15, dont 5 sur le sexe"
Il a commencé à frapper. A chaque coups, j'avais une marque rouge, là où le fouet s'abattait.
Comme je gémissais, il a enlevé son slob, bien odorant et me l'a fourré en bouche.
Il alternait les coups, sur le torse et le sexe.
Attaché comme je l'étais, je ne pouvais que subir, et souffrir.

Quand il m'a détaché, j'avis le torse en sang.
J'ai été m'agenouiller devant lui pour le sucer, comme je dois le faire après une punition, pour le remercier de me corriger comme je le mérite.
Il bandait superdur.
Après quelques minutes, il a joui.
Puis il m'a remis la cage a bite et m'a enfermé dans ma cage pour la nuit.
Par L'esclave - Publié dans : Karim
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Samedi 31 octobre 6 31 /10 /Oct 18:33
En arrivant chez Karim, il était 5 heures du mat.
"Va te doucher. Tu pue vraiment trop".
Je me suis déssapé, et j'ai été sous la douche. Karim m'avait suivi et me matait, contrôlant que je ne me branlais pas.
J'avais les couilles explosées, la chatte douloureuse, des zébrures rouges sur tout le corps.
"Fais toi un lavement, PD, je vais te baiser, que ta chatte soit propre pour ma queue".
Je me suis exécuté.
"Va à la cuisine. Dans un placard tu trouveras de la harrissa. Tu me l'apportes"
En arrivant, Karim était sur son lit, nu, la teub dressée. Je me suis approché et j'ai commencé à le lécher, à le sucer.
Il s'est lassé faire, tout en me travaillant les tétons.
"Mets toi à 4 pattes"
Pendant que je m'exécutais, offrant ma chatte, je l'ai entendu qui mettait une capote et ouvrait le tube de harissa pour en enduire la capote.
"Prends du popps"
Mon cul était complètement ouvert, les chairs à vif, après ce que j'avais subi.
Quand il s'est enfoncé, sur le moment je n'ai rien senti
Mais après une fraction de seconde, avec la harissa, c'est comme si on me passait le fion au chalumeau.
J'ai gueulé tellement ça faisait mal. Karim s'est retiré, le temps de me foutre son slob en bouche, de me claquer la gueule et de remettre de la harissa sur la capote.
"Reprend la position PD"
J'avais compris. Je subirais en silence pendant qu'il me violerait.
Ca a duré un long moment et il a fini par jouir.
"Putain c'était bon. T'es vraiment une chienne".
Il m'a remis ma cage a bite.
"Cette nuit, tu pourras dormir au pieds de mon lit"
"Tu me réveilles à midi, avec le petit dej"

Dormir par terre était quand même plus agréable que la nuit d'avant, dans les chiottes.
Je me suis effondré, en ayant mis ma montre en sonnerie sur 10h et demie.

Quand ça a sonné, j'ai fait gaffe à ne pas faire de bruit. J'ai pris une douche, me suis rasé, ai fait un lavement.
J'avais des stries rouges sur tout le corps et, si la douleur s'était un peu estompée, j'avais encore supermal aux couilles.
J'ai été chercher des croissants et ai préparé son café, un jus d'oranges.
A midi pile, j'ai été le réveiller.
J'avais posé le plateau et suis venu lécher sa queue.
"J'ai envie de pisser"
Je l'ai pris en bouche et il a vidé sa vessie.
Après avoir pris son pti dèj, il a été prendre sa douche où je l'ai suivi. Il en a profité pour m'enculer. 

Vers 13h00, Karim a commandé des pizzas. Quand le livreur est venu, il m' fait aller aux chiottes.
Il est venu me chercher après le départ du livreur et a découpé le centre des pizzas.
C'était pour lui. Moi, j'ai eu droit aux bordures en croute.

L'aprem s'est passé cool. Il a maté un film, pendant que j'étais à ses pieds, autorisé à lui bouffer les couilles, à lui lécher les panards.

Par L'esclave - Publié dans : Karim
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Samedi 31 octobre 6 31 /10 /Oct 09:01
On a repris la moto de Karim. Il a pris la direction du centre ville et s'est arrêté à un bar, encore ouvert.
"Attend moi là".
Il est ressorti quelques minutes plus tard, avec un sandwich.
"Je ne t'ai rien pris, tu as eu à bouffer à midi. C'est suffisant".
Karim a bouffé son sandwich, puis a passé un coup de fil.
"Vous êtes où ?"
.....
"OK, on en a pour 5 a 10 minutes, on s'attend là bas"

On est reparti, direction la banlieue cette fois-ci, pour arriver dans une zone industrielle.
Karim s'est arrêté près d'un entrepôt, visiblement abandonné.
5 autres mecs en moto attendaient.
"C'est lui ?"
"Ouais"
"OK pas mal"

L'entrepôt était fermé mais un des mecs avait la clé.
On est entré. C'était visiblement à l'abandon, sale, avec dans une partie des palettiers en métal rouillé fixés au sol.
Karim m'a ordonné de me foutre à poil.
Pendant que j'obéissais, un des mecs, leur chef visiblement, lui a filé une liasse de billets. Ils avaient emmené de la bière et ont commencé à picoler.

Ils se sont mis autour de moi et ont commencé à me tripoter, tout en ouvrant leurs futes. Ils étaient tous en tenue de moto : fute cuir, blouson, bottes.
Le chef m' a fait me mettre à genoux pour que je sniffe, lèche les zobs.
Ensuite il m'a emmené au fond, là où il y avait les palettiers.
"Couche toi sur le dos"

Il m'a attaché les poignets et les chevilles aux palettiers.
J'étais couché, nu, bras et jambes en croix, le corps tendu.
Karim m'a gazé au poppers.
Un des mecs s'est approché pour me faire boire. La bière était chodasse, et j'aime pas trop. Il m'a forcé à avaler deux canettes.

Puis les motards ont commencé à me latter les couilles à coups de bottes. 
Il y allaient à tour de rôle, en s'interrompant de temps en temps pour picoler de la bière.

Mon Maître pratique régulièrement le ballbusting. Mes couilles sont des couilles de PD : elles servent à ça, à être torturées. Mais là, me prendre des coups de pieds dans les couilles, par 5 mecs en bottes, je dérouillais grave.
Un des mecs s'est assis sur ma gueule pour me faire taire, en m'ordonnant de lui bouffer le cul.
Il était plutôt crade, mais je n'avais pas le choix.

A la fin de la séance, ils ont sorti leurs queues et m'ont tous pissé dessus, avant de me détacher.

Mais ç'était pour me rattacher de suite, en me suspendant par les poignets au palettier. Ils ont pris leurs ceintures et m'ont cogné. Torse, cuisses, sexe.

Pour finir, j'ai été à nouveau détaché et mis a 4 pattes. Et j'ai eu droit à leurs queues. Je devais sucer, me faisais enculer à la chaine. La plupart m'ont joui dessus.

Quand ça a été fini, je puais la sueur, la pisse, le foutre.
J'avais mal partout.

Tout le monde s'est rhabillé, on est sorti, le mec a fermé l'entrepôt et on s'est cassé
Par L'esclave - Publié dans : Karim
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