Karim

Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 20:07

Vers 6h00 du mat, Karim m’a réveillé.

 

Après la journée que j’avais passée à offrir mes trous, plus le tabassage en règle auquel j’avais eu droit, j’avais mal partout.

 

Le fait de dormir sur le sol de sa chambre n’améliorait évidemment pas les choses.

 

« J’ai envie de pisser. File moi ta gueule »

 

Je montais sur son pieu pour le prendre en bouche.

 

Il m’a pissé direct dedans.

 

« Tant qu’à faire, continue. Suce »

 

Je l’ai sucé le temps qu’il bande, puis il m’ a fait mettre à 4 pattes sur son pieu et m’a enfilé. Il m’a ensuite plaqué sur le lit en continuant de me défoncer la chatte, jusqu’à ce qu’il gicle.

 

« Tu peux retourner dormir, PD. Tu me réveilles à 11h00 »

 

J’avais mis le réveil de ma montre sur 10 heures. En me levant, j’ai été me doucher, me raser et faire un lavement. Ma chatte était encore douloureuse, à force d’avoir été ramonée.

 

Je suis descendu chercher des croissants et à 11h00 pile j’ai été le réveiller, en lui léchant l’entrejambe.

 

Il a pris son petit déj, puis a été aux chiottes.

 

5 minutes après il m’appelait pour que je lui bouffe le cul. Ensuite, il m’a ordonné de nettoyer les chiottes, cuvette et sol, en n’utilisant que ma langue.

 

Lorsque j’ai terminé, il était en slip sur le canapé, à regarder une vidéo.

 

« Au pied, chien. Tu peux me lécher les panards. Mais avant, va me chercher mes clopes »

 

Je me suis exécuté.

 

Il a allumé une Marlboro et je me suis mis à ses pieds, que j’ai commencé à lécher.

 

Karim ne s’était pas douché et ses pieds étaient bien odorants. Je passais la langue entre ses orteils, léchais religieusement ses panards.

 

« Ouvre la bouche »

 

J’ai obéi. Il a fait tomber la cendre de son clope dans ma gueule.

 

« Avale »

 

Quand il a eu fini sa cigarette, il me l’a écrasée sur l’un des tétons.

 

J’ai gueulé. Puis, j’ai dû bouffer son mégot, avec le filtre.

 

C’était dégueu. Pour faire passer, il m’a à nouveau utilisé comme pissotière.

 

A la fin du film, j’ai préparé la bouffe. Pâtes et steak haché.

J’ai servi Karim à table, nu. Lorsqu’il a eu fini de bouffer, j’ai eu le droit de manger quelques pâtes, mais sans steak. Elles étaient froides, mais je m’en foutais, j’avais la dalle.

 

Je lui ai servi un café, puis Karim m’a ordonné de le suivre. Il était crevé (et moi donc) et voulait faire une sieste.

 

J’ai eu le droit de m’allonger à côté de lui. Il m’a retiré ma cage à bite pour jouer avec mes couilles.

 

Il les tapait doucement. Malgré tout ça faisait mal.

 

Avant de s’endormir, il m’a fait mettre des menottes, attachées dans le dos, pour que je ne puisse pas me toucher. Ca n’était pas confortable, mais c’était moins dur que de dormir par terre.

 

C’est le Maître qui nous a réveillé, vers 6h et demie, quand il a sonné.

 

Karim m’a enlevé les menottes et m’a ordonné d’aller ouvrir.

 

En voyant le Maître, immédiatement, je me suis m’agenouillé à ses pieds.

 

Son entrejambe sentait l’homme. Après s’être laissé caresser et sniffer, il a sorti 5 capotes pleines de sa poche. Elles étaient nouées à une extrémité.

 

« Tiens, mon foutre. Tu vois, j’ai pensé à toi ce week end »

 

J’ai été prendre des ciseaux dans la cuisine et j’ai coupé les extrémités des capotes, avant d’en avaler le contenu.

 

Après que j’ai avalé le contenu des capotes, il m’a fait me relever et a commencé à me doigter le cul.

 

Je ne m’étais pas fait de lavement depuis le matin.

 

« Ton cul est crade. Tu sais que je déteste ça »

 « Pardon, Maître. Je n’ai pas eu le temps de faire un lavement. Je viens de me réveiller »

 

Pendant que je m’excusais, il avait retiré sa ceinture.

 

Mon « manque d’hygiène » m’a valu 15 coups de ceinturon.

 

Après m’avoir interrogé sur mon week end, sans entrer dans les détails, j’ai une dernière fois sucé Karim et nous sommes partis.

 

Pour le retour, j’ai eu droit au coffre et à la cage à bite.

 

En arrivant, le Maître m’a immédiatement envoyé prendre une douche et faire un lavement.

 

Puis, nous sommes montés au donjon. Il m’a suspendu par les poignets, bras écartés, m’a enlevé la cage à bite pour la remplacer per un poids qu’il m’a attaché aux burnes.

 

Comme à chaque fois, mes pieds ne touchaient évidemment pas le sol et c’étaient mes  bras qui supportaient tout mon poids. Au début, ça allait, mais plus ça durait, plus c’était douloureux.

 

Il m’ ensuite placé des pinces aux seins et des pinces à linge tout le long du flanc depuis les aisselles jusqu’aux hanches.

 

Il s’est installé dans un fauteuil et j’ai dû lui raconter en détail mon week end.

 

A mon Maître, j’ai évidemment parlé de Charles et de Lucas.

 

« Tu as leurs coordonnées ? »

« Oui, Maître »

« Tu me les donneras. Je les appellerai demain pour connaître leur sentiment sur ta prestation ».

 

Après une heure et demie suspendu par les poignets, mes bras me faisaient de plus en plus mal.

 

J’espérais, ayant fini mon récit du week end que le Maître me détacherait.

 

Au lieu de ça, il s’est levé pour aller prendre un fouet.

 

Il en a plusieurs, dont un qui fait particulièrement mal.

 

Il est en cuir très fin, mais tressé et très souple. Chaque coup est un supplice à lui tout seul.

 

« Tu t’es fait combien de mecs ? Une vingtaine, c’est ça ? »

« Oui, Maître »

« Pour le barème, ce sera simple. 20 coups. Tu les compteras »

 

Avant de cogner, il m’a quand même fait sniffer du popps.

 

Il s’était mis en slip. Il a écarté les jambes pour bien prendre son appui et il commencé à frapper.

 

J’ai hurlé dès le premier coup.

 

J’avais une zébrure rouge sur le torse.

 

« Un. Pitié, Maître »

« Ta gueule, pute »

 

Il a continué à frapper, jusqu’à 20. Je n’ai heureusement eu droit qu’à 5 coups sur le sexe. Plus, je n’aurais pas résisté.

 

Quand il m’a finalement détaché, j’avais le torse et l’entrejambe striés de marques rouges, certaines qui saignaient légèrement.

 

Il m’a enlevé le poids aux couilles et les pinces.

 

« Viens de décrasser maintenant »

 

Je l’ai léché sur tout le corps.

 

Il sentait la sueur, le sexe, le Mâle.

 

Pour finir, il m’a enculé, avant de me jouir dans la gueule.

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 13:40

Pendant que le premier mec me tirait, deux autres s’étaient approchés et me mataient en train de me faire enculer.

 

A peine le premier avait joui, un des deux a voulu prendre le relai.

 

Karim est intervenu.

 

« Avec lui, faut payer avant de consommer. C’est 40 € »

Le mec s’est cassé.

 

L’autre a filé les 40 € à Karim.

J’en ai profité pour sniffer du popps.

 

Visiblement, le fait de me voir me faire défoncer l’avait excité. Il a sorti sa queue direct, a mis une capote et m’a enfilé.

 

« T’es bien ouvert. Tu te fais souvent défoncer ? »

« Ouais »

 

J’étais les mains contre le mur, les coudes légèrement pliés, le cul bien cambré.

 

Quelques minutes plus tard, il avait joui.

 

Nous sommes ressortis du passage souterrain et j’ai recommencé à tapiner.

 

Il y avait du monde, mais les mecs tournaient sans concrétiser.

 

Après un quart d’heure, Karim est venu me voir.

 

« On va pas y passer la nuit. Tâche d’être un peu plus agressif quand tu tapines. Quand un mec semble intéressé, tu vas le voir, tu lui mets la main aux couilles, tu le caresses et tu te demmerdes pour lui vendre la marchandise. Compris, bâtard ? »

 

Je n’avais d’autre choix que d’obéir.

 

Il m’était déjà arrivé de tapiner dans le passé, avant que je ne devienne l’esclave du Maître. Mais à l’époque je draguais surtout sur le net. Le « tapin agressif », j’étais pas très doué.

 

Et depuis, quand le Maître me louait ou me prêtait, c’était dans des plans organisés.

 

J’avais repéré depuis quelques temps un mec qui me matait régulièrement.

 

Je me suis approché de lui et j’ai suivi les ordres, je lui ai mis la main au pacson et j’ai commencé à le caresser.

 

« Ca te dit pas de me filer ta queue ? Je suis grave accro, une vraie chienne. Tu peux avoir mes trous, tu verras, je sais bien les offrir »

« Tu te fais baiser ? tu aimes ça »

« Et comment ? Mais avant faut voir mon mac »

« Je vois »

« T’inquiète, c’est les soldes. Et je vaut le coup »

 

Il avait pas l’air emballé mais a quand même été voir Karim.

Après quelques instants, Karim a passé sa langue sur ses lèvres.

Pipe.

Le mec est revenu et on a été dans les buissons.

 

J’ai commencé par le caresser. Il m’a roulé une pelle brutale puis m’a mis à genoux, en sortant sa queue. Je l’ai pris en bouche. Il m’a giclé sur le torse.

 

Trois autres mecs nous mataient. Je les ai envoyés à Karim. L’un d’eux s’est cassé. Un connard dans les 50 balais. Vu son physique, il avait pas beaucoup de chances de tirer son coup. Les 2 autres sont revenus. Karim avait passé deux fois la langue sur ses lèvres.

 

Je me suis foutu à genoux. Ils se relayaient dans ma gueule.

Pour finir, ils se sont branlés de concert et m’ont joui dessus.

 

J’ai recommencé à me balader.

 

Karim est revenu me voir.

 

« Tâche de vendre ton cul. A 20 €, les pipes, ça vaut à peine le coup »

« Oui Seigneur »

 

Je continuais à tourner.

 

A un moment, j’ai vu un deux skins. Je me suis rapproché de Karim. Le parc Baco, y a déjà eu des PD qui se sont fait tabasser grave. Par contre les mecs sont repartis assez rapidement.

 

J’essayais de vendre mon cul, mais avec des résultats moyens. Quand il s’agissait de passer à la caisse, les mecs se contentaient d’une pipe à 20 €. De toute manière, au final, le résultat était le même : ils crachaient leur jus.

 

Je m’en suis fait 3 à la file, mais seulement des pipes.

 

« Qu’est ce que tu fous, bâtard. Je t’ai dit de vendre ton cul »

« Je fais de mon mieux, Seigneur, mais c’est les clients qui décident »

« Tu vois le petit jeune là bas ? Ca fait un bout de temps qu’il te mate. Va le voir. Tu l’emmènes dans le passage souterrain et tu lui file ta chatte. Lui, c’est à l’œil. Ca sera ton cadeau et ca devrait attirer le client ».

 

Je m’approchais du mec. Il avait dans les 20 ans. Belle petite gueule.

 

« Au lieu de me mater, tu veux pas me tirer ? » 

« Je paye pas pour baiser »

« T’inquiète, pour toi ce sera gratos »

 

Il m’a suivi dans le passage souterrain.

 

J’étais chaud. Un petit jeune, bandant en plus, ça changeait des vieux que je m’étais fait jusqu’ici.

 

J’ai commencé par lui caresser le torse, lui lécher les tétons. Lui m’avait mis la main entre les jambes et me caressait la bite. Je bandais. Je me suis collé contre lui, frottant mon sexe contre le sien. Il m’a embrassé.

 

Je me suis mis à genoux.

 

« J’ai envie de ta queue »

Il a ouvert son jean. Il portait un slip bleu clair. Sa queue en sortait déjà, bien raide.

 

J’ai commencé par lui lécher le gland, en le lui décalottant bien. Il gémissait.

Puis je me suis occupé de ses couilles, je les ai prises en bouche. Elles étaient bien dures, lourdes.

J’ai fini par prendre sa queue en bouche.

 

Après en avoir bien profité, en le prenant en fond de gorge, je me suis relevé et retourné, lui présentant ma chatte.

 

« Saute moi, j’ai envie de ta queue »

 

Il ne s’est pas fait prier, a mis une capote et m’a enfilé direct.

 

Je n’avais pas pris de popps. J’étais bien ouvert et surtout bien chaud.

 

La position n’était pas très confortable, mais il me défonçait comme une bête. De temps en temps il ressortait sa queue pour me la ré-enfoncer encore plus profond. Je bandais à fond.

 

Quand il a joui, il y avait 2 mecs qui mataient.

 

Ils ont réglé ce qu’ils devaient à Karim et me sont passés dessus.

 

Un troisième les a rejoint et m’a tiré à son tour.

 

Ensuite, je suis reparti tapiner.

 

Je me suis encore fait deux pipes et une sodo.

 

Il était deux heures et demie du matin.

 

J’étais épuisé, mon cul me faisait mal.

 

Karim a sonné le signal du départ.

 

Je m’étais fait 13 mecs, sans compter le petit jeune, 5 enculages et 8 pipes.

 

Ce salaud de Karim avait encaissé près de 400 € dans la soirée.

 

Je me suis rhabillé.

 

« J’ai envie de pisser, PD »

 

Je l’ai bu et on est rentré.

 

En arrivant chez lui il m’ a fait mettre à poil et a commencé par me filer une trempe.

 

J’ai eu droit à une dizaine de coups de ceinturon, puis à une série de coups de pied, notamment dans les burnes.

 

Ce salaud s’était fait près de 1000 € avec mon cul et me dérouillait « pour le plaisir que j’avais pris ».

 

Après s’être défoulé, il m’a ordonné de le sucer avant de me tirer. Karim est un salaud, mais question sexe il est du genre endurant. A la fin, ma chatte était complètement explosée.

Il m’a mis ma cage à bite et j’ai été autorisé à dormir au pied de son lit.

 

Vu l’heure, je ne devais le réveiller qu'à 11 heures. Avec le petit déj.

 

 

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 06:01

Karim est rentré vers 7 h et demie. J'avais eu le temps de nettoyer l'appart.

 

"T'as fait combien bâtard ?"

"640 €, Seigneur"

"Putain, t'es une bonne gagneuse. Combien de mecs ?"

"6, en comptant un passif qui était venu avec son mec"

 

Je ne lui parlais évidemment pas de Lucas.

 

"File la tune et viens là."

 

Je lui ai remis l'argent. Il a sorti son zob.

 

Pendant qu'il comptait, je me suis mis à genoux pour le prendre en bouche.

 

Après l'avoir fait jouir (il m'a craché sur la gueule), il m'a demandé si j'avais bouffé à midi.

 

'Non, Seigneur, je n'ai pas eu le temps"

"T"as la dalle, alors ?"

"Oui, Seigneur"

"OK, ton Maître t'a laissé du fric. Tu vas nous inviter au restau"

"Pour après, j'ai des projets pour toi. T'as emmené quoi comme tenues provoc ?"

 

J'avais notamment un slip et un tshirt en voile transparent, noir. Le slob était troué au niveau de la chatte.

C'est ce qu'il m'a ordonné de mettre, sous un jean et une chemise.

 

"Tu prends du poppers et des capotes"

 

On a pris sa moto et on a été au centre ville.

 

Au restau, Karim a pris entrée, plat, dessert. Il m'a autorisé seulement un plat.

 

On est ressorti du restau vers 10 heures et demie et on a repris sa moto.

 

"Maintenant, tu vas tapiner pour moi"

 

On a été au parc Baco. C'est au centre, près de la gare. C'est l'un des principaux lieux de drague de Nantes. Mais ça craint un peu. Il y a parfois des casseurs de PD qui viennent traîner.

 

Karim a garé sa moto sur un grand parking à côté. Il m'a fait me dessaper et ranger mon jean et mon tshirt dans son top case.

 

En slob et tshirt transparent, j'avais vraiment l'air d'une tapette.

 

Pour rejoindre le parc depuis le parking, il y a un passage souterrain, qui passe sous la voie ferrée.

 

Souvent, il y a des mecs qui s'y font enculer, mais là il n'y avait personne.

 

La nuit commençait à tomber, mais il faisait pas encore noir. Dans le parc, y avait pas mal de monde. Normal, on était samedi soir.

 

"OK, tu peux commender  à tapiner. La pipe, c'est 20 €, 40 € la totale. Tu m'envoies les clients.

Si je passe la langue sur mes lèvres, c'est une pipe. Si je te montre mon doigt, la totale.

Compris, bâtard ?

 

"Oui, Seigneur"

 

Je commençais à tourner dans le parc. Dans ma tenue, les mecs me mataient évidemment.

Il y en a un qui s'est approché de moi.

 

"Tu te fais baiser ?"

 

Je lui ai mis la main au pacson, pour le caresser.

 

"Oui, et j'aime ça. Je file ma gueule et ma chatte. Mais avant, faut que tu ailles voir mon mec"

"C'est qui ?"

"Le rebeu, là bas"

 

Je lui désignais Karim.

 

Il s'est approché de lui. Ils ont discuté quelques instants et Karim m'a fait un doigt.

 

Le mec est revenu. On est parti dans le passage souterrain.

Karim nous suivait.

 

Je me suis mis contre le mur et j'ai commencé à le caresser. Il a passé la main sous mon tshirt et m'a fait les tétons, tout en ouvrant sa braguette pour sortir sa queue.

Je l'ai prise en bouche. Elle était clean, sentant à peine l'homme.

J'ai commencé à pomper, à genoux.

Le sol étant en béton rugueux, ça faisait mal aux genoux.

Quand il a bandé, il m'a fait me relever.

 

"Retourne toi, file moi ton cul".

Il a mis une capote et m'a enfilé direct.

 

Avec les mecs qui m'avaient défoncés toute la journée, il n'a pas eu de mal à rentrer !!!!

 

"T'es bien ouvert. Tu te fais souvent tirer ?"

"6 fois déjà aujourd'hui"

"Putain. Et le beur, c'est ton mac ?"

"Oui"

 

Il a joui.

 

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 17 juillet 6 17 /07 /Juil 19:41

Après le départ de Charles, j'étais en nage.

 

J'ai été prendre une douche. L'eau tiède sur mon corps m'a fait du bien. Ca n'avait pas été très hard, mais j'avais quand même dérouillé. Mon corps étant totalement lisse, je n'ai pas eu de mal à enlever la cire. Sauf sur le pubis, où j'ai toujours mes poils. J'en ai arraché quelques uns en enlevant la cire.

 

Après la douche, j'ai rappelé les deux mecs, ceux qui voulaient un plan à 3. Je suis tombé sur le répondeur, en demandant qu'ils me rappellent. Je me suis remis sur le net. Si les deux ne rappelaient pas, il fallait encore que je me fasse 60 € minimum.

 

Assez vite, j'ai eu trois contacts interéssés.

 

C'est là où le tél a sonné.

 

C'étaient les deux mecs. Ils étaient toujours partants. 200 €.

 

Leur plan, c'était que je devais m'occuper de l'actif (il s'appelait Jean) pendant que l'autre, Alain, materait.

 

Je devais caresser, lécher, sucer, me faire enculer, mais Jean ne me jouirait dans le cul.

 

Après m'être fait enculer, je devrais préparer le cul d'Alain, et c'est lui qui se ferait enculer, pendant que je le pomperai.

 

J'étais OK. Ce serait pas la première fois qu'on me materait pendant que je me ferais baiser.

 

Ils m'ont dit qu'il pourraient être là vers 3h et quart.

 

Ils étaient là à l'heure dite.

 

Je les ai attendu en slob.

 

Ils avaient tous les deux ans dans les 45 50. Pas trop mal, mais Charles malgré son âge était plus bandant.

 

On a été direct dans la piaule, après qu'ils soient passés à la caisse.

 

Je les ai deshabillé, en conservant mon slip. Ils portaient tous les deux des boxers noir. Je me suis foutu à genoux devant Jean pour commencer à le chauffer, en utilisant ma bouche. Assez vite, il a commencé  à bander.

 

On s'est foutu sur le pieu.

 

Je me suis allongé à côté de lui, en gardant mon slob, et j'ai commencé à lui sucer, lécher les tétons, lui bouffer les aisselles. Puis, je suis descendu le long de son torse, langue tendue, pour le lécher.

 

Au moment où j'atteignais ses couilles, Alain m'a enlevé mon slob et a commencé à me doigter. J'ai pris du popps, tout en  me laissant faire.

 

Jean mouillait. J'ai commencé par le décalotter pour lui lécher le gland, puis j'ai pris ses couilles en bouche.

 

J'étais à 4 pattes, lui couché, moi sur lui et Alain me foullait la chatte.

 

J'ai recommencé à le sucer.

 

"Occupe toi de mes seins, mais travaille les doucement"

 

Je suis remonté, les doigts d'Alain toujours dans ma chatte et je lui ai fait les tétons, doucement.

 

J'étais quasiment couché sur lui, je sentais sa bite, dure et raide.

 

"Mets toi en levrette, que je te saute"

 

Il a enfilé une capote, et m'a pris.

 

Alain était debout, mais il s'était mis face à moi. Il bandait lui aussi. Je l'ai pris en bouche pendant que Jean me limait.

 

Après quelques aller -retours dans mon cul, il s'est retiré.

 

"Bouffe le cul d'Alain, élargis bien son trou avec ta langue".

 

Alain s'était allongé sur sur le ventre. Je me suis foutu à 4 pattes sur lui, pour m'ocupper de son trou.

 

Il était pas très propre et j'ai horreur de ça. Mais les 200 € valaient bien un effort. Et c'était moins craignos que de nettoyer le cul de Karim après qu'il ait chié.

 

Je lui léchais la rondelle, la suçais, la pénétrait avec ma langue.

 

Il avait pris du popps et était plutôt ouvert.

 

"Ca suffit, il doit être prêt maintenant"

 

Alain s'est mis à 4 pattes, offrant sa chatte à son mec. Moi je me suis allongé, la tête entre ses jambes, pour le sucer.

 

Jean l'a enfilé sans capotes. Ils étaient visiblement ensemble. Il a gémi, s'est un peu cambré. Je continuais à le sucer.

 

Jean à joui peu de temps après. Il s'est retiré et Alain s'est vidé sur mon torse.

 

Ils se sont rahbillés et sont repartis. 

 

Il était 4 heures. Je m'étais fait 640 €. Karim ne devait pas rentrer avant 7h et demie.

 

J'ai repris une douche. J'avais assez fait la pute pour aujourd'hui, mais j'avais envie de m'ocupper de "l'intiation" du petit jeune.

 

Je l'ai rappelé. Il était toujours partant, mais en même temps je le sentais hésitant.

 

Je lui ai dit qu'il fallait bien commencer un jour, et que si ça ne lui convenait pas, ou si je ne lui convenais pas, il n'y avait pas de problème.

 

Il a finalement décidé de venir.

 

Il s'appelait Lucas.

 

Une demi heure plus tard, il était là.

 

Histoire de ne pas l'effrayer, j'avais mis un jean et un tshirt.

 

Lui était en jean également, avec une chemisette. Très BCBG, belle gueule, beau corps, fin, souple.

 

Je l'ai fait entrer, lui ai demandé s'il voulait boire quelque chose.

 

"T'as quoi ?"

"Ce que tu veux, café, alcool, jus d'orange, coca"

 

Il a pris un coca, moi un jus d'orange.

 

On s'est assis sur le canapé.

 

Doucement, j'ai commencé à lui caresser le torse.

 

"Tu es superbandant. détends toi, je suis là pour te donner du plaisir. Mais le mec, c'est toi, c'est toi qui décide"

"Je ne sais pas si ça te branche d'embrasser un mec ou pas. Là encore, c'est toi qui décide"

"J'aimerais bien essayer"

 

J'ai posé ma bouche sur la sienne et il m'a pénétré avec sa langue.

Je commençais à le chauffer, il m'a roulé une pelle de manière presque brutale.

 

J'ai enlevé mon tshirt, ouvert sa chemise et j'ai commencé à lui lécher le torse.

il avait l'air d'apprécier. Il a commencé à me caresser les tétons.

 

"Tu as des tétons vachement allongés par rapport aux miens. Et les marques, sur ton torse, c'est quoi ?

"Des coups, je suis maso. Mais t'inquiète pas, le plan avec toi c'est t'initier. Sauf si tu as envie d'aller plus loin"

 

"Non, le sm, c'est pas mon truc"

'Une autre fois peut être"

Après l'avoir léché sur le torse, j'ai enlevé mon jean et le sien.

 

Il portait un minislip bleu, très sexy. Et surtout, il bandait. moi, j'étais à poils sous mon jean

 

J'ai embrassé l'emplacement de son sexe.

 

Sa queue était dure. J'ai enlevé son slob avec mes  dents, je me suis mis à 4 pattes entre ses jambes.

 

"Ta queue est superbe. Elle fait envie"

"Tu veux y goûter ?"

"Oui, je sens que je vais y être accro"

 

Je l'ai pris en bouche, je l'ai sucé, je lui bouffais les couilles, lui léchais le gland puis le reprenais en bouche.

 

"On va dans la chambre, on sera mieux"

 

Il m' a suivi, la queue raide.

 

Une fois au pieu, on a repris nos jeux. Je léchais son corps, son torse, lui bouffais les tétons, revenais a sa bite.

Visiblement ça lui plaisait. Il a pris des initiatives, me caressais aussi, s'est allongé sur moi pour me rouler une pelle, me pénétrant avec ma langue.

 

"Tu veux que je te suce aussi ?"

"Uniquement si tu as envie"

 

Il m'a pris  en bouche à son tour. Je bandais hyperdur, mais j'y allais doucement, le laissant faire, sans le forcer.

 

J'étais chaud. J'avais envie de lui donner mon cul.

 

"Encule moi. Tu es le Mâle, j'ai envie d'être ta salope"

 

Je me suis mis en position. Il a mis une capote et m'a pris.

 

"Tu es bien ouvert. Tu te fais souvent baiser ?

"Oui, j'aime ça. Les PD, ça sert à ça. A faire jouir les Mâles comme toi"

 

C'était bon. Je sentais sa jeune bite aller et venir dans ma chatte. Je bandais à mort.

Il a joui.

 

Il a enlevé la capote et remis son slip.

 

"C'était génial"

"Pour moi aussi"

"Mais tu n'as pas joui"

"C'était pas le but, le Mâle, c'est toi"

 

On a été prendre une douche ensemble. Je l'ai savonné, je l'ai sucé à nouveau. Il a recommencé à bander et m'a joui dans la gueule.

 

Il s'est rhabillé et m'a remercié.

"Merci à toi, tu vois, ça valait le coup que tu passes. N'importe quel PD aurait aimé être à ma place. Maintenant que tu a appris à te servir de ce que tu as entre les jambes, profites en"

"On pourra se revoir ?"

"Je ne sais pas, c'est pas moi qui décide. Mais j'en parlerai à mon Maître. J'espère qu'il acceptera"

 

Il était 6 heures. J'avais encore ue heure et demi avant le retour de Karim.

 

Il me restait l'appart à ranger et à nettoyer.

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 17 juillet 6 17 /07 /Juil 14:57

J’ai enfilé en vitesse un mini short en lycra noir, troué au niveau de la chatte et un tshirt moulant et je suis descendu, comme Charles l’avait demandé.

 

Dans cette tenue, j’avais vraiment l’air d’une salope en chaleur, mais j’en avais rien à foutre.

 

La plupart des mecs de l’immeuble savaient que j’étais un bâtard et bon nombre d’entre eux avaient déjà utilisés mes trous, lorsque Karim me faisait tourner.

 

Charles était plutôt pas mal, en jean et chemisette, de bon goût, bien conservé pour son âge. Il avait un sac de voyage avec lui.

 

« J’ai emmené un peu de matos »

 

Dès qu’on a été dans l’ascenseur, il m’a plaqué contre la cloison, a soulevé mon tshirt et m’a fait les tétons d’une main, pendant que de l’autre il me serrait les couilles.

 

Visiblement, il savait ce qu’il voulait.

 

En entrant dans l’appart de Karim, il m’a demandé de me foutre à poil, pendant que lui aussi se déshabillait, ne gardant qu’un slip plutôt sexy. Visiblement, la séance dans l’ascenseur l’avait excité : sa queue sortait du slip, bien raide.

 

« Tiens, les 250 € convenus ; C’est chez toi, ici ? »

« Non, chez un pote de mon Maître »

« Tu es maqué, c’est ton Maître qui te prostitue ? »

« Parfois, mais aujourd’hui c’est le pote auquel il m’a confié »

« Ton Maître est au courant qu’il te loue ? »

« Bien sûr, il lui a accordé une délégation d’exploitation. Il a sur moi les mêmes droits que mon Maître »

« Je vois. Pour commencer je vais t’examiner. Les mains sur la tête. Et écarte les jambes »

 

J’ai obéi.

 

Il s’est approché de moi et a recommencé à me travailler les tétons.

Il me faisait mal, je gémissais doucement, tout en me laissant faire.

 

« Tu est souvent torturé, on dirait, vu les marques que tu as. Ton Maître est dur ? »

« C’est le Maître, il fait ce qu’il juge bon »

« La marque, sur ta cuisse, c’est quoi ? Tu as été brulé au fer ? »

« Oui, c’est l’initiale de son prénom. Pour que les mecs qui me baisent savent que je lui appartiens »

« Je vois. T'as dû morfler»

« Oui, mais aujourd'hui je suis fier de montrer que je suis son esclave »

 

Après mes tétons, il s’est occupé de mes couilles, commençant par les soupeser avant de les serrer, de plus en plus fort.

 

« Tu as de belles couilles, bien pendantes. Ce sera un plaisir de les torturer »

« Mets toi contre le mur, en t’appuyant dessus et cambre toi, que j’examine ta chatte »

 

J’ai obéi. Il a commencé à me doigter, d’abord un, puis deux puis trois doigts.

 

« Tu as le cul bien ouvert mais ferme. Et propre. C’est bien »

« A genoux, et chauffe moi. Tu sais te servir de ta langue, j’espère ? Lèche moi bien, en commençant par mes panards »

Je me suis exécuté, en commençant par lui lécher les pieds, entre les orteils, la plante des pieds, les chevilles puis en remontant doucement, jusqu’à ses cuisses..

 

Une fois au niveau du slob, j’ai fourré ma gueule dessus pour bien le sniffer, avant de le lécher, en passant ma langue sous le tissu pour atteindre ses couilles.

 

« Ca suffit. Tu auras droit à mon sexe plus tard. Continue de remonter le long de mon corps »

 

Je lui léchais le torse, les seins pour finir par les aisselles. Il m’a agrippé par les cheveux, m’a tiré la langue en arrière et m’a roulé une pelle.

 

« Tu m’a l’air d’une bonne salope. On va pouvoir s’amuser ensemble »

« Reste à voir comment tu te comportes sous les coups. Remets toi à genoux »

 

Pendant que je m’exécutais, il a sorti une cravache de son sac et a commencé à me frapper sur le dos.

 

Il m’a filé une dizaine de coups.

 

« Tu encaisses bien. Voyons comment tu te comportes quand on te fouette le sexe. Couche toi sur le dos »

 

J’ai obéi, ça m’a valu une dizaine de coups supplémentaires, sur la queue et les couilles.

 

« Test concluant. Le pieu, il est où ? On sera plus à l’aise »

 

Je l’ai emmené dans la piaule de Karim.

 

Il m’a ordonné de m’allonger sur le dos, a sorti des liens et m’a attaché en croix sur le lit, en veillant à bien m’écarteler. Puis, il m’a gazé au poppers, avant de me baillonner.

 

Il a pris une cordelette dans son sac et m’attaché les couilles, hyperserré, avant de fixer l’autre bout de la cordelette aux barreaux du lit, en la tendant au max. J’avais les couilles étirées à fond. Puis, il m’a mis des pinces aux tétons et a sorti une bougie de son sac.

 

Pendant que le cire commençait à fondre, il s’est mis en retrait, pour me mater.

 

« Tu es superbe comme ça »

 

Il m’a re-poppérisé et a pris la bougie, faisant couler la cire chaude d’abord sur les mes tétons, jusqu’à ce qu’ils en soient totalement couverts, puis sur le torse, enfin la bite et les couilles.

 

Pour finir, il a pris ma queue, m’a décalotté et m’a fait couler de la cire sur le gland.

 

Je gémissais. J’avais mal. Mais j’étais là pour ça.

 

 

Après m’avoir bien torturé de la sorte, il m’a enlevé le bâillon et s’est  mis à 4 pattes sur moi.

 

« Sers toi de ta bouche. Lèche moi le slip, bien à fond, je veux qu’il soit mouillé »

 

Pour me faciliter la tâche, il est rapproché, me collant son slob sur la gueule.

 

Il était propre, mais sentait quand même le Mâle. Il bandait comme un fou et je sentais sa mouille.

 

« Enlève moi le slip, maintenant »

« J’y arrive pas »

« Sers toi de ta bouche et de tes dents »

 

J’ai relevé la tête et après quelques tentatives, j’ai réussi à lui baisser son slob.

 

« Tu vois, que tu y arrives. Maintenant, suce »

 

J’ai réussi à le prendre en bouche, il a bougé un peu pour bien me pénétrer la gueule et j’ai commencé à le sucer.

 

Après quelques minutes, il s’est retiré.

 

« C’est bien, on va passer aux choses sérieuses maintenant »

 

Il a repris sa cravache et a commencé à me cingler. Le torse, le ventre, les cuisses puis le sexe.

 

Il frappait pour de bon, pour faire mal.

 

« Les PD, c’est comme ça qu’on doit les traiter. Tu as l’habitude, je suppose ? »

« Oui, Monsieur, et je suis là pour ça »

 

Enfin, il s’est arrêté de cogner et m’a détaché.

 

« Tu as des godes ? Montre les »

 

Karim en avait plusieurs et le Maître m’avait fait prendre du matos également.

 

J’en avais un gros, gonflable. C’est celui qu’il a choisi.

 

« Ton cul doit être suffisamment souple pour qu’on ne prenne pas de gel. On va essayer comme ça. Reprends du poppers, ça tu y a droit »

 

Il a réussi à me l’enfoncer dans le cul a la troisième ou quatrième tentative et il a commencé à le gonfler.

 

J’avais le cul a la limite d’exploser.

 

"Bien, maintenant couche toi sur le dos. Et garde le gode dans le cul."

 

Il n'y avait aucune chance que je ne le garde pas. Le gode était gonflé à bloc et remplissait complètement ma chatte. Je me suis mis sur le dos.

 

Charles s'est assis sur ma gueule.

"Maintenant, tu vas me bouffer le cul. Lèche bien, et pénètre moi avec ta langue. J'aime ça"

 

Je me suis exécuté. Son cul était clean. Je lui léchais le trou, aspirais sa chatte, le pénétrait bien à fond avec ma langue.

 

"Caresse moi les couilles en même temps"

 

Visiblement, il aimait ça. Ses couilles était dures et il bandait comme un malade.

 

Il m'a fait bouffer sa chatte une dizaine de minutes, puis s'est relevé.

 

"Il est temps que je me vide les couilles"

 

Il a dégonflé le gode à moitié puis me l'a retiré en force. J'ai gueulé.

 

"A 4 pattes sur le lit, file moi ton cul"

 

Il a enfilé une capote et m'a pris. Il n'a au aucun mal à me pénétrer.

 

Une fois en moi, il m'a fait m'allonger sur le ventre, tout en me travaillant les tétons et a commencé à me limer.

 

Il m'a baisé un bon moment, puis je l'ai senti se tendre, il a gémi et joui.

 

Il s'est retiré, à enlevé la capote.

 

"Putain, on peut dire que tu es une bonne salope".

"Merci, Monsieur".

 

J'étais en nage, lui aussi. Je lui ai proposé de prendre une douche et demandé s'il voulait boire quelque chose.

 

"Un café, expresso si tu as, et un verre d'eau"

 

Pendant qu'il prenait sa douche, je nous ai préparé un expresso.

 

On l'a bu ensenble.

 

"Tu fais souvent la pute ? Pour ton Maître ? Le mec dont tu m'as parlé, Karim, c'est qui ?"

"Un pote du Maître. Il me confie à lui de temps en temps. Je fais aussi la pute pour mon Maître, mais occasionnellement. Ca l'excite. Karim, lui, c'est le fric qu'il veut"

 

"Je vois. En tout cas, j'ai rarement autant pris mon pied. Si ton Maître ou Karim veulent de nouveau te louer, je suis partant. Et tu peux dire à ton Maître qu'il a de la chance. Comme bâtard, tu es au top"

 

"C'est moi qui ai de la chance, de lui appartenir".

 

"Tu veux une dernière gâterie avant de partir ?"

"Gratos ?"

"Evidemment" 

 

Je l'ai repris en bouche. Il a rebandé quasi de suite. Je l'ai sucé un moment, puis il m'a giclé dessus.

 

Il était un peu plus de 2 heures.

 

J'en était à 440 €.

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