Vers 6h00 du mat, Karim m’a réveillé.
Après la journée que j’avais passée à offrir mes trous, plus le tabassage en règle auquel j’avais eu droit, j’avais mal partout.
Le fait de dormir sur le sol de sa chambre n’améliorait évidemment pas les choses.
« J’ai envie de pisser. File moi ta gueule »
Je montais sur son pieu pour le prendre en bouche.
Il m’a pissé direct dedans.
« Tant qu’à faire, continue. Suce »
Je l’ai sucé le temps qu’il bande, puis il m’ a fait mettre à 4 pattes sur son pieu et m’a enfilé. Il m’a ensuite plaqué sur le lit en continuant de me défoncer la chatte, jusqu’à ce qu’il gicle.
« Tu peux retourner dormir, PD. Tu me réveilles à 11h00 »
J’avais mis le réveil de ma montre sur 10 heures. En me levant, j’ai été me doucher, me raser et faire un lavement. Ma chatte était encore douloureuse, à force d’avoir été ramonée.
Je suis descendu chercher des croissants et à 11h00 pile j’ai été le réveiller, en lui léchant l’entrejambe.
Il a pris son petit déj, puis a été aux chiottes.
5 minutes après il m’appelait pour que je lui bouffe le cul. Ensuite, il m’a ordonné de nettoyer les chiottes, cuvette et sol, en n’utilisant que ma langue.
Lorsque j’ai terminé, il était en slip sur le canapé, à regarder une vidéo.
« Au pied, chien. Tu peux me lécher les panards. Mais avant, va me chercher mes clopes »
Je me suis exécuté.
Il a allumé une Marlboro et je me suis mis à ses pieds, que j’ai commencé à lécher.
Karim ne s’était pas douché et ses pieds étaient bien odorants. Je passais la langue entre ses orteils, léchais religieusement ses panards.
« Ouvre la bouche »
J’ai obéi. Il a fait tomber la cendre de son clope dans ma gueule.
« Avale »
Quand il a eu fini sa cigarette, il me l’a écrasée sur l’un des tétons.
J’ai gueulé. Puis, j’ai dû bouffer son mégot, avec le filtre.
C’était dégueu. Pour faire passer, il m’a à nouveau utilisé comme pissotière.
A la fin du film, j’ai préparé la bouffe. Pâtes et steak haché.
J’ai servi Karim à table, nu. Lorsqu’il a eu fini de bouffer, j’ai eu le droit de manger quelques pâtes, mais sans steak. Elles étaient froides, mais je m’en foutais, j’avais la dalle.
Je lui ai servi un café, puis Karim m’a ordonné de le suivre. Il était crevé (et moi donc) et voulait faire une sieste.
J’ai eu le droit de m’allonger à côté de lui. Il m’a retiré ma cage à bite pour jouer avec mes couilles.
Il les tapait doucement. Malgré tout ça faisait mal.
Avant de s’endormir, il m’a fait mettre des menottes, attachées dans le dos, pour que je ne puisse pas me toucher. Ca n’était pas confortable, mais c’était moins dur que de dormir par terre.
C’est le Maître qui nous a réveillé, vers 6h et demie, quand il a sonné.
Karim m’a enlevé les menottes et m’a ordonné d’aller ouvrir.
En voyant le Maître, immédiatement, je me suis m’agenouillé à ses pieds.
Son entrejambe sentait l’homme. Après s’être laissé caresser et sniffer, il a sorti 5 capotes pleines de sa poche. Elles étaient nouées à une extrémité.
« Tiens, mon foutre. Tu vois, j’ai pensé à toi ce week end »
J’ai été prendre des ciseaux dans la cuisine et j’ai coupé les extrémités des capotes, avant d’en avaler le contenu.
Après que j’ai avalé le contenu des capotes, il m’a fait me relever et a commencé à me doigter le cul.
Je ne m’étais pas fait de lavement depuis le matin.
« Ton cul est crade. Tu sais que je déteste ça »
« Pardon, Maître. Je n’ai pas eu le temps de faire un lavement. Je viens de me réveiller »
Pendant que je m’excusais, il avait retiré sa ceinture.
Mon « manque d’hygiène » m’a valu 15 coups de ceinturon.
Après m’avoir interrogé sur mon week end, sans entrer dans les détails, j’ai une dernière fois sucé Karim et nous sommes partis.
Pour le retour, j’ai eu droit au coffre et à la cage à bite.
En arrivant, le Maître m’a immédiatement envoyé prendre une douche et faire un lavement.
Puis, nous sommes montés au donjon. Il m’a suspendu par les poignets, bras écartés, m’a enlevé la cage à bite pour la remplacer per un poids qu’il m’a attaché aux burnes.
Comme à chaque fois, mes pieds ne touchaient évidemment pas le sol et c’étaient mes bras qui supportaient tout mon poids. Au début, ça allait, mais plus ça durait, plus c’était douloureux.
Il m’ ensuite placé des pinces aux seins et des pinces à linge tout le long du flanc depuis les aisselles jusqu’aux hanches.
Il s’est installé dans un fauteuil et j’ai dû lui raconter en détail mon week end.
A mon Maître, j’ai évidemment parlé de Charles et de Lucas.
« Tu as leurs coordonnées ? »
« Oui, Maître »
« Tu me les donneras. Je les appellerai demain pour connaître leur sentiment sur ta prestation ».
Après une heure et demie suspendu par les poignets, mes bras me faisaient de plus en plus mal.
J’espérais, ayant fini mon récit du week end que le Maître me détacherait.
Au lieu de ça, il s’est levé pour aller prendre un fouet.
Il en a plusieurs, dont un qui fait particulièrement mal.
Il est en cuir très fin, mais tressé et très souple. Chaque coup est un supplice à lui tout seul.
« Tu t’es fait combien de mecs ? Une vingtaine, c’est ça ? »
« Oui, Maître »
« Pour le barème, ce sera simple. 20 coups. Tu les compteras »
Avant de cogner, il m’a quand même fait sniffer du popps.
Il s’était mis en slip. Il a écarté les jambes pour bien prendre son appui et il commencé à frapper.
J’ai hurlé dès le premier coup.
J’avais une zébrure rouge sur le torse.
« Un. Pitié, Maître »
« Ta gueule, pute »
Il a continué à frapper, jusqu’à 20. Je n’ai heureusement eu droit qu’à 5 coups sur le sexe. Plus, je n’aurais pas résisté.
Quand il m’a finalement détaché, j’avais le torse et l’entrejambe striés de marques rouges, certaines qui saignaient légèrement.
Il m’a enlevé le poids aux couilles et les pinces.
« Viens de décrasser maintenant »
Je l’ai léché sur tout le corps.
Il sentait la sueur, le sexe, le Mâle.
Pour finir, il m’a enculé, avant de me jouir dans la gueule.
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