Dimanche 18 avril 7 18 /04 /Avr 08:20

Hier soir, le Maître est rentré vers 19h00. Comme chaque jour, en entendant sa voiture, j'ai été m'agenouiller, nu, dans l'entrée.

Je m'étais douché, rasé le visage et fait un lavement une demi heure avant, pour lui offrir un corps lisse et propre.

 

Il s'est approché de moi, pour que je sniffe l'emplacement de son sexe.

Il sentait le Mâle. Il a pris une capote pleine, nouée, dans sa poche et me l'a tendue.

"Tiens, j'ai baisé un pd cette après midi. C'est pour toi".

J'ai pris la capote et ai été chercher des ciseaux.

J'ai coupé l'extrémité, j'ai pris la capote en bouche et j'ai avalé son contenu.

"Décrasse moi la queue".

J'ai ouvert sa braguette, baissé son slip et j'ai commencé à le lècher. Sa queue était bien odorante et il restait du sperme sur son gland. J'ai tout avalé.

Je suis bien conscient que mon Maître n'a aucune obligation vis à vis de moi et qu'un Mâle tel que lui a besoin de baiser d'autres salope. En même temps, je suis quand même "jaloux", même si je n'en ai pas le droit.

Et, dans le même temps, je lui suis reconnaissant de me rapporter ses capotes à vider, de m'offrir son jus.

 

Après l'avoir décrassé, je lui ai servi un whisky, il s'est mis à l'aise et s'est installé sur le canapé, pendant que je préparais son repas.

Je l'ai servi à table, nu, et me suis installé entre ses jambes pour lui lécher les panards pendant qu'il mangeait.

 

Après le repas, il a passé un film en DVD. J'étais entre ses jambes, léchant ses couilles, sa queue, pendant qu'il regardait le film.

 

A la fin de celui-ci, il m'a ordonné de préparer un sac : capotes, pinces à seins, cravache, collier, laisse, poppers.

Lorsque j'ai été prêt, il m'a menotté dans le dos et chargé dans le coffre de la voiture, nu.

 

Nous avons roulé une vingtaine de minutes, puis la voiture s'est arrêtée. Le Maître a ouvert le coffre.

Nous étions sur une aire de repos d'autoroute. Il m'a fait sortir du coffre et m'a ordonné d'aller dans les toilettes ppur handicapés. Comme j'étais toujours menotté dans le dos, il a ouvert la porte et m'a dit de me mettre à genoux et d'attendre.

 

Quelques minutes plus tard, j'ai entendu du bruit. Une moto et des bagnoles, puis de voix.

La porte des chiottes s'est ouverte. Il y avait le Maître, deux mecs, dans les 50 balais, dont un gros, et Karim, le pote beur du Maître auquel il a conféré le statut d'exploiteur délégué.

 

Immédiatement, j'ai été sniffer l'emplacement de la queue de Karim.

"Alors, ma pute, ca fait longtemps qu'on s'est pas vu. Je t'ai manqué ?"

"Ca n'est pas moi qui décide, mais le Maître"

"Oui, et on va réparer ça. tu vas bien morfler. Commence par saluer nos amis".

 

Je me suis retourné, toujours à genoux, pour sniffer l'emplacement de la queue du gros.

Il était moche, obèse, ridicule dans son jean qui le boudinait.

Il puait littéralement. Je l'ai sniffé, léché, avant d'ouvrir sa braguette.

Pendant ce temps, Karim m'avait mis le collier et y avait fixé la laisse.

Le gros portait un slob à poche, pisseux. Ca me dégoûtait, mais j'étais là pour ça. Je savais que ça excitait mon Maître de m'offrir de la sorte, me forçant à m'avilir.

Visiblement, le vieux, ça l'excitait. Il commençait à bander. Et son morceau avait l'air impressionnant.

Il m'a fait me relever, et à commencé à me palper, me faire les tétons.

Puis il m'a remis à genoux, pour que je m'occupe de l'autre.

Son zob ne puait pas, je l'ai sniffé, léché à son tour. Le gros pendant ce temps avait retiré son jean, son cuir et sa chemise. Son sexe sortait du slob, il était énorme !!!

Karim m'a retourné à nouevau.

"Suce".

Je l'ai pris en bouche. C'était franchement dégueu. Il n'avait pas dû se laver pendant au moins une semaine, et en plus, il mouillait un max !!

Par rapport au Maître, sa queue était plus courte. Mais celle du Maître est droite, fine, un bonheur pour un PD !!!

La sienne était la plus épaisse que j'ai jamais vue, et pourtant, des zobs, j'en ai connu.

"File ton cul, bâtard"

Je me suis retourné, toujours à 4 pattes, pour présenter ma chatte.

Karim m'a poppérisé bien à fond, pendant que le mec enfilait une capote.

Puis il a pris la laisse, pour me maintenir en place.

Le vieux s'est approché et a commencé à frotter sa bite contre mon trou, avant de me prendre.

Evidemment, il n'était pas question de gel.

Il n'a pas réussi à me pénétrer, malgré son excitation.

"Ouvre ton cul, PD".

Il s'y est repris 3 ou 4 fois, avant de réussir à rentrer. J'ai hurlé.

J'avais l'impression d'être ouvert en deux.

Karim tenait toujours la laisse, pour m'empêcher d'avancer.

L'autre mec s'était mis devant moi et avait sorti son engin pour que je le suce à son tour. Au moins, il était propre, c'était déjà ça.

Le gros allait et venait dans ma chatte, sortant parfois entièrement sa queue pour se renfoncer tout de suite après.

Je chialais tellement j'avais mal.

Il a fini par jouir.

Il s'est rhabillé et s'est cassé.

 

L'autre avait pendant ce temps pris sa place

Sa queue à lui était normale. Et vu ce que j'avais subi il n'a eu aucun mal à me pénétrer.

Il m'a défoncé un moment, avant de jour à son tour.

 

Pendant que je me faisais limer, deux autres mecs étaient arrivés. La nuit ne faisait que commencer.

Par L'esclave - Publié dans : Viol, abattage, tournante - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Commentaires

En même temps, je suis quand même "jaloux", même si je n'en ai pas le droit...
j'aime beaucoup toute la séquence du début ... c'est délicieux et je partage ce même sentiment avec mon maître ... bon, ensuite la suite va beaucoup trop loin pour moi ... ma charge hormonale ne me rend pas autant aveugle... Quelle santé !
commentaire n° :1 posté par : Christophe le: 22/07/2015 à 03h35

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