Dimanche 21 mars 7 21 /03 /Mars 22:53

Le donjon occupait tout le 4è étage. Dans un coin, il y avait un tapis de sport, en caoutchouc. Mademoiselle a proposé d'organiser un combat entre Alex et moi. Le vaincu servirait de sous-lope durant le week end : si le Maître ou Mademoiselle décidaient de punir le vainqueur, il pourrait demander que le châtiment soit infligé à la sous lope. Et celle-ci, évidemment, devrait également lui obéir, sous contrôle du Maitre et de Mademoiselle.

Le combat se passerait nus, tous les coups étant permis.

Pour commencer, nous avons dû nous enduire le corps d'huile de massage, pour qu'il soit bien luisant et glissant, chacun s'occupant de l'autre.
Alex était plutôt bandant, un corps lisse, musclé mais sec, belle gueule.
Visiblement, sa maîtresse le traitait de façon plutôt hard. Il avait des marques de coups sur le dos, le torse et des bleus sur les couilles et la queue.
Il était monté normalement, dans le 18 (moins que moi et beaucoup moins que le Maître), avec de belles couilles, qui visiblement étaient régulièrement travaillées elles aussi.

Une fois bien huilés, nous avons commencé à nous battre.

Le Maître et Mademoiselle nous regardaient, chacun une cravache à la main.

 

Alex et moi étions de la même taille. Mais tout en étant mince, il était nettement plus costaud que moi avec mes 58 kg de poids maximum autorisé. Je partais avec un sérieux handicap, surtout que mes couilles étaient encore douloureuses suite à une séance de lattage quelques jours avant.

 

Par contre, nos corps étant bien huileux, c’était évident de faire des prises. Nous nous battions comme des chiennes. J’ai vite compris qu’Alex n’était pas très résistant au niveau des couilles. J’avais le plus souvent le dessous, mais je réussissais à me dégager. Je bandais comme un fou, contrairement à lui. Et pour cause, les mecs c’était pas son truc.

Pour nous encourager, le Maître et Mademoiselle envoyaient régulièrement des coups de cravache dans le tas.

A un moment, j’ai réussi à lui passer le bras devant le cou et à lui faire une prise. En même temps, avec l’autre main, je serrais ses couilles. Il couinait, pouvant à peine respirer.

Malgré mon handicap de départ, j’avais réussi à le vaincre !

 

C’est là que Mademoiselle m’a bazardé un coup de cravache particulièrement vicieux dans les couilles. J’ai hurlé et je l’ai relâché. Nous avons continué à nous battre mais il avait pris le dessus. A un moment, il m’a immobilisé et a réussi à me prendre par les couilles à mon tour. Ca faisait un mal de chien il serrait comme une brute. Je me suis rendu.

 

Le Maître a proclamé Alex vainqueur.

Il m’a attaché par les poignets à une poutre et m’a poppérisé à fond.

Puis il lui a tendu sa cravache.

 

« Tu l’as battu. Punis le, défoule toi sur lui »

Alex a commencé à me cingler. Il cognait pour faire mal, sur mon torse, mes cuisses.

Après une vingtaine de coups, Mademoiselle lui a demandé d’arrêter.

 

« Ne le démolis pas trop. J’ai l’intention de m’en servir ».

 

Ils m’ont détaché et le Maître m’a ordonné de sucer Alex et de le faire jouir.

Je me suis agenouillé devant lui et j’ai commencé par lui lécher les couilles, la queue, le gland.

J’avais du mal à le faire durcir mais à force d’efforts, j’ai réussi à le faire bander.

Pour finir, il m’a craché son jus sur la gueule

 

« Je ne veux pas vous bousculer, mais si on veut dîner, il ne faut pas qu’on tarde ».

Le Maître a regardé sa montre.

« Putain, 9h et demie déjà. Tu connais un bistrot dans le coin ? »

« Oui, à 5 minutes à pinces »

« OK, C. avant de te rhabiller, apporte moi ton matos »

 

J’ai été chercher mon sac. Le Maître a sorti des aiguilles et m’en a enfilé deux dans chaque téton et une dizaine d’épingles dans les couilles.

 

« Tu lui plante souvent des aiguilles ? »

« Oui, surtout quand on sort. Ca lui rappelle qu’il n’est qu’un esclave et ca le fait souffrir pendant le diner »

 

Du coup, Alex aussi a eu droit à des aiguilles dans les tétons et les couilles !!!!

 

Par L'esclave - Publié dans : Echange - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Dimanche 21 mars 7 21 /03 /Mars 22:49

Le restau était tout près. J’avais mal aux couilles et les quelques pas étaient durs, même en écartant les jambes au max.

Mademoiselle avait réservé une table au fond. Elle et le Maître se sont assis en face de nous, Alex en face du Maître, moi face à elle.

Assis, la douleur s’était un peu estompée. Au moins Alex dérouillait autant que moi !!!

Le Maître m’a commandé une entrecôte.

 

A table, la conversation était banale, comme si nous étions un groupe d’amis. Alex et moi devions quand même vouvoyer Mademoiselle et le Maître.

A un moment, le Maître s’est tourné vers Mademoiselle, pour lui dire quelque chose à l’oreille. Elle a ri.

« Bonne idée »

Puis j’ai senti son pied qui me touchait les couilles. Le Maître faisait la même chose à Alex. J’ai grimacé de douleur, ça ne l’a pas empêché de continuer. Elles m’envoyait de petits coups dans les couilles. Avec les aiguilles, ça faisait un mal de chien.

 

A la fin du repas, le Maître s’est levé.

« J’ai envie de pisser. Alex, tu me rejoins dans deux minutes »

 

Alex n’avait pas l’air enthousiaste. Mais il a obéi. 

Le Maître est revenu après quelques minutes, suivi d’Alex. J’imagine qu’il lui avait servi de pissotière.

 

En rentrant, nous sommes montés direct au donjon. Nous avons reçu l’ordre de nous foutre à poil et le Maître et Mademoiselle nous ont enlevé les aiguilles.

 

Puis nous avons dû les déshabiller, moi Mademoiselle, Alex le Maître.

 

« Entièrement, enlève moi aussi mon soutien gorge. Et viens adorer et lécher mes seins ».

 

Je m’exécutais.

 

« Tu n’aimes pas ? tu ne bandes pas »

« Désolé, je vous l’ai dit, je suis PD »

« Tant pis pour toi »

 

Après que je lui ai léché les seins, sucé les tétons, Mademoiselle m’a ordonné de lui apporter le god ceinture double.

 

« Lèche les godes »

Je m’exécutais.

« Bien maintenant donne moi le gode »

 

Elle se l’est introduit dans la chatte tout en gémissant. Puis, elle a fixé la ceinture. Elle avait un gode dans la chatte, et un autre était dressé, devant elle.

« mets toi à 4 pattes, que je t’encule, PD »

J’ai obéi.

Elle a commencé à frotter l’extrémité du god contre mon cul, doucement.

« Prends du poppers, il paraît que tu aimes ça »

J’obtempérais. J’ai senti le god s’enfoncer dans mon cul. Elle m’a enculé à fond, tout en se tortillant, l’autre partie de god dans sa chatte à elle. Elle m’a travaillé de la sorte un long moment, avant de jouir à nouveau.

 

Pendant ce temps, j’entendais Alex gueuler. Le Maître lui défonçait le cul, et visiblement, le bâtard n’appréciait pas vraiment.

 

Après cette séance, nous avons eu droit à un break.

Mais la soirée n’était pas finie.

 

Alex avait eu droit à la queue du Maitre, maintenant il allait devoir m’enculer !!!!

 

J’ai reçu l’ordre de le sucer. J’ai été m’agenouiller à ses pieds, et j’ai commencé par lui lécher les couilles, avant de le prendre en bouche.

Malgré mes efforts, je n’arrivais pas à le faire durcir.

 

Le Maître a pris une cravache et à commencé à me frapper, en m’insultant.

 

« Applique toi, esclave. Fais le bander. Lui c’est un bâtard, mais toi tu lui est encore inférieur »

Je continuais à le sucer, tout en lui caressant les couilles.

Finalement il a réussi à bander un peu.

Je me suis foutu à 4 pattes, trou offert.

Malheureusement, le temps d’enfiler la capote, il avait débandé.

Mademoiselle a pris le relai, en lui infligeant quelques coups de cravache. Il a fini par bander et m’a enfilé sa teub dans le cul.

 

« Ne pense pas que c’est un mec, pense à moi, ta Maîtresse »

Alex allait et venait dans ma chatte, presque violemment, de peur de débander.

Finalement il a joui.

 

C’était mon tour. Je devais m’occuper de Mademoiselle, la baiser.

Avec les mêmes difficultés qu’Alex pour bander.

Finalement, après plusieurs coups de fouet, en vain, le Maître m’a attaché les couilles une cordelette, m’a mis un collier, auquel il a attaché l’autre extrémité de la cordelette.

Les couilles serrées, tirées vers l’arrière, j’ai enfin réussi à bander.

Je me suis allongé sur Mademoiselle, qui m’attendait, la chatte béante et je l’ai limée bien à fond.

Pour m’encourager, le Maître me cravachait de temps en temps et Mademoiselle tirait sur la cordelette pour me remonter les couilles !!!!

 

J’ai fini par cracher mon foutre.

Par L'esclave - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 30 janvier 6 30 /01 /Jan 19:24
En rentrant, le Maître m'a ordonné de me dessapper et de monter au donjon. Cédric m'a accompagné, toujours pour surveiller que je ne me touchais pas.
Au donjon, il s'est approché de moi et a commencé à m'embrasser. "Non, le Maître va arriver. Je n'ai pas le droit".
"Laisse toi faire, c'est bon"
Evidemment le Maître est arrivé sur ces entrefaites.
"Je vois que je ne peux pas te laisser seul, même un instant". En même temps, il m'envoyait une baffé magistrale dans la gueule.

"Va t'allonger sur le dos. Il est temps que tu subisses le châtiment que tu mérites"
"Où ca, Maître ? Vous voulez m'attacher ?"
"Evidemment"
J'allais m'allonger dans un coin du donjon, où le Mâitre m'a fait fixer des attaches au sol.
Il a pris des cordes, m'a attaché les poignets, les chevilles, de sorte que je sois totalement entravé, incapable de bouger, jambes et bras en croix.

"Cédric, gaze le au poppers, il en aura besoin".
Cédric m'a soulevé la tête pour me faire sniffer du popps. Je respirais profondément. Je me doutais que j'allais morfler un max.

Le Maître s'est approché. Il avait remplacé son pantaton par un jean et mis des baskets, au lieu des pompes qu'il avait au restau, ne retirant que sa chemise. Il s'est placé entre mes jambes et a commencé à me latter les couilles, à coups de pieds. J'avais toujours le ballstretcher en place, qui me serrait les couilles et rendaient les coups de pieds encore plus douloureux.
Je gueulais. Ca faisait un mal de chien. Ce qui ne l'empêchait pas de continuer à frapper.
"Tu as joui combien de fois hier soir, bâtard ?"
"6 fois, Maître, mais je n'avais pas le choix"
"Que tu ai eu le choix ou pas, je m'en fous. Tu a joui, tu dois être puni pour ça"
"Oui, Maître, je sais, mais arrêtez, je n'en peux plus, vous me faites trop mal"
"C'est moi qui déciderai quand tu n'en pourras plus. Tu es là pour encaisser"

Cédric matait. Il s'était deshabillé et le spectacle ne le laissait visiblement pas indifférent.

"Tu n'a pas peur de lui détruire les couilles ?"
"Non, je sais ce que je fais. L'avantage avec les couilles, c'est que c'est hyperdouloureux, mais en même temps, elles offrent une bonne résistance".

Après encore une vingtaine de coups, le Maître a arrêté les coups de pieds.
"Bon, ça suffira pour l'instant. Cédric, détache le. On va passer à autre chose"

Cédric m'a détaché les poignets et les chevilles. Avec ce que j'avais pris, je tenais à peine debout.
"Allonge toi sur la table"
J'ai été m'allonger sur la table d'examen que nous avons installée. A nouveau, le Maître m'a attaché les poignets et les chevilles, en m'écartant bien les jambes. Puis il a pris une cordelette qu'il a utilisée pour me serrer les couilles, en plus du ballstretcher, et dont il a attaché les extrémités à une poutre, en tirant bien dessus pour que mon cul se soulève de la table. De la sorte, j'étais quasiment suspendu par les couilles.

"Poppers. Et a fond"

Pendant que Cédric me re-popperisait, le Maître a allumé deux grosses bougies.
Puis il a été chercher et stériliser des aiguilles.
Une fois poppérisé, il a commencé par me planter une aiguille dans chaque téton, avant de prendre la bougie et de faire couler la cire dessus.
Il tenait la bougie au plus près de mon corps, pour que la brûlure soit le plus douloureux possible.
Il a continué jusqu'à ce que me tétons soient totalement couverts de cire.
Attaché comme je l'étais, je ne pouvais que subir le supplice qu'il m'infligeait.

Après mes tétons, ça a été le tour de mes couilles, de ma queue et, au final, il m'a décalotté le gland pour y couler de la cire brûlante.
J'avais beau gueuler, il a continué jusqu'à ce que mon sexe soit à son tour couvert de cire.

Cédric pendant ce temps bandait comme un fou. Ca l'excitait, cette salope de me voir morfler.


"Bon, on va le laisser se reposer un peu. Tu veux un café ?
"Oui, je veux bien"

Ils sont descendus tous les deux, me laissant attaché sur la table.


Après un moment, je les ai entendu remonter.
Le Maître a commencé par enlever la cire de mon gland. Puis il a, à nouveau, demandé à Cédric de me poppériser.
De ce côté là, le Maître est cool : il sait que j'ai besoin de poppers pour morfler et j'y ai droit autant que nécessaire.
Pendant que Cédric me faisait sniffer, il a été chercher une bouteille de tabasco et un mouchoir sur lequel il en a versé une bonne quantité. Puis il m'en a enduit le gland.
Sur le moment, je n'ai rien senti, mais après quelques secondes la brûlure du piment est devenue atroce, au point de me faire chialer.
Mais je ne pouvais rien faire, attaché comme je l'étais.
Le Maître a ensuite pris une sonde urétrale, le modèle qu'on peut electrifier, qu'il a désinfectée, avant de me l'enfoncer doucement dans l'urêtre. Puis il l'a branchée et a envoyé le jus.
Malgré les liens, je n'ai pu empêcher mon corps de se tendre, tout en hurlant.

Il en  filé le boîtier à Cédric, en lui disant de m'envoyer du jus quand il le lui dirait, et m'a refait re-sniffer du popps.

Je me doutais bien qu'il n'en avait pas fini avec moi.
Quand le Maître a été prendre une canne anglaise, j'ai compris que j'allais vraiment dérouiller.

Je ne m'étais pas trompé. Il s'est placé devant la table, jambes écartées et les coups ont commencé à pleuvoir sur mes couilles. Je hurlais, je chialais, mais évidemment ça ne l'empêchait pas de continuer.

A intervalles régulier, il demandait à Cédric d'envoyer du jus, ce qui rendait le supplice encore plus insupportable.

Après une première série de coups, il s'est arrêté. J'ai poussé un ouf de soulagement;
Mais ce n'était que pour me frotter une nouvelle fois le gland avec du tabasco.
Les coups de canne ont recommencé.

Quand le Maître s'est finalement arrêté, j'étais à la limite de l'évanouissement.

"Bon, je pense que ça suffit. Détache le".

Après ce que j'avais enduré, je me suis écroulé. Mes couilles étaient littéralement éclatées.

Immédiatement, comme je dois le faire après chaque punition, je suis allé m'agenouiller aux pieds du Maître pour vénérer son sexe.

"Merci, Maître, de m'avoir puni comme je le méritais".
Il a sorti sa queue, je l'ai immédiatement prise en bouche. Il a joui presque tout de suite.









Par L'esclave - Publié dans : Couilles de PD - plaisir d'esclave - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 30 janvier 6 30 /01 /Jan 18:56
Cédric est venu me libérer le lendemain matin. Il devait être 11 heures.
Enfermé dans ma cage pour la nuit, j'avais pu somnoler quelques heures à peine.
"On est réveillé, ton Maître veut que tu viennes de suite".
Je suis sorti de la cage et suis descendu dans la chambre.
Le Maître était allongé, nu. Il y avait deux capotes usagées sur la table de nuit.
"J'ai envie de pisser, grouille"
J'ai pris sa queue en bouche. Elle sentait le foutre.
Il m'a pissé dans la gueule, en s'arrêtant de temps en temps pour me permettre d'avaler.
"Va nous préparer le pti déj. Tu en profiteras pour vider les capotes et tu viendras nous le servir au lit"
J'emmenais les capotes. Pendant que le pain grillait, j'en ai coupé l'extrémité pour avaler le foutre du Maître.
J'ai été leur servir le petit déjeûner. Cédric et le Maître étaient au lit, nus tous les deux, Cédric suçait doucement le Maître.
"Enfin. Agenouille toi et attends".
Pendant qu'ils prenaient leur petit déj, j'étais à genoux, aux pieds du lit.
"Tu vas prendre une douche, tu es crade. Mais avant, prépare la chatte de Cédric, j'ai envie de me vider les couilles".
Cédric  a ri, tout en se mettant à  pattes sur le lit. "J'ai la chatte serrée et ton Maître ne veut pas me faire mal, alors prépare la bien".
Je lui ai lèché le trou, le pénétrant avec ma langue, longuement, avant de lui mettre du gel. Cette salope gémissait de plaisir.
"Va prendre ta douche maintenant"
J'ai été me doucher, me raser le visage et me faire un lavement, comme mon Maître l'exige.
Mon corps doit être lisse, propre et surtout ma chatte doit toujours être impeccable.
Pendant ce temps, je les entendais qui baisaient.

Quand je suis revenu, ils étaient tous les deux couchés, enlacés.
"Va ranger la cuisine, pendant ce temps on va se doucher également"

Quand ils sont sortis de la douche, nus tous les deux, le Maître nous a dit qu'il nous emmenait déjeûner au restau.
"Habille toi. Tu mettras un costume sombre et une chemise blanche. Mais avant, vient ici."
Il m'a enlevé ma cage à bite, pour la remplacer par un ballstretcher métal et m' a mis des pinces aux tétons.
"tu ne mets pas de slip. Cédric, accompagne le et surveille qu'il ne se branle pas".

Nous sommes allés dans un restau des alentours. Le repas était excellent, et, évidemment, je me suis comporté "normalement", comme à chaque fois qu'on sort. J'appelais le Maître Monsieur mais je devais malgré tout le vouvoyer.
Nous avions l'air d'un groupe d'amis. Mais le ballstretcher qui me serrait douloureusement les couilles et les pinces que je portais étaient là pour me rappeler mon statut d'esclave.

A la fin du repas, le Maître s'est levé, pour aller aux toilettes. je l'ai rejoint quelques minutes plus tard. Il m'attendait dans une cabine. Il a fermé la porte et a sorti sa queue. Je me suis agenouillé. "J'ai envie de pisser". Je l'ai pris en bouche et je l'ai bu. Il est sorti tout de suite après. J'ai attendu un peu et je suis sorti à mon tour.

En partant, dans la voiture, le Maître a demandé à Cédric s'il était libre l'après midi.
"Oui, pourquoi ?"
"Je vais devoir punir C. pour le plaisir qu'il a pris hier soir. Ca te dirait d'y assister ?"
"Oui, tu lui feras quoi ?"
"Tu verras"
Par L'esclave - Publié dans : Couilles de PD - plaisir d'esclave - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 16 janvier 6 16 /01 /Jan 18:21
Vers 20h00, samedi dernier, le Maitre m'a ordonné de monter au donjon.
Il m'a attaché sur la croix de st andré, avant de me mettre des pinces aux seins.
Pas le modèle standard : des pinces genres pinces à linge, mais très grosses, en metal, lourdes.
Puis il est reparti.
Je suis resté comme ça, suspendu, les tétons douloureux, une demi heure 3/4 d'heure.
A un moment, j'ai entendu sonner, puis des voix et des pas.
Le Maître est entré, accompagné de Cédric, la salope qu'il utilise depuis quelques mois pour me vider les couilles.
Cédric est sublime, taille moyenne, très mince, look minet.
Dommage qu'il ne soit pas maso. Le Maître nous aurait volontiers accouplé.

Il s'est dessapé, ne gardant que son jockstrap, très mini, rouge, hypersexy.
Il s'est approché de moi, m'a retiré les pinces.
"Ca te fait pas trop mal" ?
"Non, je suis là pour ca, j'ai l'habitude".
"Moi, je tiendrais pas"

Il a commencé par me rouler une pelle, tout en frottant son sexe ontre ma teub.
C'était génial. J'ai bandé au quart de tour : ca faisait 3 semaines que je n'avais pas juté.
On s'est embrassé un long moment.
Je me laissais faire : de toute manière, suspendu sur la croix, bars et jambes écartées, je ne pouvais rien faire d'autre.

Cédric s'est ensuite occupé de mes tétons, pour les lécher, les sucer doucement. Ils me faisait mal, à cause des pinces que j'avais portées pendant 3/4 d'heure. Mais sa langue me faisait du bien.

Le Maître, de son côté, s'est installé dans le fauteuil et nous matait.

Cédric a continué en me sniffant puis en me lèchant les aisselles, puis le torse, tout en continuant à frotter son sexe contre ma queue turgescente.

Comme je bandais comme un fou, mon Maître s'est levé et a pris un lacet. Il a dégagé Cédric pour m'attacher les couilles, hyperserrées, avant de faire un noeud à la base de ma teub, pour m'empêcher de jouir trop vite.

Cédric, pendant ce temps, s'etait poppérisé bien à fond.
"Tu en veux ?" "Ouais"
Il m'a fait sniffer bien à fond, avant de recommencer ses jeux.
J'étais excité à mort. Je ne pouvais pas bouger mais ses caresses, sa langue me rendaient fou de désir.
Ca a duré un bon moment, puis le Maître a repris la main.

Il m'a planté une aiguille dans chaque téton, avant de prendre une cravache pour me cingler de 10 coups sur le torse, et cinq sur le sexe.

Cédric s'est mis à genoux pour s'occuper de mes couilles. Il a commencé par les lècher, doucement, lentement, avant de les prendre en bouche pour les sucer.
C'était bon.
Après les couilles, ça a été le tour de ma queue.
Malgré le bondage, je triquais a fond.
Mes seins me faisait mal.
J'était chauffé à blanc.
Il a commencé par me lècher la teub.

"Tu bandes bien, tu as une queue géniale"

Il m'a décalotté le gland et l'a lèché à son tour, longuement, doucement.
Je mouillais à fond.
Il m'a mis l'index en bouche, pour que je l'enduise bien de salive, avant de me frotter le gland.
J'en pouvais plus, je gémissais de plaisir.
Enfin, il m'a pris en bouche et à commencé à me pomper.

J'essayais de me retenir au maximum, mais, malgré mes couilles attachées, chargées comme elles l'était de 3 semaines de jus, j'ai pas réussi à tenir longtemps.

Le foutre a giclé, à long traits, par terre, a plusieurs reprises. Je gueulais de plaisir.
J'étais complètement vidé.

Le Maître a ordonné à Cédric de se foutre à 4 pattes et lui a mis du gel, massant longuement sa chatte.
Puis il lui a fait sniffer du popps, a mis une capote et l'a enfilé, comme une chienne.
Cédric gémissait de plaisir quand le Maître a joui.

De mon côté, j'étais toujours attaché, les aiguilles dans les tétons.

Après avoir joui, le Maître a demandé à Cédric de me branler.
"Il a encore du jus. Il faut que tu le vides complètement".

Ma queue me faisait mal, mais ça ne m'a pas empêché de jouir a nouveau.
"Continue, je veux qu'il ne lui reste plus une goutte de foutre".

Cédric a continué un long moment. Quand je giclais, il s'arrêtait quelques instants, pour me lècher à nouveau le torse, les couilles, le Maître me re-popperisait et ils recommençaient.

J'ai giclé 5 fois de suite. J'en pouvais plus.

Le Maître s'est approché pour me palper, me travailler les couiles.
"Bon, je crois que c'est bon pour cette fois"

Il m'a enlevé les aiguilles,  le lacet que j'avais gardé toute la soirée autour de mes boules.
Elles me faisaient mal.
Il m'a détaché, m'a mis la CB (même si avec ce que j'avais giclé, je ne risquais pas de me branler), puis m'a mis en cage.

"Je m'occuperai de toi demain. Cédric passe la nuit ici, mais demain je devrais te punir pour avoir joui comme tu l'as fait".
"Oui, Maître. Je l'accepte par avance"
Par L'esclave - Publié dans : Couilles de PD - plaisir d'esclave - Communauté : Maitres et esclaves gay
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