Le donjon occupait tout le 4è étage. Dans un coin, il y avait un tapis de
sport, en caoutchouc. Mademoiselle a proposé d'organiser un combat entre Alex et moi. Le vaincu servirait de sous-lope durant le week end : si le Maître ou Mademoiselle décidaient de punir le
vainqueur, il pourrait demander que le châtiment soit infligé à la sous lope. Et celle-ci, évidemment, devrait également lui obéir, sous contrôle du Maitre et de Mademoiselle.
Le combat se passerait nus, tous les coups étant permis.
Pour commencer, nous avons dû nous enduire le corps d'huile de massage, pour qu'il soit bien luisant et glissant, chacun s'occupant de l'autre.
Alex était plutôt bandant, un corps lisse, musclé mais sec, belle gueule.
Visiblement, sa maîtresse le traitait de façon plutôt hard. Il avait des marques de coups sur le dos, le torse et des bleus sur les couilles et la queue.
Il était monté normalement, dans le 18 (moins que moi et beaucoup moins que le Maître), avec de belles couilles, qui visiblement étaient régulièrement travaillées elles aussi.
Une fois bien huilés, nous avons commencé à nous battre.
Le Maître et Mademoiselle nous regardaient, chacun une cravache à la main.
Alex et moi étions de la même taille. Mais tout en étant mince, il était nettement plus costaud que moi avec mes 58 kg de poids maximum autorisé. Je partais avec un sérieux handicap, surtout que mes couilles étaient encore douloureuses suite à une séance de lattage quelques jours avant.
Par contre, nos corps étant bien huileux, c’était évident de faire des prises. Nous nous battions comme des chiennes. J’ai vite compris qu’Alex n’était pas très résistant au niveau des couilles. J’avais le plus souvent le dessous, mais je réussissais à me dégager. Je bandais comme un fou, contrairement à lui. Et pour cause, les mecs c’était pas son truc.
Pour nous encourager, le Maître et Mademoiselle envoyaient régulièrement des coups de cravache dans le tas.
A un moment, j’ai réussi à lui passer le bras devant le cou et à lui faire une prise. En même temps, avec l’autre main, je serrais ses couilles. Il couinait, pouvant à peine respirer.
Malgré mon handicap de départ, j’avais réussi à le vaincre !
C’est là que Mademoiselle m’a bazardé un coup de cravache particulièrement vicieux dans les couilles. J’ai hurlé et je l’ai relâché. Nous avons continué à nous battre mais il avait pris le dessus. A un moment, il m’a immobilisé et a réussi à me prendre par les couilles à mon tour. Ca faisait un mal de chien il serrait comme une brute. Je me suis rendu.
Le Maître a proclamé Alex vainqueur.
Il m’a attaché par les poignets à une poutre et m’a poppérisé à fond.
Puis il lui a tendu sa cravache.
« Tu l’as battu. Punis le, défoule toi sur lui »
Alex a commencé à me cingler. Il cognait pour faire mal, sur mon torse, mes cuisses.
Après une vingtaine de coups, Mademoiselle lui a demandé d’arrêter.
« Ne le démolis pas trop. J’ai l’intention de m’en servir ».
Ils m’ont détaché et le Maître m’a ordonné de sucer Alex et de le faire jouir.
Je me suis agenouillé devant lui et j’ai commencé par lui lécher les couilles, la queue, le gland.
J’avais du mal à le faire durcir mais à force d’efforts, j’ai réussi à le faire bander.
Pour finir, il m’a craché son jus sur la gueule
« Je ne veux pas vous bousculer, mais si on veut dîner, il ne faut pas qu’on tarde ».
Le Maître a regardé sa montre.
« Putain, 9h et demie déjà. Tu connais un bistrot dans le coin ? »
« Oui, à 5 minutes à pinces »
« OK, C. avant de te rhabiller, apporte moi ton matos »
J’ai été chercher mon sac. Le Maître a sorti des aiguilles et m’en a enfilé deux dans chaque téton et une dizaine d’épingles dans les couilles.
« Tu lui plante souvent des aiguilles ? »
« Oui, surtout quand on sort. Ca lui rappelle qu’il n’est qu’un esclave et ca le fait souffrir pendant le diner »
Du coup, Alex aussi a eu droit à des aiguilles dans les tétons et les couilles !!!!
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