Pendant que le premier mec me tirait, deux autres s’étaient approchés et me mataient en train de me faire enculer.
A peine le premier avait joui, un des deux a voulu prendre le relai.
Karim est intervenu.
« Avec lui, faut payer avant de consommer. C’est 40 € »
Le mec s’est cassé.
L’autre a filé les 40 € à Karim.
J’en ai profité pour sniffer du popps.
Visiblement, le fait de me voir me faire défoncer l’avait excité. Il a sorti sa queue direct, a mis une capote et m’a enfilé.
« T’es bien ouvert. Tu te fais souvent défoncer ? »
« Ouais »
J’étais les mains contre le mur, les coudes légèrement pliés, le cul bien cambré.
Quelques minutes plus tard, il avait joui.
Nous sommes ressortis du passage souterrain et j’ai recommencé à tapiner.
Il y avait du monde, mais les mecs tournaient sans concrétiser.
Après un quart d’heure, Karim est venu me voir.
« On va pas y passer la nuit. Tâche d’être un peu plus agressif quand tu tapines. Quand un mec semble intéressé, tu vas le voir, tu lui mets la main aux couilles, tu le caresses et tu te demmerdes pour lui vendre la marchandise. Compris, bâtard ? »
Je n’avais d’autre choix que d’obéir.
Il m’était déjà arrivé de tapiner dans le passé, avant que je ne devienne l’esclave du Maître. Mais à l’époque je draguais surtout sur le net. Le « tapin agressif », j’étais pas très doué.
Et depuis, quand le Maître me louait ou me prêtait, c’était dans des plans organisés.
J’avais repéré depuis quelques temps un mec qui me matait régulièrement.
Je me suis approché de lui et j’ai suivi les ordres, je lui ai mis la main au pacson et j’ai commencé à le caresser.
« Ca te dit pas de me filer ta queue ? Je suis grave accro, une vraie chienne. Tu peux avoir mes trous, tu verras, je sais bien les offrir »
« Tu te fais baiser ? tu aimes ça »
« Et comment ? Mais avant faut voir mon mac »
« Je vois »
« T’inquiète, c’est les soldes. Et je vaut le coup »
Il avait pas l’air emballé mais a quand même été voir Karim.
Après quelques instants, Karim a passé sa langue sur ses lèvres.
Pipe.
Le mec est revenu et on a été dans les buissons.
J’ai commencé par le caresser. Il m’a roulé une pelle brutale puis m’a mis à genoux, en sortant sa queue. Je l’ai pris en bouche. Il m’a giclé sur le torse.
Trois autres mecs nous mataient. Je les ai envoyés à Karim. L’un d’eux s’est cassé. Un connard dans les 50 balais. Vu son physique, il avait pas beaucoup de chances de tirer son coup. Les 2 autres sont revenus. Karim avait passé deux fois la langue sur ses lèvres.
Je me suis foutu à genoux. Ils se relayaient dans ma gueule.
Pour finir, ils se sont branlés de concert et m’ont joui dessus.
J’ai recommencé à me balader.
Karim est revenu me voir.
« Tâche de vendre ton cul. A 20 €, les pipes, ça vaut à peine le coup »
« Oui Seigneur »
Je continuais à tourner.
A un moment, j’ai vu un deux skins. Je me suis rapproché de Karim. Le parc Baco, y a déjà eu des PD qui se sont fait tabasser grave. Par contre les mecs sont repartis assez rapidement.
J’essayais de vendre mon cul, mais avec des résultats moyens. Quand il s’agissait de passer à la caisse, les mecs se contentaient d’une pipe à 20 €. De toute manière, au final, le résultat était le même : ils crachaient leur jus.
Je m’en suis fait 3 à la file, mais seulement des pipes.
« Qu’est ce que tu fous, bâtard. Je t’ai dit de vendre ton cul »
« Je fais de mon mieux, Seigneur, mais c’est les clients qui décident »
« Tu vois le petit jeune là bas ? Ca fait un bout de temps qu’il te mate. Va le voir. Tu l’emmènes dans le passage souterrain et tu lui file ta chatte. Lui, c’est à l’œil. Ca sera ton cadeau et ca devrait attirer le client ».
Je m’approchais du mec. Il avait dans les 20 ans. Belle petite gueule.
« Au lieu de me mater, tu veux pas me tirer ? »
« Je paye pas pour baiser »
« T’inquiète, pour toi ce sera gratos »
Il m’a suivi dans le passage souterrain.
J’étais chaud. Un petit jeune, bandant en plus, ça changeait des vieux que je m’étais fait jusqu’ici.
J’ai commencé par lui caresser le torse, lui lécher les tétons. Lui m’avait mis la main entre les jambes et me caressait la bite. Je bandais. Je me suis collé contre lui, frottant mon sexe contre le sien. Il m’a embrassé.
Je me suis mis à genoux.
« J’ai envie de ta queue »
Il a ouvert son jean. Il portait un slip bleu clair. Sa queue en sortait déjà, bien raide.
J’ai commencé par lui lécher le gland, en le lui décalottant bien. Il gémissait.
Puis je me suis occupé de ses couilles, je les ai prises en bouche. Elles étaient bien dures, lourdes.
J’ai fini par prendre sa queue en bouche.
Après en avoir bien profité, en le prenant en fond de gorge, je me suis relevé et retourné, lui présentant ma chatte.
« Saute moi, j’ai envie de ta queue »
Il ne s’est pas fait prier, a mis une capote et m’a enfilé direct.
Je n’avais pas pris de popps. J’étais bien ouvert et surtout bien chaud.
La position n’était pas très confortable, mais il me défonçait comme une bête. De temps en temps il ressortait sa queue pour me la ré-enfoncer encore plus profond. Je bandais à fond.
Quand il a joui, il y avait 2 mecs qui mataient.
Ils ont réglé ce qu’ils devaient à Karim et me sont passés dessus.
Un troisième les a rejoint et m’a tiré à son tour.
Ensuite, je suis reparti tapiner.
Je me suis encore fait deux pipes et une sodo.
Il était deux heures et demie du matin.
J’étais épuisé, mon cul me faisait mal.
Karim a sonné le signal du départ.
Je m’étais fait 13 mecs, sans compter le petit jeune, 5 enculages et 8 pipes.
Ce salaud de Karim avait encaissé près de 400 € dans la soirée.
Je me suis rhabillé.
« J’ai envie de pisser, PD »
Je l’ai bu et on est rentré.
En arrivant chez lui il m’ a fait mettre à poil et a commencé par me filer une trempe.
J’ai eu droit à une dizaine de coups de ceinturon, puis à une série de coups de pied, notamment dans les burnes.
Ce salaud s’était fait près de 1000 € avec mon cul et me dérouillait « pour le plaisir que j’avais pris ».
Après s’être défoulé, il m’a ordonné de le sucer avant de me tirer. Karim est un salaud, mais question sexe il est du genre endurant. A la fin, ma chatte était complètement explosée.
Il m’a mis ma cage à bite et j’ai été autorisé à dormir au pied de son lit.
Vu l’heure, je ne devais le réveiller qu'à 11 heures. Avec le petit déj.
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