Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 13:40

Pendant que le premier mec me tirait, deux autres s’étaient approchés et me mataient en train de me faire enculer.

 

A peine le premier avait joui, un des deux a voulu prendre le relai.

 

Karim est intervenu.

 

« Avec lui, faut payer avant de consommer. C’est 40 € »

Le mec s’est cassé.

 

L’autre a filé les 40 € à Karim.

J’en ai profité pour sniffer du popps.

 

Visiblement, le fait de me voir me faire défoncer l’avait excité. Il a sorti sa queue direct, a mis une capote et m’a enfilé.

 

« T’es bien ouvert. Tu te fais souvent défoncer ? »

« Ouais »

 

J’étais les mains contre le mur, les coudes légèrement pliés, le cul bien cambré.

 

Quelques minutes plus tard, il avait joui.

 

Nous sommes ressortis du passage souterrain et j’ai recommencé à tapiner.

 

Il y avait du monde, mais les mecs tournaient sans concrétiser.

 

Après un quart d’heure, Karim est venu me voir.

 

« On va pas y passer la nuit. Tâche d’être un peu plus agressif quand tu tapines. Quand un mec semble intéressé, tu vas le voir, tu lui mets la main aux couilles, tu le caresses et tu te demmerdes pour lui vendre la marchandise. Compris, bâtard ? »

 

Je n’avais d’autre choix que d’obéir.

 

Il m’était déjà arrivé de tapiner dans le passé, avant que je ne devienne l’esclave du Maître. Mais à l’époque je draguais surtout sur le net. Le « tapin agressif », j’étais pas très doué.

 

Et depuis, quand le Maître me louait ou me prêtait, c’était dans des plans organisés.

 

J’avais repéré depuis quelques temps un mec qui me matait régulièrement.

 

Je me suis approché de lui et j’ai suivi les ordres, je lui ai mis la main au pacson et j’ai commencé à le caresser.

 

« Ca te dit pas de me filer ta queue ? Je suis grave accro, une vraie chienne. Tu peux avoir mes trous, tu verras, je sais bien les offrir »

« Tu te fais baiser ? tu aimes ça »

« Et comment ? Mais avant faut voir mon mac »

« Je vois »

« T’inquiète, c’est les soldes. Et je vaut le coup »

 

Il avait pas l’air emballé mais a quand même été voir Karim.

Après quelques instants, Karim a passé sa langue sur ses lèvres.

Pipe.

Le mec est revenu et on a été dans les buissons.

 

J’ai commencé par le caresser. Il m’a roulé une pelle brutale puis m’a mis à genoux, en sortant sa queue. Je l’ai pris en bouche. Il m’a giclé sur le torse.

 

Trois autres mecs nous mataient. Je les ai envoyés à Karim. L’un d’eux s’est cassé. Un connard dans les 50 balais. Vu son physique, il avait pas beaucoup de chances de tirer son coup. Les 2 autres sont revenus. Karim avait passé deux fois la langue sur ses lèvres.

 

Je me suis foutu à genoux. Ils se relayaient dans ma gueule.

Pour finir, ils se sont branlés de concert et m’ont joui dessus.

 

J’ai recommencé à me balader.

 

Karim est revenu me voir.

 

« Tâche de vendre ton cul. A 20 €, les pipes, ça vaut à peine le coup »

« Oui Seigneur »

 

Je continuais à tourner.

 

A un moment, j’ai vu un deux skins. Je me suis rapproché de Karim. Le parc Baco, y a déjà eu des PD qui se sont fait tabasser grave. Par contre les mecs sont repartis assez rapidement.

 

J’essayais de vendre mon cul, mais avec des résultats moyens. Quand il s’agissait de passer à la caisse, les mecs se contentaient d’une pipe à 20 €. De toute manière, au final, le résultat était le même : ils crachaient leur jus.

 

Je m’en suis fait 3 à la file, mais seulement des pipes.

 

« Qu’est ce que tu fous, bâtard. Je t’ai dit de vendre ton cul »

« Je fais de mon mieux, Seigneur, mais c’est les clients qui décident »

« Tu vois le petit jeune là bas ? Ca fait un bout de temps qu’il te mate. Va le voir. Tu l’emmènes dans le passage souterrain et tu lui file ta chatte. Lui, c’est à l’œil. Ca sera ton cadeau et ca devrait attirer le client ».

 

Je m’approchais du mec. Il avait dans les 20 ans. Belle petite gueule.

 

« Au lieu de me mater, tu veux pas me tirer ? » 

« Je paye pas pour baiser »

« T’inquiète, pour toi ce sera gratos »

 

Il m’a suivi dans le passage souterrain.

 

J’étais chaud. Un petit jeune, bandant en plus, ça changeait des vieux que je m’étais fait jusqu’ici.

 

J’ai commencé par lui caresser le torse, lui lécher les tétons. Lui m’avait mis la main entre les jambes et me caressait la bite. Je bandais. Je me suis collé contre lui, frottant mon sexe contre le sien. Il m’a embrassé.

 

Je me suis mis à genoux.

 

« J’ai envie de ta queue »

Il a ouvert son jean. Il portait un slip bleu clair. Sa queue en sortait déjà, bien raide.

 

J’ai commencé par lui lécher le gland, en le lui décalottant bien. Il gémissait.

Puis je me suis occupé de ses couilles, je les ai prises en bouche. Elles étaient bien dures, lourdes.

J’ai fini par prendre sa queue en bouche.

 

Après en avoir bien profité, en le prenant en fond de gorge, je me suis relevé et retourné, lui présentant ma chatte.

 

« Saute moi, j’ai envie de ta queue »

 

Il ne s’est pas fait prier, a mis une capote et m’a enfilé direct.

 

Je n’avais pas pris de popps. J’étais bien ouvert et surtout bien chaud.

 

La position n’était pas très confortable, mais il me défonçait comme une bête. De temps en temps il ressortait sa queue pour me la ré-enfoncer encore plus profond. Je bandais à fond.

 

Quand il a joui, il y avait 2 mecs qui mataient.

 

Ils ont réglé ce qu’ils devaient à Karim et me sont passés dessus.

 

Un troisième les a rejoint et m’a tiré à son tour.

 

Ensuite, je suis reparti tapiner.

 

Je me suis encore fait deux pipes et une sodo.

 

Il était deux heures et demie du matin.

 

J’étais épuisé, mon cul me faisait mal.

 

Karim a sonné le signal du départ.

 

Je m’étais fait 13 mecs, sans compter le petit jeune, 5 enculages et 8 pipes.

 

Ce salaud de Karim avait encaissé près de 400 € dans la soirée.

 

Je me suis rhabillé.

 

« J’ai envie de pisser, PD »

 

Je l’ai bu et on est rentré.

 

En arrivant chez lui il m’ a fait mettre à poil et a commencé par me filer une trempe.

 

J’ai eu droit à une dizaine de coups de ceinturon, puis à une série de coups de pied, notamment dans les burnes.

 

Ce salaud s’était fait près de 1000 € avec mon cul et me dérouillait « pour le plaisir que j’avais pris ».

 

Après s’être défoulé, il m’a ordonné de le sucer avant de me tirer. Karim est un salaud, mais question sexe il est du genre endurant. A la fin, ma chatte était complètement explosée.

Il m’a mis ma cage à bite et j’ai été autorisé à dormir au pied de son lit.

 

Vu l’heure, je ne devais le réveiller qu'à 11 heures. Avec le petit déj.

 

 

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 06:01

Karim est rentré vers 7 h et demie. J'avais eu le temps de nettoyer l'appart.

 

"T'as fait combien bâtard ?"

"640 €, Seigneur"

"Putain, t'es une bonne gagneuse. Combien de mecs ?"

"6, en comptant un passif qui était venu avec son mec"

 

Je ne lui parlais évidemment pas de Lucas.

 

"File la tune et viens là."

 

Je lui ai remis l'argent. Il a sorti son zob.

 

Pendant qu'il comptait, je me suis mis à genoux pour le prendre en bouche.

 

Après l'avoir fait jouir (il m'a craché sur la gueule), il m'a demandé si j'avais bouffé à midi.

 

'Non, Seigneur, je n'ai pas eu le temps"

"T"as la dalle, alors ?"

"Oui, Seigneur"

"OK, ton Maître t'a laissé du fric. Tu vas nous inviter au restau"

"Pour après, j'ai des projets pour toi. T'as emmené quoi comme tenues provoc ?"

 

J'avais notamment un slip et un tshirt en voile transparent, noir. Le slob était troué au niveau de la chatte.

C'est ce qu'il m'a ordonné de mettre, sous un jean et une chemise.

 

"Tu prends du poppers et des capotes"

 

On a pris sa moto et on a été au centre ville.

 

Au restau, Karim a pris entrée, plat, dessert. Il m'a autorisé seulement un plat.

 

On est ressorti du restau vers 10 heures et demie et on a repris sa moto.

 

"Maintenant, tu vas tapiner pour moi"

 

On a été au parc Baco. C'est au centre, près de la gare. C'est l'un des principaux lieux de drague de Nantes. Mais ça craint un peu. Il y a parfois des casseurs de PD qui viennent traîner.

 

Karim a garé sa moto sur un grand parking à côté. Il m'a fait me dessaper et ranger mon jean et mon tshirt dans son top case.

 

En slob et tshirt transparent, j'avais vraiment l'air d'une tapette.

 

Pour rejoindre le parc depuis le parking, il y a un passage souterrain, qui passe sous la voie ferrée.

 

Souvent, il y a des mecs qui s'y font enculer, mais là il n'y avait personne.

 

La nuit commençait à tomber, mais il faisait pas encore noir. Dans le parc, y avait pas mal de monde. Normal, on était samedi soir.

 

"OK, tu peux commender  à tapiner. La pipe, c'est 20 €, 40 € la totale. Tu m'envoies les clients.

Si je passe la langue sur mes lèvres, c'est une pipe. Si je te montre mon doigt, la totale.

Compris, bâtard ?

 

"Oui, Seigneur"

 

Je commençais à tourner dans le parc. Dans ma tenue, les mecs me mataient évidemment.

Il y en a un qui s'est approché de moi.

 

"Tu te fais baiser ?"

 

Je lui ai mis la main au pacson, pour le caresser.

 

"Oui, et j'aime ça. Je file ma gueule et ma chatte. Mais avant, faut que tu ailles voir mon mec"

"C'est qui ?"

"Le rebeu, là bas"

 

Je lui désignais Karim.

 

Il s'est approché de lui. Ils ont discuté quelques instants et Karim m'a fait un doigt.

 

Le mec est revenu. On est parti dans le passage souterrain.

Karim nous suivait.

 

Je me suis mis contre le mur et j'ai commencé à le caresser. Il a passé la main sous mon tshirt et m'a fait les tétons, tout en ouvrant sa braguette pour sortir sa queue.

Je l'ai prise en bouche. Elle était clean, sentant à peine l'homme.

J'ai commencé à pomper, à genoux.

Le sol étant en béton rugueux, ça faisait mal aux genoux.

Quand il a bandé, il m'a fait me relever.

 

"Retourne toi, file moi ton cul".

Il a mis une capote et m'a enfilé direct.

 

Avec les mecs qui m'avaient défoncés toute la journée, il n'a pas eu de mal à rentrer !!!!

 

"T'es bien ouvert. Tu te fais souvent tirer ?"

"6 fois déjà aujourd'hui"

"Putain. Et le beur, c'est ton mac ?"

"Oui"

 

Il a joui.

 

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 17 juillet 6 17 /07 /Juil 19:41

Après le départ de Charles, j'étais en nage.

 

J'ai été prendre une douche. L'eau tiède sur mon corps m'a fait du bien. Ca n'avait pas été très hard, mais j'avais quand même dérouillé. Mon corps étant totalement lisse, je n'ai pas eu de mal à enlever la cire. Sauf sur le pubis, où j'ai toujours mes poils. J'en ai arraché quelques uns en enlevant la cire.

 

Après la douche, j'ai rappelé les deux mecs, ceux qui voulaient un plan à 3. Je suis tombé sur le répondeur, en demandant qu'ils me rappellent. Je me suis remis sur le net. Si les deux ne rappelaient pas, il fallait encore que je me fasse 60 € minimum.

 

Assez vite, j'ai eu trois contacts interéssés.

 

C'est là où le tél a sonné.

 

C'étaient les deux mecs. Ils étaient toujours partants. 200 €.

 

Leur plan, c'était que je devais m'occuper de l'actif (il s'appelait Jean) pendant que l'autre, Alain, materait.

 

Je devais caresser, lécher, sucer, me faire enculer, mais Jean ne me jouirait dans le cul.

 

Après m'être fait enculer, je devrais préparer le cul d'Alain, et c'est lui qui se ferait enculer, pendant que je le pomperai.

 

J'étais OK. Ce serait pas la première fois qu'on me materait pendant que je me ferais baiser.

 

Ils m'ont dit qu'il pourraient être là vers 3h et quart.

 

Ils étaient là à l'heure dite.

 

Je les ai attendu en slob.

 

Ils avaient tous les deux ans dans les 45 50. Pas trop mal, mais Charles malgré son âge était plus bandant.

 

On a été direct dans la piaule, après qu'ils soient passés à la caisse.

 

Je les ai deshabillé, en conservant mon slip. Ils portaient tous les deux des boxers noir. Je me suis foutu à genoux devant Jean pour commencer à le chauffer, en utilisant ma bouche. Assez vite, il a commencé  à bander.

 

On s'est foutu sur le pieu.

 

Je me suis allongé à côté de lui, en gardant mon slob, et j'ai commencé à lui sucer, lécher les tétons, lui bouffer les aisselles. Puis, je suis descendu le long de son torse, langue tendue, pour le lécher.

 

Au moment où j'atteignais ses couilles, Alain m'a enlevé mon slob et a commencé à me doigter. J'ai pris du popps, tout en  me laissant faire.

 

Jean mouillait. J'ai commencé par le décalotter pour lui lécher le gland, puis j'ai pris ses couilles en bouche.

 

J'étais à 4 pattes, lui couché, moi sur lui et Alain me foullait la chatte.

 

J'ai recommencé à le sucer.

 

"Occupe toi de mes seins, mais travaille les doucement"

 

Je suis remonté, les doigts d'Alain toujours dans ma chatte et je lui ai fait les tétons, doucement.

 

J'étais quasiment couché sur lui, je sentais sa bite, dure et raide.

 

"Mets toi en levrette, que je te saute"

 

Il a enfilé une capote, et m'a pris.

 

Alain était debout, mais il s'était mis face à moi. Il bandait lui aussi. Je l'ai pris en bouche pendant que Jean me limait.

 

Après quelques aller -retours dans mon cul, il s'est retiré.

 

"Bouffe le cul d'Alain, élargis bien son trou avec ta langue".

 

Alain s'était allongé sur sur le ventre. Je me suis foutu à 4 pattes sur lui, pour m'ocupper de son trou.

 

Il était pas très propre et j'ai horreur de ça. Mais les 200 € valaient bien un effort. Et c'était moins craignos que de nettoyer le cul de Karim après qu'il ait chié.

 

Je lui léchais la rondelle, la suçais, la pénétrait avec ma langue.

 

Il avait pris du popps et était plutôt ouvert.

 

"Ca suffit, il doit être prêt maintenant"

 

Alain s'est mis à 4 pattes, offrant sa chatte à son mec. Moi je me suis allongé, la tête entre ses jambes, pour le sucer.

 

Jean l'a enfilé sans capotes. Ils étaient visiblement ensemble. Il a gémi, s'est un peu cambré. Je continuais à le sucer.

 

Jean à joui peu de temps après. Il s'est retiré et Alain s'est vidé sur mon torse.

 

Ils se sont rahbillés et sont repartis. 

 

Il était 4 heures. Je m'étais fait 640 €. Karim ne devait pas rentrer avant 7h et demie.

 

J'ai repris une douche. J'avais assez fait la pute pour aujourd'hui, mais j'avais envie de m'ocupper de "l'intiation" du petit jeune.

 

Je l'ai rappelé. Il était toujours partant, mais en même temps je le sentais hésitant.

 

Je lui ai dit qu'il fallait bien commencer un jour, et que si ça ne lui convenait pas, ou si je ne lui convenais pas, il n'y avait pas de problème.

 

Il a finalement décidé de venir.

 

Il s'appelait Lucas.

 

Une demi heure plus tard, il était là.

 

Histoire de ne pas l'effrayer, j'avais mis un jean et un tshirt.

 

Lui était en jean également, avec une chemisette. Très BCBG, belle gueule, beau corps, fin, souple.

 

Je l'ai fait entrer, lui ai demandé s'il voulait boire quelque chose.

 

"T'as quoi ?"

"Ce que tu veux, café, alcool, jus d'orange, coca"

 

Il a pris un coca, moi un jus d'orange.

 

On s'est assis sur le canapé.

 

Doucement, j'ai commencé à lui caresser le torse.

 

"Tu es superbandant. détends toi, je suis là pour te donner du plaisir. Mais le mec, c'est toi, c'est toi qui décide"

"Je ne sais pas si ça te branche d'embrasser un mec ou pas. Là encore, c'est toi qui décide"

"J'aimerais bien essayer"

 

J'ai posé ma bouche sur la sienne et il m'a pénétré avec sa langue.

Je commençais à le chauffer, il m'a roulé une pelle de manière presque brutale.

 

J'ai enlevé mon tshirt, ouvert sa chemise et j'ai commencé à lui lécher le torse.

il avait l'air d'apprécier. Il a commencé à me caresser les tétons.

 

"Tu as des tétons vachement allongés par rapport aux miens. Et les marques, sur ton torse, c'est quoi ?

"Des coups, je suis maso. Mais t'inquiète pas, le plan avec toi c'est t'initier. Sauf si tu as envie d'aller plus loin"

 

"Non, le sm, c'est pas mon truc"

'Une autre fois peut être"

Après l'avoir léché sur le torse, j'ai enlevé mon jean et le sien.

 

Il portait un minislip bleu, très sexy. Et surtout, il bandait. moi, j'étais à poils sous mon jean

 

J'ai embrassé l'emplacement de son sexe.

 

Sa queue était dure. J'ai enlevé son slob avec mes  dents, je me suis mis à 4 pattes entre ses jambes.

 

"Ta queue est superbe. Elle fait envie"

"Tu veux y goûter ?"

"Oui, je sens que je vais y être accro"

 

Je l'ai pris en bouche, je l'ai sucé, je lui bouffais les couilles, lui léchais le gland puis le reprenais en bouche.

 

"On va dans la chambre, on sera mieux"

 

Il m' a suivi, la queue raide.

 

Une fois au pieu, on a repris nos jeux. Je léchais son corps, son torse, lui bouffais les tétons, revenais a sa bite.

Visiblement ça lui plaisait. Il a pris des initiatives, me caressais aussi, s'est allongé sur moi pour me rouler une pelle, me pénétrant avec ma langue.

 

"Tu veux que je te suce aussi ?"

"Uniquement si tu as envie"

 

Il m'a pris  en bouche à son tour. Je bandais hyperdur, mais j'y allais doucement, le laissant faire, sans le forcer.

 

J'étais chaud. J'avais envie de lui donner mon cul.

 

"Encule moi. Tu es le Mâle, j'ai envie d'être ta salope"

 

Je me suis mis en position. Il a mis une capote et m'a pris.

 

"Tu es bien ouvert. Tu te fais souvent baiser ?

"Oui, j'aime ça. Les PD, ça sert à ça. A faire jouir les Mâles comme toi"

 

C'était bon. Je sentais sa jeune bite aller et venir dans ma chatte. Je bandais à mort.

Il a joui.

 

Il a enlevé la capote et remis son slip.

 

"C'était génial"

"Pour moi aussi"

"Mais tu n'as pas joui"

"C'était pas le but, le Mâle, c'est toi"

 

On a été prendre une douche ensemble. Je l'ai savonné, je l'ai sucé à nouveau. Il a recommencé à bander et m'a joui dans la gueule.

 

Il s'est rhabillé et m'a remercié.

"Merci à toi, tu vois, ça valait le coup que tu passes. N'importe quel PD aurait aimé être à ma place. Maintenant que tu a appris à te servir de ce que tu as entre les jambes, profites en"

"On pourra se revoir ?"

"Je ne sais pas, c'est pas moi qui décide. Mais j'en parlerai à mon Maître. J'espère qu'il acceptera"

 

Il était 6 heures. J'avais encore ue heure et demi avant le retour de Karim.

 

Il me restait l'appart à ranger et à nettoyer.

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 17 juillet 6 17 /07 /Juil 14:57

J’ai enfilé en vitesse un mini short en lycra noir, troué au niveau de la chatte et un tshirt moulant et je suis descendu, comme Charles l’avait demandé.

 

Dans cette tenue, j’avais vraiment l’air d’une salope en chaleur, mais j’en avais rien à foutre.

 

La plupart des mecs de l’immeuble savaient que j’étais un bâtard et bon nombre d’entre eux avaient déjà utilisés mes trous, lorsque Karim me faisait tourner.

 

Charles était plutôt pas mal, en jean et chemisette, de bon goût, bien conservé pour son âge. Il avait un sac de voyage avec lui.

 

« J’ai emmené un peu de matos »

 

Dès qu’on a été dans l’ascenseur, il m’a plaqué contre la cloison, a soulevé mon tshirt et m’a fait les tétons d’une main, pendant que de l’autre il me serrait les couilles.

 

Visiblement, il savait ce qu’il voulait.

 

En entrant dans l’appart de Karim, il m’a demandé de me foutre à poil, pendant que lui aussi se déshabillait, ne gardant qu’un slip plutôt sexy. Visiblement, la séance dans l’ascenseur l’avait excité : sa queue sortait du slip, bien raide.

 

« Tiens, les 250 € convenus ; C’est chez toi, ici ? »

« Non, chez un pote de mon Maître »

« Tu es maqué, c’est ton Maître qui te prostitue ? »

« Parfois, mais aujourd’hui c’est le pote auquel il m’a confié »

« Ton Maître est au courant qu’il te loue ? »

« Bien sûr, il lui a accordé une délégation d’exploitation. Il a sur moi les mêmes droits que mon Maître »

« Je vois. Pour commencer je vais t’examiner. Les mains sur la tête. Et écarte les jambes »

 

J’ai obéi.

 

Il s’est approché de moi et a recommencé à me travailler les tétons.

Il me faisait mal, je gémissais doucement, tout en me laissant faire.

 

« Tu est souvent torturé, on dirait, vu les marques que tu as. Ton Maître est dur ? »

« C’est le Maître, il fait ce qu’il juge bon »

« La marque, sur ta cuisse, c’est quoi ? Tu as été brulé au fer ? »

« Oui, c’est l’initiale de son prénom. Pour que les mecs qui me baisent savent que je lui appartiens »

« Je vois. T'as dû morfler»

« Oui, mais aujourd'hui je suis fier de montrer que je suis son esclave »

 

Après mes tétons, il s’est occupé de mes couilles, commençant par les soupeser avant de les serrer, de plus en plus fort.

 

« Tu as de belles couilles, bien pendantes. Ce sera un plaisir de les torturer »

« Mets toi contre le mur, en t’appuyant dessus et cambre toi, que j’examine ta chatte »

 

J’ai obéi. Il a commencé à me doigter, d’abord un, puis deux puis trois doigts.

 

« Tu as le cul bien ouvert mais ferme. Et propre. C’est bien »

« A genoux, et chauffe moi. Tu sais te servir de ta langue, j’espère ? Lèche moi bien, en commençant par mes panards »

Je me suis exécuté, en commençant par lui lécher les pieds, entre les orteils, la plante des pieds, les chevilles puis en remontant doucement, jusqu’à ses cuisses..

 

Une fois au niveau du slob, j’ai fourré ma gueule dessus pour bien le sniffer, avant de le lécher, en passant ma langue sous le tissu pour atteindre ses couilles.

 

« Ca suffit. Tu auras droit à mon sexe plus tard. Continue de remonter le long de mon corps »

 

Je lui léchais le torse, les seins pour finir par les aisselles. Il m’a agrippé par les cheveux, m’a tiré la langue en arrière et m’a roulé une pelle.

 

« Tu m’a l’air d’une bonne salope. On va pouvoir s’amuser ensemble »

« Reste à voir comment tu te comportes sous les coups. Remets toi à genoux »

 

Pendant que je m’exécutais, il a sorti une cravache de son sac et a commencé à me frapper sur le dos.

 

Il m’a filé une dizaine de coups.

 

« Tu encaisses bien. Voyons comment tu te comportes quand on te fouette le sexe. Couche toi sur le dos »

 

J’ai obéi, ça m’a valu une dizaine de coups supplémentaires, sur la queue et les couilles.

 

« Test concluant. Le pieu, il est où ? On sera plus à l’aise »

 

Je l’ai emmené dans la piaule de Karim.

 

Il m’a ordonné de m’allonger sur le dos, a sorti des liens et m’a attaché en croix sur le lit, en veillant à bien m’écarteler. Puis, il m’a gazé au poppers, avant de me baillonner.

 

Il a pris une cordelette dans son sac et m’attaché les couilles, hyperserré, avant de fixer l’autre bout de la cordelette aux barreaux du lit, en la tendant au max. J’avais les couilles étirées à fond. Puis, il m’a mis des pinces aux tétons et a sorti une bougie de son sac.

 

Pendant que le cire commençait à fondre, il s’est mis en retrait, pour me mater.

 

« Tu es superbe comme ça »

 

Il m’a re-poppérisé et a pris la bougie, faisant couler la cire chaude d’abord sur les mes tétons, jusqu’à ce qu’ils en soient totalement couverts, puis sur le torse, enfin la bite et les couilles.

 

Pour finir, il a pris ma queue, m’a décalotté et m’a fait couler de la cire sur le gland.

 

Je gémissais. J’avais mal. Mais j’étais là pour ça.

 

 

Après m’avoir bien torturé de la sorte, il m’a enlevé le bâillon et s’est  mis à 4 pattes sur moi.

 

« Sers toi de ta bouche. Lèche moi le slip, bien à fond, je veux qu’il soit mouillé »

 

Pour me faciliter la tâche, il est rapproché, me collant son slob sur la gueule.

 

Il était propre, mais sentait quand même le Mâle. Il bandait comme un fou et je sentais sa mouille.

 

« Enlève moi le slip, maintenant »

« J’y arrive pas »

« Sers toi de ta bouche et de tes dents »

 

J’ai relevé la tête et après quelques tentatives, j’ai réussi à lui baisser son slob.

 

« Tu vois, que tu y arrives. Maintenant, suce »

 

J’ai réussi à le prendre en bouche, il a bougé un peu pour bien me pénétrer la gueule et j’ai commencé à le sucer.

 

Après quelques minutes, il s’est retiré.

 

« C’est bien, on va passer aux choses sérieuses maintenant »

 

Il a repris sa cravache et a commencé à me cingler. Le torse, le ventre, les cuisses puis le sexe.

 

Il frappait pour de bon, pour faire mal.

 

« Les PD, c’est comme ça qu’on doit les traiter. Tu as l’habitude, je suppose ? »

« Oui, Monsieur, et je suis là pour ça »

 

Enfin, il s’est arrêté de cogner et m’a détaché.

 

« Tu as des godes ? Montre les »

 

Karim en avait plusieurs et le Maître m’avait fait prendre du matos également.

 

J’en avais un gros, gonflable. C’est celui qu’il a choisi.

 

« Ton cul doit être suffisamment souple pour qu’on ne prenne pas de gel. On va essayer comme ça. Reprends du poppers, ça tu y a droit »

 

Il a réussi à me l’enfoncer dans le cul a la troisième ou quatrième tentative et il a commencé à le gonfler.

 

J’avais le cul a la limite d’exploser.

 

"Bien, maintenant couche toi sur le dos. Et garde le gode dans le cul."

 

Il n'y avait aucune chance que je ne le garde pas. Le gode était gonflé à bloc et remplissait complètement ma chatte. Je me suis mis sur le dos.

 

Charles s'est assis sur ma gueule.

"Maintenant, tu vas me bouffer le cul. Lèche bien, et pénètre moi avec ta langue. J'aime ça"

 

Je me suis exécuté. Son cul était clean. Je lui léchais le trou, aspirais sa chatte, le pénétrait bien à fond avec ma langue.

 

"Caresse moi les couilles en même temps"

 

Visiblement, il aimait ça. Ses couilles était dures et il bandait comme un malade.

 

Il m'a fait bouffer sa chatte une dizaine de minutes, puis s'est relevé.

 

"Il est temps que je me vide les couilles"

 

Il a dégonflé le gode à moitié puis me l'a retiré en force. J'ai gueulé.

 

"A 4 pattes sur le lit, file moi ton cul"

 

Il a enfilé une capote et m'a pris. Il n'a au aucun mal à me pénétrer.

 

Une fois en moi, il m'a fait m'allonger sur le ventre, tout en me travaillant les tétons et a commencé à me limer.

 

Il m'a baisé un bon moment, puis je l'ai senti se tendre, il a gémi et joui.

 

Il s'est retiré, à enlevé la capote.

 

"Putain, on peut dire que tu es une bonne salope".

"Merci, Monsieur".

 

J'étais en nage, lui aussi. Je lui ai proposé de prendre une douche et demandé s'il voulait boire quelque chose.

 

"Un café, expresso si tu as, et un verre d'eau"

 

Pendant qu'il prenait sa douche, je nous ai préparé un expresso.

 

On l'a bu ensenble.

 

"Tu fais souvent la pute ? Pour ton Maître ? Le mec dont tu m'as parlé, Karim, c'est qui ?"

"Un pote du Maître. Il me confie à lui de temps en temps. Je fais aussi la pute pour mon Maître, mais occasionnellement. Ca l'excite. Karim, lui, c'est le fric qu'il veut"

 

"Je vois. En tout cas, j'ai rarement autant pris mon pied. Si ton Maître ou Karim veulent de nouveau te louer, je suis partant. Et tu peux dire à ton Maître qu'il a de la chance. Comme bâtard, tu es au top"

 

"C'est moi qui ai de la chance, de lui appartenir".

 

"Tu veux une dernière gâterie avant de partir ?"

"Gratos ?"

"Evidemment" 

 

Je l'ai repris en bouche. Il a rebandé quasi de suite. Je l'ai sucé un moment, puis il m'a giclé dessus.

 

Il était un peu plus de 2 heures.

 

J'en était à 440 €.

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Jeudi 15 juillet 4 15 /07 /Juil 21:12

Le samedi matin le réveio a sonné à  à 6h et demie. Karim n'avait pas eu recours à moi pendant la nuit.

J’ai commencé par aller aux toilettes puis j’ai pris une douche, me suis fait un lavement et rasé la tronche, avant de descendre chercher des croissants.

J’ai préparé le petit déj de Karim : 3 croissants, café au lait, jus d’orange.

 

A 7h et demie j’ai été lui lécher le zob pour le réveiller en douceur.

Il en profité pour me pisser dans la gueule et me faire boire sa pisse.

Ensuite, je lui ai apporté son pti déj sur un plateau.

 

Je n’ai pas été convié à sa toilette, mais en sortant de la douche, il était en rut.

 

« A 4 pattes, pd, que je te tire » Je lui ai présenté mon cul et il m’a défoncé direct.

 

Puis, il a enfilé un jean et un tshirt.

 

« J’ai un max de trucs à faire. Je rentrerai pas avant 19h00. Tu seras seul ici. Tu vas te louer. Quand je reviendrai ce soir, je veux 500 € »

 

« Mais, Seigneur, je vais faire comment ? Je n’ai pas de clients. D’habitude, quand je dois me louer, c’est vous qui me les imposez »

 

« T’as mon ordi, y a une webcam et je te laisse mon portable. Je sais que Marc ne veut pas que tu te serves du tien sauf pour répondre à ses appels. Les clients, tu les dragues sur le net. Le tarif, tu vois. Je vais même t’enlever ta cage à bite, et te permettre de baiser si tu trouves pas à te faire niker. Ce que je veux, c’est 500 € ce soir »

 

« Je ne sais pas si je vais pouvoir. Il faut que je trouve les mecs, qu’ils se déplacent »

 

« J’en ai rien à foutre. C’est ton problème. Moi ce que je veux, c’est 500 € »

 

Il a mis ses skets et il est parti.

 

Je me doutais quand le Maître m’a livré à Karim qu’il me ferait faire la pute.

Le Maître le fait aussi, occasionnellement, mais lui c’est parce que ça l’excite, le fric il s’en fout.

Pour Karim, c’est différent, je dois lui rapporter de la thune.

Mais c’est la première fois que ça se passait comme ça. D’habitude, il m’impose les clients.

Là, livré à moi-même, c’était pas évident.

 

Je me suis foutu sur le net, en parallèle sur smboy, citegay et dialgay.

Pseudo : "jsoumis à dispo".

Me faire 500 € dans la journée, ça risquait d’être chaud. C’est bien sûr pas la première fois que je faisais ça.

 

Comme à l’époque où j’ étais « escort » j’ai ciblé les mecs de plus 45 ans.

C’est ceux qui payent le plus facilement.

Comme il était seulement 8h et demi, y avait pas foule.

J’ai quand même bombardé de messages de présentation tous les mecs de Nantes rentrant dans la tranche d’âge que je pensais prête à payer

 

Les réponses ont commencé à arriver, genre « tu es comment, âge, tu proposes » ?

Le premier que j’ai accroché c’était sur Dialgay. Il annonçait 40 balais.

Comme il voulait me voir, on a échangé nos adresses msn et j’ai branché la cam.

Lui n’en avait pas, mais je m’en foutais. Ce qui comptait c’est qu’il paye.

Après 6 ou 7 msg, il semblait intéressé par une pipe rapide.

Je lui ai proposé 50 €.

Il a accepté.

Comme il était pas loin, il m’a dit qu’il pouvait être là dans le quart d’heure.

Je lui ai filé le tél de Karim, en lui demandant d’appeler une fois en bas.

 

Les autres, c’était surtout des questions à la cons.

Sauf un, sur smboy, qui cherchait un plan sm. Un vieux, qui m’avait dit s’appeler Charles, qui annonçait 55 ans.

Mais il était dispo qu’entre midi et 2.

Par contre, il voulait du hard.

Question tarif, ça m’intéressait.

Le téléphone a sonné à ce moment là.

J’ai filé mon tel à Charles, en lui disant que je reconnectais dans une demi heure max.

Le premier client était en bas.

Je lui ai donné l’étage (c’est dans une cité, y a pas de code) et j’ai entrouvert la porte, en me foutant à genoux derrière et en prenant du popps.

 

J’ai été agréablement surpris quand il est entré : malgré ses 40 ans il était super bien foutu.

Grand, mince, belle gueule de mec.

Il a fermé la porte et a posé un bifton de 50 sur l’étagère dans l’entrée, avant de s’approcher.

J’ai commencé par lui sniffer, lui lécher l’entrejambe, frotter ma gueule contre l’emplacement de son sexe.

Il a ouvert sa braguette et a sorti son engin.

 

« Pompe, PD »

J’ai commencé par lui bouffer les couilles, puis, langue tendue, je suis remonté le long de sa queue avant de le prendre en bouche.

Il était déjà en rut.

Il m’a laissé faire puis s’est retiré pour s’asseoir dans un fauteuil.

Je l’ai suivi, à 4 pattes, et je l’ai repris en bouche.

Il était visiblement en manque parce qu’il m’a joui sur la tronche après même pas 5 minutes.

Il s’est rhabillé et s’est cassé.

 

Je me suis rapidement rincé, pour enlever son foutre dont j’étais couvert, avant de retourner sur l’ordi.

Charles avait laissé 3 msg sur le tél.

Il était toujours en ligne.

Je lui ai renvoyé un message pour lui dire que j’étais de retour.

J’en avais au moins une vingtaine d’autres.

Mais certains mecs s’étaient cassés.

 

Un message était d’un mec de 50 ans qui était pas loin et qui cherchait la totale, suce et sodo.

Il était prêt à payer. J’ai proposé 100.

 

Charles m'a répondu qu'il était toujours intéréssé. On a continué de dialoguer.

Il cherchait un plan d’une heure et demie deux heures avec travail hard des tétons, des couilles, cravache, uro, bondage, tabassage. La totale quoi.

Comme il voulait me voir, j’ai rebranché la cam.

J’étais à poil, et le but c’était de le chauffer un max.

Vu ce qu’il demandait, j’ai proposé 300 €.

Ca lui semblait cher, mais je le sentais motivé un max.

Finalement, il a accepté 250.

J’espérais seulement que ce serait pas un lapin.

 

 

Celui qui était pas loin a accepté 80 pour la totale. C’était mieux que rien.

J’ai dit oui et lui ai filé mon tél.

Je continuais de chauffer Charles. Je lui ai dit que j’attendais un autre client, et lui ai proposé de laisser la cam discrètement branchée.

Ca le faisait kiffer un max.

En attendant le client suivant, je continuais à draguer.

 

J’avais eu un message d’une jeune mec de 18 ans, Fabien, un puceau, qui avait envie de passer à l’acte.

 Le genre de mecs qui m’excite un max, un jeune, auquel faire découvrir les privilèges des Mâles.

 Il était prêt à payer, mais ça me faisait chier.

Je l’aurais bien fait gratos, mais fallait que je rapporte du blé à Karim.

En plus, il était dispo que vers 17h30. Je lui ai quand même filé mon tél.

Le tél a sonné à ce moment là. Le deuxième était en bas.

Je lui donné l’étage, et même chose que pour le premier, je me suis foutu à genoux dans l’entrée, porte ouverte.

Les 50 ans qu'il m'avait annoncé, c’était n’importe quoi !!!

Il en faisait 10 de plus au moins.

Mais j’étais pas là pour prendre mon pied.

Je lui ai offert le même scénario qu’au premier.

Par contre, comme il semblait pas disposé à sortir les biftons, je lui ai demandé de me régler avant d’aller plus loin.

Il a raqué et on est passé aux choses sérieuses.

Il avait un petit zob et du mal à bander.

Je l’ai déshabillé, tout en le léchant, lui suçant les tétons et en me frottant contre son entrejambes, avant de m’appliquer à le faire triquer, léchant ses couilles, sa queue, son gland, tout en le caressant.

J’avais pas des heures à lui consacrer.

Finalement, j’ai réussi à lui filer la gaule.

 

« Mets moi une capote et file moi ton cul »

 

Je ne demandais que ça. Je me suis foutu à 4 pattes, lui présentant ma chatte.

Le temps de sniffer du popps, il me pénétrait.

Vu la taille de son engin, il a pas eu de mal.

Une fois dans mon cul, il m’a limé un max, sans doute pour éviter de débander.

Heureusement il a giclé assez vite.

Il s’est rhabillé et s’est cassé comme un voleur.

Il y avait pratiquement pas de jus dans la capote.

Un peine à jouir avec les couilles sèches.

Mais je m’étais fait 80 €.

 

Il était presque 10 heures et demi. Je m’étais encore fait que 130 €.

 

Charles était toujours là. Il avait maté et je devais lui commenter mes impressions.

Je ne demandais qu’à continuer de le chauffer.

 

Sur les contacts que j’avais eus avant le vieux, ils étaient tous partis.

Mais il y avait plus de monde sur le net.

 

J’ai accroché un autre mec, de 40 ans. Il était un peu plus loin, au centre ville.

Il y avait sa photo, plutôt bandant.

Comme Charles m’avait dit qu’il pouvait venir à midi, ça commençait à faire juste.

Mais le mec cherchait un plan direct, rapide, le genre "je viens, tu me pompes, je t’encule et bye".

C’était jouable.

Mais les 80 il voulait pas.

J’ai dit OK à 60.

C’était bon pour lui.

 

En l’attendant, je continuais de draguer. J’avais deux mecs qui étaient intéressés par un plan à 3.

Moi aussi, question thunes. L'un  (46 ans) était actif, l'autre (40 paraît il), passif.

Je pouvais faie les deux. Mais ce qui branchait le premier, c'était deux lopes au bout de sa teub. J'étais évidemment d'accord.

Je leur ai dit que je risquais de couper mais que je revenais aussitôt que possible, en leur filant mon tél.

 

Le tél a sonné vers un 11 heures.

 

C’était le 3è de la matinée. Le temps qu’il monte je me suis re-poppérisé bien à fond.

La photo qu’il avait mise sur le site était pas bidon.

Un bomec, grand, viril, superbandant.

Quand je me suis agenouillé devant lui, il bandait déjà.

Ca changeait du vieux.

En plus, lui, il a fait comme le premier, en réglant tout de suite le sujet financier.

Je lui ai fait la totale.

Il bandait comme un fou, avec une superbe queue.

Quand il m’a enculé, j’ai pris mon pied. Lui, il savait se servir de sa bite.

Et quand il a giclé, la capote était pleine.

Il m’a fait la bise et m’a remercié en partant.

 

Charles avait déconnecté, mais son numéro était enregistré avec les 3 coups de fil qu’il m’avait passé.

Je l’ai rappelé, tout en répondant aux différents messages que j’avais sur le net.

Les deux mecs qui voulaient un plan à 3 étaient toujours là.

Je leur ai dit 300 (ça faisait 150 chacun) mais ils étaient OK pour 200.

J’ai accepté un plan vers 15h00.

 

Au tél, Charles était toujours aussi chaud.

J’ai dû lui redire tout ce que j’étais prêt à subir et lui lister le matos que j’avais.

On a parlé 5 minutes et il m’a dit qu’il partait.

Il m’a dit qu’il appellerait une fois en bas et m’a demandé de descendre pour qu’il puisse commencer à me travailler dans l’ascenseur.

Jusqu’ici, je m’étais fait 190 €. Avec les 250 de Charles, si c’était pas un lapin, ça m’en ferait 440.

Ca commençait a devenir bon.

 Le tél a sonné à midi moins 5.

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
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