Samedi 27 novembre 6 27 /11 /Nov 18:49

Les Mâles étaient confortablement assis, nous par contre, attachés l'un à l'autre, un double god dans le q, debouts jambes écartées, c'était moins confortable.

 

Hubert demandait des détails sur moi. Le Boss lui a expliqué que j'étais en prêt, et que demain je commençais à taffer comme manutentionnaire.

 

"Et tu lui fais faire la pute en plus ?"

"Ouais, pour payer ses frais d'exploitation. Sa paye, elle sera versée à son Maître"

 

Après un moment, ils se sont décidés à s'occuper à nouveau de nous.

Ils nous ont détachés. Après, je sais pas, une bonne demi heure debout et attaché, j'étais complètement engourdi.

 

"On peut retirer le god, Boss ?"

"Oui"

 

On s'est décollé l'un de l'autre.

Ensuite, Steph s'est immédiatement mis à 4 pattes, bouche ouverte, en bon dog.

J'ai fait pareil.

 

"Au pied, les PD"

 

On a obéi, chacun se mettant au pied de son exploiteur.

 

"Bon, vous allez nous dessaper. Et faites en sorte que ce soit bandant."

 

Je me suis relevé. J'ai enlevé sa chemise à Hubert, puis j'ai commencé à lui sucer doucement les tétons.

"C'est bien, mes aisselles maintenant"

 

Je me suis sur son coté, il a levé les bras.

J'ai commencé par sniffer. Ca sentait un peu la sueur.

 

"Décrasse"

 

Je lui ai léché les aisselles, en suçant ses poils.

 

"Lèche le torse"

Je me suis remis face à lui, parcourant son  torse légèrement poilu avec ma langue, tout en me laissant glisser contre lui, jusqu'à être à genoux.

 

Je lui ai retiré ses pompes, pour sniffer puis lécher ses cho7, avant de les lui enlever, pour m'occuper des ses panards.

 

"Nettoie bien. Entre les orteils"

 

Après m'avoir laissé les lui décrasser bien à fond, il m'a pris par les chevuex pour me relever la tête et m'envoyer un coups de pied dans les boules.

 

"Maintenant vénère la queue"

Je ne demandais que ça.

 

Il portait un slibard bleu sombre. J'ai commencé par bien le sniffer.

Ca sentait bon le Mâle, ce mélange d'odeur de sueur, de pissse, de mouille, de zob.

Après l'avoir bien sniffé, en montrant mon desir, j'ai léché le slob.

Sa queue s'était gonfée, tendue. Elle dépassait du slob.

J'ai descendu son slob avec mes dents.

Ses couilles étaient superbes. J'ai commencé par m'occuper d'elles.

 

Il bandait désormais comme un fou. Sa queue était superbe.

J'ai abandonné ses couilles pour lui lécher le zob. Cétait bon.

Il mouillait un max. Je lui ai léché doucement le gand, profitant de sa mouille, du goût de son sexe.

 

"Continue, bâtard, c'est bon"

 

J'entendais Le Boss gémir de plaisir. Lui aussi était en train de se faire sucer.

Ca avait l'air de lui plaire.

Moi aussi ça me plaisait. La queue de Hubert était bonne, j'en profitais un max !!!!

 

"Putain Hubert, elle est bonne ta salope, jen peux plus, j'ai envie de la tirer"

"Moi aussi je veux tirer ton bâtard"

 

J'ai arrêté de sucer, pour me foutre à 4 pattes, q tendu.

 

"Je mets pas de gel, mais Steph va venir te détendre le cul avec sa langue"

Steph s'est approché et a commencé à me sucer la chatte.

Hubert pendant ce temps avait pris un paddle et me frappait sur le dos !!!

 

Après une vingtaine de coups, il a arrêté.

"Occupe toi du q de Steph, qu'il se fasse enculer aussi"

 

Je me suis retourné, Steph était à 4 pattes, et j'ai commencé à lui bouffer le cul.

Le Boss a pris le paddle à son tour, et en a profité pour me spanker le q.

 

Hubert mâtait tout en se caressant la queue.

 

"C'est bon. Filez nous vos trous"

Hubert a enfilé une capote et m'a enculé direct.

 

J'étais bien ouvert, et il a pu me pénétrer d'un coup.

C'était un pineur de première.

Je sentais son membre aller et venir en moi.

Quand il était trop excité, il se retirait quelques instants, avant de m'enculer à nouveau.

C'était bon !!!!

 

J'ai entendu le Boss gémir. Il etait en train de jouir.

Hubert lui continuait à me limer. Je profitais un max de son zob.

 

"Ouiii, Monsieur, c'est bon, j'aime ça, continuez. Eclatez moi la chatte. Elle est à vous"

"Ahhhh, vous êtes l'Homme, le Mec, le Mâle. Votre queue vous donne tous les droits"

 

Lui aussi, visblement prenait du plaisir avec mon trou.

Je l'entendais gémir.

A un moment, il n'a plus pu se retenir. Il a poussé un long râle et a joui.

"Putain, c"était bon"

 

Il s'est retiré.

"Ahh, ça fait du bien"

 

"Bon, c'est l'heure de faire du pause, tu crois pas Jacky ?"

"Si, et je commence à avoir la dalle. On peut ptêt commander des pizzas? Aux frais de ma pute"

"Bonne idée"

Par L'esclave - Publié dans : Taff - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 27 novembre 6 27 /11 /Nov 18:39

"Le mec, qui voulait un plan à 4, il est toujours partant ?"

"Oui, Boss. J'ai son tél"

"OK, je vais l'appeler. Le tarif que t'as négocié, c'est combien ?"

"300, Boss"

"Bon, tu va pouvoir payer tes dettes. File son tél, je vais l'appeler. Toi, tu vas aux chiottes. Tu fermes la porte. les conversations entre mâles, ça te regarde pas"

 

J'ai obéi.

 

J'avais fermé à la fois la porte du living et celle des chiottes, ce qui fait que je n'entendais rien.

 

J'ai poireauté un bon quart d'heure, à genoux.

 

Puis le Boss est venu me chercher.

 

"On s'est mis d'accord avec Hubert. Son slave a l'air particulièrement hard. Vous allez mofler grave. Je veux que tu sois à la hauteur, compris ?"

 

"Oui, Boss. Je serais à la hauteur"

"T'as intérêt, pédale"

"Bon, tu t'habilles. Jean, sweat, blouson. A poil sous ton jean. Tu gardes ton collier et tu prends une laisse. Tu embarques pinces à seins, menottes, gode gonflable, cravache, poids. Exécution"

"Bien, Boss"

 

Trois quart d'heure plus tard on arrivait chez Hubert.

Il habitait au centre ville, un immeuble plutôt classe, au dernier étage.

On a sonné.

Un mec est venu nous ouvrir, la cinquantaine, en jean. Plutôt bien foutu, mince, belle gueule de mec.

Ca devait être Hubert.

 

"Salut. Vous devez être Jacky et Christophe ? Entrez"

 

L'appart était super, très chic. Hubert à filé les biftons au Boss.

"J'espère que ta pute sera à la hauteur"

"T'inquiète, t'en auras pour ton fric"

"Stéphane nous attend dans le donjon. On sera plus à l'aise là haut. Je vous précède"

 

 

On est monté à l'étage. Le donjon était superéquipé. Grand, plancher, un sling, une croix de St André, une table d'examen, des suspensions, deux fauteuils et un canapé en cuir, une cage. Question matos aussi y avait ce qui faut.

 

L'esclave, Stéphane donc, était à 4 pattes, nu, collier et laisse autour du cou. Il avait des pinces aux seins, avec des poids qui les étiraient bien. Bomec, visblement régulièrement tabassé, à en juger par les marques sur son corps. Un tatouage "slaveregister" sur l'omoplate.

 

"Aux pieds, chienne. Salue le Mâle"

 

Il est venu à 4 pattes et a commencé à lécher les panards du Boss.

 

Je me suis agenouillé à mon tour, pour saluer Hubert, à ma façon. Sniffage et léchage de l'emplacement de son sexe. Ca a eu l'air de lui plaire.

 

"Intéressant comme façon de saluer le Mâle. Je retiens"

"Bon, Jacky, tu expliques le programme ?"

 

"Si tu veux. Bon, vous savez à quoi vous servez. Vous êtes de bâtards et vous êtes là pour dérouiller. Hubert s'occupera de Christophe et moi de Stéphane. Comme on va chacun découvrir le slave de l'autre, vous avez droit à un "code d'arrêt" si vous trouvez que c'est trop hard. Le code c'est "SVP stop". Si vous l'utilisez, ça veut pas dire qu'on arrête.  Le code devra être confirmé par Hubert pour Stéphane et par moi pour Chris. Rassurez vous, vous allez pas dérouiller toutes la nuit. On fera quelques pauses. Evidemment, vous dites vous et Monsieur si vous vous adressez à nous. C'est compris ?"

 

"Oui, Monsieur"

"Oui, Boss"

 

"Bon, Chris, tu commences par te foutre à poil"

 

Je me suis dessapé et mis à genoux.

Le Boss et Hubert se sont approchés et nous on fait nous mettre debout, jambes écartées, mains sur la tête, pour un examen détaillé.

 

Hubert a commencé par jouer avec mes tétons, mes couilles, avant de me doigter. Je ne bougeais pas, me laissant faire, comme il se doit pour un bâtard. Un esclave est un objet, il est normal que le Mâle l'examine en détail avant de l'utiliser.

 

"T'as déjà bien dérouillé aujourd'hui"

"Oui, Monsieur. Le Boss s'est occupé de moi"

"C'est bien. on va prendre le relai"

"Foutez vous dos à dos, les bâtards"

 

Hubert a pris un double gode et nous a dit de nous écarter un peu.

Il a commencé par me l'enfoncer dans le cul avant d'ordonner à Steph de venir s'empaler dessus.

 

"Collez vous bien l'un contre l'autre. Je veux que le god soit complètement enfoncé dans chacun"

 

On a obéi. Steph se frottait contre moi pour bien se l'enfoncer et me l'enfoncer en même temps.

 

"Parfait"

 

Pendant ce temps, le Boss avait pris des menottes. Il nous attaché les poignets, chacun attaché aux poignets de l'autre. Hubert lui a attaché nos colliers. On était dos à dos, serrés l'un à l'autre.

 

Le Boss s'et mis face à Steph et Hubert face à moi. Il a commencé par me faire les tétons. Doucement au départ, mais vu ce que j'avais déjà subi, ça faisait mal. J'entendais Steph gémir.

Hubert me travaillait les tits de plus en plus fort.

 

"Si ça fait mal, tu as le droit de gueuler. On est au dernier étage, y a pas de risque" 

Il y allait de plus plus en fort, le salaud.

Quand il a commencé à me les mordiller, hard, j'ai pas pu m'empêcher de couiner.

"Je vois que tu commences à réagir"

 

Il a continué un peu, puis a été prendre des pinces.

Il avait pris celles que j'avais ramenées, croco réglables et une paire à lui, normales, plus soft.

 

Il m'en a fixé une de chaque, et le Boss a attaché l'autre aux tits de Stephane. Je l'entendais gémir.

Hubert de son côté avait réglé le serrage de la croco au max.

J'ai encaissé sans broncher.

Le Boss voulait que je sois à la hauteur.

 

Après mes seins, ça a été le tour de mes couilles. Il a pris une tapette et a commencé à les frapper.

Doucement, puis de plus en plus fort.

Ca faisait mal, je me tortillais, toujours attaché à Stéphane.

Je ne voyais pas ce que le Boss lui faisait subir, mais ça devait commencer à être hard aussi, à en juger par ses couinements.

 

"Bon, Jacky, on leur fout un poids aux couilles?"

"Bonne idée. T'as quoi ?"

"Comme on va les attacher ensemble, il y aura deux paires de couilles. Le plus lourd que j'ai c'est 5 kilos"

"Ca me semble sympa"

 

Hubert a été prendre un poids, modèle lourd.

 

"Ecartez les jambes, les esclaves"

 

Il a pris une cordelette, nous a attaché les couilles ensemble, hyperserré, puis y a suspendu le poids.

 

"On leur en fout aussi aux tétons ?"

"Tant qu'à faire"

"J'ai du 900 g et des 300. On met les deux"

 

Ils nous ont retiré les pinces. Sur le moment, ça a fait du bien, mais immédiatement après on a eu droit aux poids.

 

On s'est retrouvé attaché l'un à l'autre, le god dans le cul, des poids aux couilles et aux tétons.

 

"Bon, vous commencez à ressembler aux bâtards que vous êtes"

"On va pouvoir passer aux choses sérieuses. Mais comme vous êtes de bonnes salopes, vous avez droit à du popps"

 

"Merci, Monsieur"

 

Hubert a été prendre deux flacons de jungle. Je n'en avais pas emporté.

Il en a filé un au Boss et m'a permis de me gazer à fond.

 

Le Boss, après avoir gazé Steph, a apporté deux cravaches. Il en a tendu une à Hubert et a commencé par cingler Steph.

Hubert a fait de même avec moi.

Il frappait fort. Je sentais Steph se tordre de douleur. Connaissant le Boss, il devait dérouiller.

Moi aussi.

Il avait commencé par me frapper sur le torse, puis sur le sexe

J'ai dû me prendre une vingtaine de coups, quand Steph a gueulé "SVP, Stop"

 

"Ok, on va les laisser se reposer quelques minutes"

"OK"

 

Hubert et le Boss sont allées s'asseoir dans les fauteuils, nous laissant debout, attachés l'un à l'autre.

 

 

 

 

 

 

Par L'esclave - Publié dans : Taff - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Mardi 16 novembre 2 16 /11 /Nov 06:24

Après que nous ayons craché, il m'a encore laissé attaché pendant cinq minutes. j'avais mal, J'étais couvert de foutre.¨

Puis, il a commencé ) m'arracher la cire des tétons. Je suis totalement lisse : ça n'était pas très douloureux.

Il m'a en elevé les aiguilles, avant de faire pareil avec mes couilles. Arracher la cire était douloureux : mon Maître apprécie que mon sexe ressemble  celui d'un mec, et je ne suis pas rasé. Après avoir enlevé les épingles, il a fini de me détacher.

 

"Va prendre une douche"

 

J'ai obéi. L'eau chaude a permis d'enlever tout ce qui restait de cire. Mon cul était touge vif.

 

Je suis revenu, nu, m'agenouiller devant le Boss.

 

"Tu es superbe nu. Mais j'aime que mes PD ressemblent à ce qu'ils sont, des chiennes"

 

Il m'a mis un collier d'esclave autour du cou, en cuir noir. Puis il a pris une cordelette. Il a utilisé une extremité pour m'attacher les couilles, hypersérrées. L'autre extrémité il l'a attachée à l'anneau du collier, en tirant à mort.

J'avais les couilles étirées au max, quasiment au niveau de la chatte. J'ai couiné. Ca m'a valu une gifle.

 

Pour finir, il m'a enfoncé un plug dans le cul.

 

"Tu as un jockstrap ?"

"Oui, Boss. j'en ai apporté plusieurs"

"Montre"

 

Il en a choisi un en cuir, très petit, avec une fermeture éclair pour accéder à ma queue.

 

"Celui-là"

 

Il était une heure et demi. Il m'avait torturé pendant près de deux heures.

 

"J'ai la dalle. je vais commander une pizza. A tes frais"

"En attendant quelle arrive, va récurer les chiottes. Tu utilises ta langue pour ça, il paraît ?"

"Oui, Boss."

 

J'ai été nettoyer les chiottes comme il l'avait ordonné. A 4 pattes, avec ma langue. Sol, cuvettes, intérieur des chiottes, en bonne raclure.

 

A un moment il est venu me voir.

 

"Tu es superbe comme ça".

 

Il avait une cravache. Il l'a utilisée.

 

Il n'avait commandé qu'une pizza. Pour lui. j'ai eu droit aux bords et au reste de pain.

 

"Bon, c'est pas tout ça. Mais tu me dois déjà combien "?

 

J'ai pris le carnet dans lequel j'avais noté mes "frais d'exploitation"

 

"312 € Boss. Avec votre pizza et mes frais de repas de midi"

 

"Tu as tout compté ?"

 

"Oui, votre déplacement, 100, les plein, les péages, un café, le diner au restau, la nui, le ptit dej, vos croissants, la pizza et 25 € pour ce que vous m'avez laissé bouffer"

 

"OK, quand tu fais la pute, tu dragues comment?. Tu tapines en ext ?"

"Ca m'arive, mais le plus souvent, je vais sur le net"

"Quels sites"

"La plupart du temps, gay, smboy et citegay"

 

"OK. et tu te loues combien ?"

"Ca dépénd, en extérieur je prends moins, c'est du rapide, genre 40 la pipe, 60 la totale ; en intérieur 80 à 100 pour du classique, 150 du sm soft, après plus c'est hard, plus c'est cher. Ca m'arrive aussi de bouger chez eux. Dans ce cas, j'essaie de prendre plus"

 

"Ca me va, le micro est dans mon bureau. Tu iras seulement sur ces 3 sites. Tu prendras comme pseudo putabordeaux. Tu peux t'ouvrir un mail avec le même pseudo"

 

"Les plans, ça se passera où ?"

"Si c'est ici, a la cave, je vais te montrer. Sinon, je te livrerai"

 

j'ai enfilé un jean et un  tshirt et on est descendu. sa cave était plutôt grande. Il y avait un tapis qui recouvrait tout le sol et un matelas de mousse recouvert de skai, genre ceux des cabines de sauna. La porte pouvait être verrouillée de l'intérieur et il y avait une lampe avec une ampoule rouge, qui diffusait une lumière très tamisée.

 

"C'est là que ca se passera avec tes clients, s'ils ne reçoivent pas"

 

 On est remonté. Je me suis remis en string et connecté sur mes sites habituels. J'ai ouvert les comptes avec mon nouveau pseudo.

 

"Au fait, l'usage d'internet est facturé 10 € de l'heure" 

 

 

 

 

 

Par L'esclave - Publié dans : Taff - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Samedi 6 novembre 6 06 /11 /Nov 17:59

 

Il avait mis le réveil à sonner à 10h00. J’étais réveillé avant, mais il n’était pas question de le réveiller.

 

« Viens ici, la pute. Faut que je pisse »

 

J’ai réussi à me lever tant bien que mal. Pas évident avec les mains menottées dans le dos. Je lui ai retiré le slob avec mes dents, je l’ai pris en bouche et l’ai bu. Sa pisse était forte, franchement dégueu. Ca m’a pas empêché de tout avaler.

 

Après avoir pissé, il m’a enlevé les menottes.

 

« La boulangerie est en bas de la rue. Tu t’habilles, tu vas acheter deux croissants pour moi. Ils sont à ta charge. Le porte monnaie est sur la table. Pour toi, il doit rester un bout de pain. Mon café, c’est dans un bol avec du lait et deux sucres »

 

J’ai obéi. Un quart d’heure plus tard, je lui servais son café, comme demandé, avec les croissants. Pour moi, j’avais trouvé un bout de baguette rassie.

 

« Tu as aussi droit à un café. Tu peux te le faire »

 

Après avoir avalé nos cafés, il m’a fait visiter l’appart. Il n’avait pas, contrairement au Maître, de donjon équipé. Et le matos était limité. Cravache, menottes, cockring, tapette, quelques gods et pinces. J’avais emmené de mon côte un fouet, un transfo et ce qu’il fallait pour me torturer à l’électricité, des menottes, liens ….

 

« Ben oui, j’ai pas les moyens de ton Maître. Mais on fera avec et ça m’empêchera de te faire couiner. Pour nos plans, ce sera mon pieu ou la cave. Je te la ferai visiter tout à l'heure"

 

Chez le Maître, nous avons une douche très grande, ce qui fait que le matin, c’est moi qui assure sa toilette (il en profite pour me tirer). Là, dur de tenir à deux, surtout pour me faire violer.

 

« Pour ma toilette, tu t’en occuperas. Ta langue sert à ça. Mais commence par prendre une douche et fais toi un lavement. J'ai envie de m'occuper de toi".

 

Je me suis douché rapidement.

 

On a été sur le pieu. C'était un grand lit, avec un pied et une tête en métal, à barreaux. Je l’ai léché intégralement, des panards aux aisselles, devant, derrière. Son cul était pas très clean. J’ai horreur de ça. Mais c’était no choice. Ce serait à moi de m’adapter.

 

Après l'avoir décrassé, il m'a mis sur le ventre.

 

"Tu aimes la fessée ?"

"Je n'ai pas l'habitude. Ca branche pas mon Maître. Il préfère me cravacher sur le dos, le torse, le sexe"

"Faudra t'y faire, moi j'aime"

 

Il a commencé à me fesser avec ses mains. Il frappait fort. Puis il a continué, avec une cravache. Il cognait pour de bon.

 

"Bon, ça c'était juste pour commencer à te chauffer. On va passer aux choses sérieuses".

 

Il a pris un gode gonflable et m'a ordonné de me mettre à 4 pattes, avant de me l'enfiler. 

"Maintenant, couche toi sur le dos"

"Comme tu vas morfler, tu as droit à du poppers. T'as vu, je suis compréhensif"

 

"Oui, Boss, merci"

 

Il m'a fait sniffer à ma guise, avant de m'attacher sur le pieu, par les poignets et les chevilles.

 

J'avais le god dans le cul, bien enfoncé. Il l'a gonflé à bloc. J'avais le cul total explosé.

 

"On va commencer par tes tétons"

 

Il me les d'abord travaillés manuellement. Il avait les ongles mi longs. Il me les pinçait, les tordait, hard. Ca a duré un bon moment. Comme je couinais, il m'a ordonné de la fermer, et, pour que je ne fasse pas de bruit m'a fourré son slob en bouche.

 

Il s'est ensuite allongé sur moi, pour me les mordre. J'avais mal, mais en même temps, attaché, torturé, le Boss nu, couché sur moi, avec sa queue raide, ça m'excitait à fond.

 

"Tu bandes, salope, tu aimes ça"

 

Il a fini par se relever, pour prendre des aiguilles. Il était nu, en érection, j'avais envie de sa queue. Il a passé les aiguilles dans la flamme de son briquet, pour le stériliser, avant de me transpercer chaque tit avec une aiguille. J'ai hurlé. Le slob qu'il m'avait enfoncé dans la gueule a étouffé mon cri. Ca ne l'a pas empêche de me gifler.

 

"Ta gueule"

 

Il a ensuite allumé une bougie et a commencé à me faire couler de la cire sur les tétons. Il la tenait plutôt bas, pour que le cire soit bien brûlante. Je me tordais de douleur, mais attaché comme je l'étais ça n'empêchait rien.

 

Il ne s'est arrêté que lorsque mes tétons ont été totalement couverts de cire, pour me contempler un moment, avant de me retirer son slob de la gueule.

 

"Alors PD, qu'est ce que tu en dit ?"

"Merci, Boss"

"Bien, avant de continuer, tu as encore droit à du popps"

 

Il m'a pris par les cheveux, pour me relever la tête et m'a laissé me gazer bien à fond, en passant plusieurs fois le flacon sous mes narines. Quand il a fini, j'avais la tête qui tournait.

 

"Maintenant, je vais m'occuper de ce que t'as entre les jambes"

 

Il a commencé par m'enlever le ballstretcher que je portais depuis notre départ. Puis il a pris une cordelette, qu'il a utilisée pour m'attacher les couilles, l'autre extrémité étant fixée aux barreaux, tendue au max.

 

Mes coulles étirées à fond, il a commencé à jouer avec, de plus en plus durement, avant de prendre une cravache pour les frapper. J'ai eu droit à 10 coups. Je n'ai pu m'empêcher de gémir, ce qui m'a valu une nouvelle gifle et son slob dans la gueule.

 

Il a ensuite pris une boite d'épingles. Il en prenait une, la passait sous la flamme et me l'enfonçait dans les couilles. Une dizaine en tout.

 

Pour finir, j'ai eu droit à la cire, sur les couilles, la queue et enfin le gland.

 

Après m'avoir torturé, il bandait comme un taureau. Il m'a sorti son slob de la gueule et s'est accroupi sur moi, pour m'enfoncer sa teub dans la bouche.

 

"Suce maintenant, pétasse"

 

Je ne demandais que ça. Je l'ai sucé un bon moment. Il se retenait visiblement. Sa teub était dure, raide, un bonheur !!!!

 

Il a fini par se retirer et a immédiatement commencé à cracher, à flots successifs.

 

J'étais couvert de foutre !!!

 

"Ton Maître m'a dit qu'il t'autorisait occasionnellement à te vider les couilles. La dernière fois, c'était quand ?"

"Il y a 15 jours, Boss"

"OK, j'ai envie de te voir cracher"

 

Il m'a détaché les poignets.

 

"Caresse toi, maintenant. Mais ne jouis pas trop tôt"

 

J'ai commencé à me caresser. Quasi immédiatement, je me suis mis à bander. J'avais les couilles chargées à bloc. Elles me faisait mal, les épingles étaient toujours en place, il ne les avait pas détachées, mais elles étaient pleines de foutre et ne demandaient qu'à se vider.

 

"Ne jouis pas. Fais monter la sève doucement. Si tu sens que tu vas gicler, tu t'arrêtes"

"Oui, Boss"

 

Ma queue était raide. je continuais à me branler doucement.

 

"Arrête"

 

Il m'a décalotté le gland.

 

"Putain, tu mouilles à mort"

Quelques minutes au repos.

"Branle toi maintenant"

J'ai recommencé à me caresser.

 

Ca a duré un bon moment. Quand je sentais que j'allais exploser, j'arrêtais et je recommençais quelques instants plus tard.

 

"Bon, vas y. Crache".

 

En même temps, il avait recommencé à se branler.

Il ne m'a fallu que quelques secondes pour me vider totalement, à longs jets de foutre. Il a regiclé quasi en même temps. 

 

 

 

 

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Par L'esclave - Publié dans : Taff - Communauté : Communauté gay
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Samedi 6 novembre 6 06 /11 /Nov 17:57

Le Boss m’a fait monter à l’avant. J’étais en jean moulant et tshirt, nu sous mon jean, les couilles serrées dans un ballstretcher métal, de sorte que s’il le souhaitait il pouvait me les travailler tout en conduisant.

 

Le trajet jusqu’à Bordeaux nous a pris 4 heures et demie environ, en s’arrêtant une fois sur une aire de repos et une fois pour prendre de l’essence. Le plein et les péages étaient à ma charge, indépendamment du « forfait » de déplacement prévu.

 

Avant d’arriver, je devais déjà au Boss plus de 200 €.

 

Il s’est arrêté une première fois après un peu plus de deux heures, sur une aire de repos. Il n’y avait personne. On a été aux chiottes pour handicapés et il m’a fait mettre à poil, puis à genoux.

 

« J’ai envie de pisser. Il paraît que tu aimes ça »

 

Il a sorti son zob, tout en gardant son fute et me l’a fourré en bouche avant de se vider la vessie. J’ai tout avalé.

 

« Tu es vraiment une sous merde. Ca me donne envie de jouir »

 

Il m’avait déjà enfilé avant de partir, mais visiblement, il avait de la ressource. J’ai commencé par lui lécher le gland, pour recueillir ce qui restait de pisse et je l’ai repris en bouche, pour le sucer, longuement.

 

Très vite, il a recommencé à bander.

 

Sa queue a très vite atteint une taille respectable, bien dure, tendue.

 

Je lui ai demandé de mettre une capote, comme convenu, ce qu’il a fait.

 

« Rassure toi, je ne vais pas te jouir dans la gueule. C’est ton cul que je veux »

 

Il m’a fait me relever.

 

« Je peux me poppériser, Boss ? »

 

« Non. Je sais que ton Maître te laisse abuser du poppers autant que tu veux mais avec moi, ce sera réservé uniquement aux grandes occasions. Quand j’encule, j’aime pas que la pute ait le cul trop détendu. Je veux que tu sentes un max la queue, que ça te fasse mal »

 

« Bien Boss. C’est vous qui décidez »

 

Je me suis mis devant les chiottes, jambes écartées, bras tendus, appuyé sur le couvercle.

Il a commencé par frotter sa teub contre ma chatte. Pendant ce temps, j’ondulais doucement du bas ventre, pour l’exciter davantage et lui montrer mon désir.

 

Il m’a enfilé direct, à sec. Même si son engin était de taille moindre que celui du Maître, je l’ai senti quand il m’a défoncé. J’ai couiné, mais en même temps je bandais comme un ouf !!!!

 

Il m’a limé un moment avant de jouir.

 

« Tu as vraiment un bon cul. Je sens que je vais bien en profiter.

 

J’avais commencé à me rhabiller.

 

« Reste comme ça. Je veux fumer un clope. Tu fumes, toi ?

« Non, Boss. Mon Maître me l’a interdit »

 

Il a sorti une marlboro.

 

« Allume moi la clope »

« Je n’ai pas de briquet, Boss »

« Tiens, je te file le mien. C’est facturé 5 € sur ton compte. Quand je veux fumer, c’est toi qui m’allumera le clope »

« Oui, Boss »

« Et remets toi à genoux. C’est comme ça que tu dois être »

 

Je me suis agenouillé à ses pieds.

 

Il a tiré une dizaine de taffes, moi toujours à genoux. Puis, il a pris son clope et me l’a écrasé sur un téton. J’ai hurlé.

 

« On peut y aller maintenant »

 

Je me suis rhabillé et on est reparti.

 

A la station suivante il a fait le plein et j’ai dû lui payer un café, refacturé également, dans le cadre des « frais liés à mon exploitation ».

 

 

Pendant la première partie du trajet, nous n’avions quasiment pas parlé. Un bâtard ne doit s’adresser au Mâle que si celui-ci lui pose des questions. Sinon, il n’ouvre sa gueule que pour prendre la queue.

 

Sur la deuxième partie, il m’a posé des questions sur ma vie avec mon Maître, ce que je subissais, ce que je n’aimais pas ….

 

Il m’a également autorisé à lui en poser.

 

Ce qui m’intéressait avant tout, c’était comme il voyait la suite, mon taff ….

 

Sur le taff, c’était la nuit, de 22h00 à 4-5 h du mat environ, suivant le boulot. Le boulot consistait à dépalettiser des cartons, plus ou moins lourds, pour les remettre sur palettes en fonction des destinations. L’équipe de nuit était constituée de 8 mecs (plus le Boss), un chef d’équipe, 3 caristes, 5 préparateurs. Le taff le plus dur, c’était la préparation : on devait décharger chaque carton, le transporter sur un diable, le reprendre et le mettre sur la bonne palette. Quand la palette était pleine, les chargeurs la filmait avec du plastique, la prenait avec un chariot élévateur et la mettait dans le camion. Les deux caristes étaient céfrans, les préparateurs étaient ou des arabes ou des blacks. Le chef était un algérien de 35 ans.

 

Evidemment, je serais affecté comme opérateur et le Boss veillerait à ce que ce soient les cartons les plus lourds dont je devrais m’occuper.

 

« Les mecs, ils sont bi ? Ils savent que vous êtes homo ? Vous leur avez dit quoi ? »

 

« J’en sais rien, ce qu’ils sont. La plupart sont pas mariés. Ce que je sais par contre, c’est que c’est pas des intellectuels et que le cul, ils aiment. Ils savent pas que je suis homo et tu devras fermer ta gueule »

 

« Mais vous leur direz quoi ? »

 

« Que t’es là en intérim et que tu es un PD. Que tu es une vraie salope, que je t’ai essayé et que le gros avantage des tapettes, c’est qu’il y a pas mieux quand on as envie de niquer une gueule ou un cul »

 

« Et que tu seras à leur disposition pendant les pauses s’ils ont envie de te tirer. T’inquiète pas, ils t’essaieront tous »

 

 

On est arrivé à Bordeaux vers 21h00.

 

Le Boss était crevé, après un aller retour dans la journée.

On a été dans un restau, plutôt sympa.

Evidemment, la bouffe était à ma charge. 50 € en plus

 

Il habitait en proche banlieue. Un appart de 4 pièces. Après avoir joui deux fois durant l’aprèm, il avait les couilles sèches. Il s’est dessapé, ne conservant que son slob.

 

« Maintenant, tu avales une dernière fois ma pisse et dodo. Tu te fous entièrement à poil »

« Demain, c’est dimanche. Réveil à 10h00. Tu dormiras par terre, au pied de mon lit. Je sais que ton Maître te mets une cage à bite, mais c’est pas mon truc. Tu seras menotté, les mains dans le dos ».

 

Ca n’était pas très confortable pour dormir, mais je me suis endormi presque tout de suite.

 

Par L'esclave - Publié dans : Taff - Communauté : Maitres et esclaves gay
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