Samedi 7 août 6 07 /08 /Août 22:24

Nous partons demain aux USA avec le Maître.

Mon blog sera en sommeil pendant 3 semaines.

J'ignore ce que le Maître a prévu durant notre séjour.

 

Par L'esclave - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Mercredi 4 août 3 04 /08 /Août 06:41

Avant que tout le monde descende se pieuter, le Maître m’avait mis des poids aux couilles et aux tétons.

 

J’avais mal, j’étais épuisé, la chatte explosée. Par contre, mis au carcan, pour roupiller, avec des poids aux couilles et au tits, ça craignait.

 

J’ai quand même réussi à vaguement m’assoupir.

 

Le matin, je ne sais pas à quelle heure, mais il devait être tard, j’ai entendu du bruit en bas.

 

Le Maître et ses invités s’étaient réveillés.

 

J’ai reconnu du bruit dans la cuisine. J’avais espéré que le Maître me libérerait, pour que je prépare leur petit déj, mais il avaient dû en charger l’autre lope.

 

Il s’est encore passé un bon moment, puis ils sont montés.

 

Le Maître s’est approché.

 

« Alors, l’esclave, tu a pu dormir ? »

« Pas vraiment, Maître, j’ai mal. Pouvez vous me retirer les pinces »

« Oui, tu les as supportés assez longtemps »

« Le bâtard, enlève lui les pinces et détache le »

 

L’autre tapette a obéi. Il était nu, et bandait.

 

Quand il m’a enlevé les pinces avec les poids des tétons, ça a fait super mal.

 

Je me suis retourné et mis à genoux. Les Mâles étaient en slob, il n’y avait que la tapette à poil.

Le Maître a commencé à me travailler les tétons. Après une nuit avec des poids, ça me faisait morfler un max.

 

Le Maître avait monté deux bouteilles d’eau avec lui. Sauf que ce n’était pas de l’eau. Mais de la pisse.

 

« On a tous pissé dans les bouteilles. C’est pour toi. Tu dois avoir soif »

« Oui, Maître »

 

J’ai pris la première bouteille et j’ai commencé à boire la pisse. Elle n’était plus chaude. C’était encore plus dégueu. J’avalais doucement. Avant la fin, j’ai failli gerber. J’ai réussi à avaler quand même.

 

La deuxième bouteille n’était heureusement pleine qu’à moitié. Je l’ai également vidée.

 

Tous se marraient en me voyant à genoux, en train de boire leur pisse mélangée.

 

Puis, j’ai dû tous les sucer. La lope d’abord, puis les Mâles, enfin Karim et le Maître.

 

Personne n’a cependant éjaculé.

 

Le Maître a ensuite proposé qu’on aille tous se doucher.

 

L’autre PD et moi accompagnions un mec à chaque fois et on devait s’occuper de lui, le lécher, le savonner. La lopette suçait, puis j’offrais mon cul (avec capote, sauf pour le Maître évidemment)..

 

Tous ont joui. Ce qui m’a valu ensuite 10 coups de cravache sur le torse, pour « le plaisir que j’avais pris à me faire enculer ».

 

Ils ont mangé un morceau, je devais servir à table. Après le café, tout le monde, sauf Karim et bien sûr le Maître s’est cassé.

 

Moi aussi j’étais complètement cassé. Et la douleur sur ma cuisse était atroce.

 

J’ai encore dû vider Karim, puis lui aussi est reparti.

 

Il me restait à ranger la baraque. Ca m’a pris deux heures.

 

Tous avaient évidemment utilisé les chiottes : j’ai dû les nettoyer à la langue.

 

Le Maître, pendant ce temps, s’était allongé. Il était crevé lui aussi.

 

Après avoir fini, je l’ai rejoint.

 

Comme il était couché sur le canapé du salon, je lui ai doucement léché le slob.

 

« Tu as fini de ranger ? »

« Oui, Maître »

« C’est bien »

« Je suis fier de toi. Tu t’es bien comporté. Tu es digne d’être mon esclave »

 

Il m’a emmené dans la chambre et m’a examiné.

 

« Tu as mal ? »

« Oui, Maître »

« C’est bien. Tu dois être fier. Tu est marqué désormais »

 

Il m’a remis de la crème anti-brûlures sur la plaie puis m’a baisé. Tendrement, pour une fois.

Par L'esclave - Publié dans : Tortures - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Mardi 3 août 2 03 /08 /Août 13:16

Il a commencé par m’immobiliser totalement. J’étais attaché sur la table de travail, une corde autour des chevilles reliées à une poutre. Pour m’empêcher de bouger, il m’a d’abord mis une barre d’élongation entre les jambes puis a pris une deuxième corde, qu’il a également attachée à mes chevilles, mais pour la fixer aux pieds de la table. Quoi que je fasse, je ne pouvais plus bouger mes jambes.

 

Il m’a ensuite fait lire à haute voix l’acte de transfert de propriété que j’avais signé, en me demandant de confirmer publiquement que je l’avais signé de mon plein gré et en toute connaissance de cause et que c’était librement que j’avais souhaité devenir son esclave.

 

Ensuite, il a cherché le fer et un réchaud à gaz, qu’il a allumé, avant d’y poser le fer pour le chauffer.

 

Pendant que le fer chauffait, il a roulé un joint, l’a allumé et s’est approché de moi pour me le faire fumer.

 

J’avais toujours les aiguilles en place, l’écarteur qui me déchirait le cul. Mais, malgré la douleur, et en sachant que ce que j’endurais n’était rien par rapport à ce qui m’attendait, j’étais excité à fond. Ma queue était dure, raide.

 

Après le joint, le Maître m’a fait sniffer du poppers, bien à fond.

 

J’étais complètement gazé, à moitié dans les vaps.

 

Il a pris le fer et l’a montré aux autres. Il était rouge vif.

 

Tous les mecs se sont mis autour de la table, pour ne rien  perdre du supplice qui m’attendait.

 

Le Maître a approché le fer du haut de ma cuisse. Je sentais la chaleur, alors qu’il ne m’avait pas encore touché : elle était intense.

 

Il a appliqué le fer sur ma cuisse, juste avant l’aine. J’ai gueulé.

 

Je n’avais jamais eu aussi mal.

 

Le Maître appuyait sur le fer, pour qu’il me brûle bien les chairs, pour que la marque que je porterai dorénavant soit gravée bien profond.

 

Ca sentait la viande brûlée et je hurlais comme un dingue.

 

Ca n’ a pas duré très longtemps, mais j’avais le sentiment que c‘était interminable.

 

Il a fini par retirer le fer.

 

J’étais en larmes.

 

Il m’a immédiatement appliqué une crème anti-brûlures sur la plaie.

 

« Arrête de chialer. Tu es désormais mon esclave. Tu dois être fier de m’offrir ta souffrance »

 

Il a ensuite ordonné à l’autre salope de me branler, après m’avoir enlevé les aiguilles toujours plantées dans mes couilles.

 

Le PD m’a pris le zob en mains et à commencé à me masturber.

 

J’étais excité à un point tel que j’ai joui presque de suite.

 

Il faut dire que ça faisait 3 semaines que je ne m‘étais pas vidé les couilles.

 

« Continue. Je veux que tu lui assèches complètement ses couilles de tapette »

 

La salope m’a branlé pendant près d’une demi heure. Je n’en pouvais plus. Mes couilles et ma bite me faisaient mal et je ne réussissais plus à cracher que quelques gouttes de foutre.

 

« C’est bon. Il doit avoir les couilles complètement à sec. Etale son jus de bâtard sur son torse et détache le. Il est temps qu’on prenne notre pied »

 

La salope m’a enduit le torse de mon foutre et a commencé à me détacher.

 

Une fois libéré de mes liens, j’ai eu de la peine à me lever. J’étais toujours à moitié dans les vapes et j’avais mal partout.

 

Dans un coin du donjon, nous avons un carcan en bois, permettant de m’immobiliser le cou, les poignets et les chevilles, en position debout, le torse à moitié tendu vers l’avant. Le Maître l’utilise soit pour me fouetter soit parfois pour me tirer.

 

Il m’a mis dans le carcan et a brutalement sorti l’élargisseur de mon cul. J’ai gueulé.

 

Puis, j’ai été livré aux mecs présents.

 

Ils me sont tous passé dessus, en commençant par la tapette, Karim et le Maître passant en dernier.

 

En temps normal, me faire baiser m’excite. Mais là, non seulement je souffrais un max, mais en plus j’avais les couilles complètement à sec et j’étais incapable de bander. Mais de toute manière je n’avais pas le choix. Et les mecs étaient tous chauffés à mort. La position n’étais pas confortable pour moi, mais leur permettait de bien m’exploser le cul, tout en me travaillant les tétons ou les burnes.

 

Je ne sais pas combien de temps a duré le viol collectif que j’ai subi. Mais ma chatte était complètement explosée quand le Maître m’a sodomisé.

Il m’a joui dans le cul.

 

« Tu passeras la nuit comme ça. Tu seras à la disposition de tous ceux qui voudront te baiser. On reviendra s’occuper de toi demain »

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Samedi 31 juillet 6 31 /07 /Juil 18:21

Quelques semaines après m'avoir pris définitivement en mains, mon Maître a décidé de me marquer au fer.

 

Avant, il m’avait formaté plusieurs mois à son plaisir.

 

Je lui appartenais déjà, c’est à dire que pour moi la décision de lui offrir mon corps et mes trous était définitive, sans retour en arrière possible.

 

Mais lui n’avait pas encore décidé s’il me conserverait.

 

C’est lorsqu'il a pris sa décision que j’ai été marqué, comme preuve de mon esclavage dorénavant définitif.

 

 

C’est sans doute le truc le plus hard que j’ai connu. En même temps, l’idée d’avoir sur le haut de la cuisse l’initiale du prénom de mon Maître, marquée au fer, m’excitait à fond. Et lui y tenait absolument.

 

C’était le preuve de mon asservissement, des droits qu’il détenait dorénavant sur mon corps, de mon statut de « chose », d’objet qui lui appartenait.

 

 

Je pratiquais le sm hard, extrême, avant d’avoir rencontré mon Maître.

 

Quand je l’ai connu, il avait d'ailleurs moins d’expérience en la matière que moi.

Mais il a très vite appris, en m’utilisant pour faire ses classes.

 

J’avais déjà connu des supplices genre brûlures de clopes, sur les tétons, le torse, les couilles, occasionnellement le gland décalotté. Mais être marqué au fer, je ne savais pas ce que c’était.

 

En même temps, ça me faisait kiffer grave.

 

 

Il avait trouvé une série de fers à marquer le bétail sur ebay. Il y en avait plusieurs, dont un qui était un « M », l’initiale de son prénom.

 

Quand ils sont arrivés, ils étaient tout rouillés.

 

J’ai passé des heures à astiquer celui qui était à son initiale, pour enlever toute la rouille, jusqu’à ce qu’il soit totalement lisse et brillant.

 

 

Le Maître avait organisé une « cérémonie » pour mon asservissement. Il avait invité des potes, dont Karim, auquel il avait prévu d’accorder une « délégation d’exploitation ».

 

C’était un samedi soir, le 13 janvier 2007. Je lui appartenais officiellement depuis le 1er janvier.

 

Il y avait Karim, Nicolas, un domi de Rennes est son bâtard de l’époque (j’ai oublié son prénom), deux autres sado de Nantes, Julien et Manu.

 

Ils sont arrivés vers 19h00. J’étais nu à leur arrivée.

 

Mes ordres étaient clairs : saluer les Mâles, en m’agenouillant devant eux pour leur caresser, sniffer, lécher l’emplacement du zob.

 

On est montés direct au donjon, où j’avais dressé un buffet.

 

Nico a ordonné à sa lope de se foutre en string. C’était un jeune mec, plutôt mignon, imberbe.

 

J’ai servi les apéritifs aux Mâles. La lope et moi n’y avions pas droit.

 

Karim a été le premier à se foutre en slob. Je le connaissais déjà, c'atait un pote du Maître, un jeune rebeu avec qui on avait déjà fait des plans. Un mec superbandant, mais un vrai salaud. C’est pour ça que le Maître avait décidé de lui accorder une délégation d’exploitation sur moi. 

 

Pour chauffer les Mâles, le Maître et Nico ont proposé de commencer par un combat de lopes. Le vaincu devrait servir de sous lope à l’autre.

 

Moi et l’autre bâtard on s’est mutuellement enduit le corps d’huile de massage. A la fin, on avait tous les deux le corps bien luisant et glissant.

 

Les règles étaient simples : tous les coups étaient permis et les coups sous la ceinture encouragés.

 

L’autre PD savait se battre, on s’est agrippé, en se roulant par terre, en essayant chacun d’attaquer les couilles de l’autre. On se griffait, on se mordait. Avec nos corps bien glissants, c’était dur. A un moment l’autre pute a réussi à me filer un coup de genou dans les burnes. J’ai morflé grave, je m’en souviens encore.

 

J’ai réussi de mon côté à le coincer, en lui écrasant le cou avec mon bras et à le prendre par ses couilles à lui, pour les serrer à mort. Il a gueulé mais à quand même réussi à se dégager.

 

Pour nous encourager, le Maître avait distribué des cravaches aux autres Mâles pour qu'ils puissent nous frapper pendant le combat.

 

Comme l’autre bâtard était soumis mais pas sm, le but c’était que ce soit moi le vaincu.

 

Quand j’arrivais à prendre le dessus, le Maître m’envoyait un coup de cravache bien vicieux pour me forcer à lâcher prise.

 

Après une vingtaine de minutes, l’autre salope à réussi à me coincer et à me serrer les couilles. Il les avait bien en mains et serrait à mort. J’ai crié grâce.

 

Il a été déclaré vainqueur.

 

Le Maître a rappelé les règles applicables au vaincu : nous étions tous les deux des bâtards, mais la sous lope (moi) devait obéissance et soumission à tous les Mâles présents ainsi qu’à son vainqueur. Celui-ci pourrait se « venger » sur moi, aurait le droit de me baiser, et, si un des Mâles présent voulait le torturer, il pourrait demander à ce que je le sois à sa place.

 

Pour commencer, j’ai eu droit à la « vengeance » de l’autre tapette.

 

J’ai été attaché sur la croix de saint andré. Il m’a mis des pinces aux tétons et m’a cravaché le torse et le sexe, avant de me frapper les couilles à coups de pied.

 

Après avoir été détaché, j’ai dû m’agenouiller devant lui et faire acte de soumission en adorant sa queue.

 

Les Mâles étaient tous bien chauds. On leur a ensuite servi de bâtards, tous les deux. On passait d’une tige à l’autre, offrant nos couilles, nos tétons, nos gueules.

 

Comme la soirée ne faisait que commencer, les mecs se retenaient de jouir.

 

Après cette première partouze, nous avons fait le service. J'avais préparé le buffet. Moi et l'autre salope servions les Mâles.

 

A un moment, le Maître a pris un plateau de canapés. Il a pissé dessus.  Les autres se marraient. Karim et Nicolas ont fait pareil. Cétait pour la lope et moi.

 

Après que chacun ait suffisamment grignoté, le Maître est passé aux choses sérieuses.

 

J'ai été attaché sur la table d'examen, bien serré, pour que je ne puisse pas bouger. Le Maître m'a attaché les chevilles avec un corde, qu'il a fixée à une poutre, pour me maintenir les jambes en l'air, le cul offert.

 

Il m'a ensuite gazé au poppers, puis ils s'y sont tous mis pour me torturer.

 

Le Maître a commencé par me mettre un écarteur dans la chatte. Le modèle le plus hard, en acier. Bien sûr, il n'était pas question de me le rentrer progressivement : il me l'a mis de force dans le trou. J'ai gueulé. Puis il a m'a écarté le trou au maximum. Ma chatte était béante, offerte aux Mâles.

 

Chacun ensuite s'est défoulé sur moi.

 

J'ai eu droit à la bougie, sur les tétons, le torse, les couilles et bien sûr le gland, aux pinces à seins.

 

L'autre bâtard m'a cravaché le matériel génital, puis Karim m'a planté des aiguilles dans les couilles.

 

Ils m'ont mis des électrodes et ils ont envoyé le jus.

 

Pour finir le Maître a allumé un clope, a tiré quelques taffs et me l'a écrasé dans le cul.

 

Après s'être défoulés sur moi trois quart d'heure environ, ils se sont occupés de l'autre pute.

 

Elle a dû sucer, ils l'ont enculé. De mon côté, j'étais toujours attaché sur la table de travail.

 

Comme la salope couinait un peu trop, Nico a proposé de la punir. Le batard a demandé que ce soit moi qui soit puni à sa place. J'ai eu droit à 10 coups de cravache sur le torse.

 

 

La soirée était déjà bien avancée. Le Maître a proposé de passer aux choses sérieuses.

 

 

 

 

 

 

 

 

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Mardi 27 juillet 2 27 /07 /Juil 20:07

Vers 6h00 du mat, Karim m’a réveillé.

 

Après la journée que j’avais passée à offrir mes trous, plus le tabassage en règle auquel j’avais eu droit, j’avais mal partout.

 

Le fait de dormir sur le sol de sa chambre n’améliorait évidemment pas les choses.

 

« J’ai envie de pisser. File moi ta gueule »

 

Je montais sur son pieu pour le prendre en bouche.

 

Il m’a pissé direct dedans.

 

« Tant qu’à faire, continue. Suce »

 

Je l’ai sucé le temps qu’il bande, puis il m’ a fait mettre à 4 pattes sur son pieu et m’a enfilé. Il m’a ensuite plaqué sur le lit en continuant de me défoncer la chatte, jusqu’à ce qu’il gicle.

 

« Tu peux retourner dormir, PD. Tu me réveilles à 11h00 »

 

J’avais mis le réveil de ma montre sur 10 heures. En me levant, j’ai été me doucher, me raser et faire un lavement. Ma chatte était encore douloureuse, à force d’avoir été ramonée.

 

Je suis descendu chercher des croissants et à 11h00 pile j’ai été le réveiller, en lui léchant l’entrejambe.

 

Il a pris son petit déj, puis a été aux chiottes.

 

5 minutes après il m’appelait pour que je lui bouffe le cul. Ensuite, il m’a ordonné de nettoyer les chiottes, cuvette et sol, en n’utilisant que ma langue.

 

Lorsque j’ai terminé, il était en slip sur le canapé, à regarder une vidéo.

 

« Au pied, chien. Tu peux me lécher les panards. Mais avant, va me chercher mes clopes »

 

Je me suis exécuté.

 

Il a allumé une Marlboro et je me suis mis à ses pieds, que j’ai commencé à lécher.

 

Karim ne s’était pas douché et ses pieds étaient bien odorants. Je passais la langue entre ses orteils, léchais religieusement ses panards.

 

« Ouvre la bouche »

 

J’ai obéi. Il a fait tomber la cendre de son clope dans ma gueule.

 

« Avale »

 

Quand il a eu fini sa cigarette, il me l’a écrasée sur l’un des tétons.

 

J’ai gueulé. Puis, j’ai dû bouffer son mégot, avec le filtre.

 

C’était dégueu. Pour faire passer, il m’a à nouveau utilisé comme pissotière.

 

A la fin du film, j’ai préparé la bouffe. Pâtes et steak haché.

J’ai servi Karim à table, nu. Lorsqu’il a eu fini de bouffer, j’ai eu le droit de manger quelques pâtes, mais sans steak. Elles étaient froides, mais je m’en foutais, j’avais la dalle.

 

Je lui ai servi un café, puis Karim m’a ordonné de le suivre. Il était crevé (et moi donc) et voulait faire une sieste.

 

J’ai eu le droit de m’allonger à côté de lui. Il m’a retiré ma cage à bite pour jouer avec mes couilles.

 

Il les tapait doucement. Malgré tout ça faisait mal.

 

Avant de s’endormir, il m’a fait mettre des menottes, attachées dans le dos, pour que je ne puisse pas me toucher. Ca n’était pas confortable, mais c’était moins dur que de dormir par terre.

 

C’est le Maître qui nous a réveillé, vers 6h et demie, quand il a sonné.

 

Karim m’a enlevé les menottes et m’a ordonné d’aller ouvrir.

 

En voyant le Maître, immédiatement, je me suis m’agenouillé à ses pieds.

 

Son entrejambe sentait l’homme. Après s’être laissé caresser et sniffer, il a sorti 5 capotes pleines de sa poche. Elles étaient nouées à une extrémité.

 

« Tiens, mon foutre. Tu vois, j’ai pensé à toi ce week end »

 

J’ai été prendre des ciseaux dans la cuisine et j’ai coupé les extrémités des capotes, avant d’en avaler le contenu.

 

Après que j’ai avalé le contenu des capotes, il m’a fait me relever et a commencé à me doigter le cul.

 

Je ne m’étais pas fait de lavement depuis le matin.

 

« Ton cul est crade. Tu sais que je déteste ça »

 « Pardon, Maître. Je n’ai pas eu le temps de faire un lavement. Je viens de me réveiller »

 

Pendant que je m’excusais, il avait retiré sa ceinture.

 

Mon « manque d’hygiène » m’a valu 15 coups de ceinturon.

 

Après m’avoir interrogé sur mon week end, sans entrer dans les détails, j’ai une dernière fois sucé Karim et nous sommes partis.

 

Pour le retour, j’ai eu droit au coffre et à la cage à bite.

 

En arrivant, le Maître m’a immédiatement envoyé prendre une douche et faire un lavement.

 

Puis, nous sommes montés au donjon. Il m’a suspendu par les poignets, bras écartés, m’a enlevé la cage à bite pour la remplacer per un poids qu’il m’a attaché aux burnes.

 

Comme à chaque fois, mes pieds ne touchaient évidemment pas le sol et c’étaient mes  bras qui supportaient tout mon poids. Au début, ça allait, mais plus ça durait, plus c’était douloureux.

 

Il m’ ensuite placé des pinces aux seins et des pinces à linge tout le long du flanc depuis les aisselles jusqu’aux hanches.

 

Il s’est installé dans un fauteuil et j’ai dû lui raconter en détail mon week end.

 

A mon Maître, j’ai évidemment parlé de Charles et de Lucas.

 

« Tu as leurs coordonnées ? »

« Oui, Maître »

« Tu me les donneras. Je les appellerai demain pour connaître leur sentiment sur ta prestation ».

 

Après une heure et demie suspendu par les poignets, mes bras me faisaient de plus en plus mal.

 

J’espérais, ayant fini mon récit du week end que le Maître me détacherait.

 

Au lieu de ça, il s’est levé pour aller prendre un fouet.

 

Il en a plusieurs, dont un qui fait particulièrement mal.

 

Il est en cuir très fin, mais tressé et très souple. Chaque coup est un supplice à lui tout seul.

 

« Tu t’es fait combien de mecs ? Une vingtaine, c’est ça ? »

« Oui, Maître »

« Pour le barème, ce sera simple. 20 coups. Tu les compteras »

 

Avant de cogner, il m’a quand même fait sniffer du popps.

 

Il s’était mis en slip. Il a écarté les jambes pour bien prendre son appui et il commencé à frapper.

 

J’ai hurlé dès le premier coup.

 

J’avais une zébrure rouge sur le torse.

 

« Un. Pitié, Maître »

« Ta gueule, pute »

 

Il a continué à frapper, jusqu’à 20. Je n’ai heureusement eu droit qu’à 5 coups sur le sexe. Plus, je n’aurais pas résisté.

 

Quand il m’a finalement détaché, j’avais le torse et l’entrejambe striés de marques rouges, certaines qui saignaient légèrement.

 

Il m’a enlevé le poids aux couilles et les pinces.

 

« Viens de décrasser maintenant »

 

Je l’ai léché sur tout le corps.

 

Il sentait la sueur, le sexe, le Mâle.

 

Pour finir, il m’a enculé, avant de me jouir dans la gueule.

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
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