Lundi 12 juillet 1 12 /07 /Juil 13:35

Le Maître était invité ce week end.

Vendredi soir, il m'a livré à Karim.

Nous sommes arrivés chez lui vers 21h00.

Immédiatement, Karim m'a ordonné de me foutre à poil.

Lui et le Maitre ont bu un verre, puis le Maître est reparti.

 

Karim s'est absenté pour passer un coup de fil. J'attendais, nu, à genoux.

Quand il est revenu, il était en slob. Il a commencé par m'enlever ma cage à bite  et m'a ordonné de le lécher.

 

Une dizaine de minutes plus tard, on a sonné à la porte.

Karim a été ouvrir. Il est revenu avec 3 autres mecs, deux beurs et un renoi, dans les 20/25 ans.

 

"Salue mes potes, bâtard"

J'ai été m'agenouiller à leurs pieds pour les sniffer, leur lécher l'emplacement du zob.

 

Le renoi a sorti sa queue. Il bandait un max. Il avait de grosses couilles, pendantes. J'ai foutu mon nez dessus, pour bien les sniffer, avant de les prendre en bouche puis de lui lécher la queue.

 

Pendant ce temps, les deux rebeus se déssapaient.

 

Un de rebeus s'est approché :

"Bouffe moi le trou". J'ai lâché le black pour m'occuper de lui, lui bouffer sa rondelle, la pénétrant avec ma langue, pendant que les autres mataient.

 

Le dernier m'a ensuite forcé à me relever. "Les mains sur la tête"

Il a commencé à me faire les seins.

Je gémissais doucement.

 

"Suce maintenant". Je me suis remis à genoux et j'ai commencé à sucer.

Le plus jeune des rebeus, d'abord. Sa bite a gonflé, je l'avais bien en bouche, elle était raide, dure.

Une fois bien en érection, le renoi a pris le relais.

 

Sa queue était la plus grosse. Ce salaud me l'enfonçait a fond dans la gorge.

Enfin, j'ai eu droit au dernier rebeu.

 

Pendant que le suçais, le black s'est mis derrière moi, a mis une capote et m'a enfilé.

Comme toujours, je n'avais pas eu droit à du gel.

"Laisse moi me poppériser"

"OK, sniffe bien, tu en auras besoin"

 

Vu la taille de son engin, il a eu du mal à me la mettre. Une fois en moi, il s'est déchainé, me défonçant le cul jusqu'à la garde.

 

Je continuais à sucer le rebeu.

 

Le black a fini par jouir.

"A nous maintenant, on va te filer nos deux zobs, commence par t'empaler sur moi"

Le plus jeune des beurs s'était allongé par terre et a enfilé une capote. Je me suis mis sur lui.

Ma chatte était déjà bien ouverte, je n'ai pas eu de mal à la prendre.

Puis, je me suis allongé sur lui, offrant mon trou, avec déjà une queue dedans à son pote.

Il s'est mis à 4 pattes pour me prendre à son tour.

Pendant qu'il enfilait une capote, j'en ai profité pour reprendre du popps.

 

Karim pendant ce temps nous matait.

J'avais deux queues de beurs en moi et tous les deux bandaient à mort.

Ils ont commencé à me limer, en synchronisant leurs mouvements.

Mon cul était complètement éclaté, ça faisait mal, mais c'était le pied.

J'étais vraiment traité comme un trou.

 

C'est le plus âgé qui a joui le premier, le deuxième s'est déchargé tout de suite après.

 

Après leur départ, Karim m'a foutu à genoux pour que je m'occupe de lui.

Il bandait comme un fou. Je l'ai caressé, léché, sucé.

 

"Viens dans la chambre"

Il m'a attaché sur le pieu, bras et jambes en croix, avant de se mettre sur moi, à 4 pattes et de me fourrer sa teub en bouche.

Il m'a laissé le sucer un moment, puis s'est relevé et a pris son ceinturon pour me cingler les couilles.

Je gueulais, mais ce salaud en avait rien à foutre.

Après les coups, il m'a torturé à la bougie, faisant couler de la cire sur mon torse, mes tétons et surtout mon gland.

Pour finir, il m'a détaché, a enfilé une capote qu'il a enduite de harissa et m'a défoncé le cul à son tour.

Ca faisait un mal de chien. Mais j'étais là pour ça.

 

Il était plus de minuit.

"J'ai envie de chier. Pendant ce temps, commence à faire le ménage. Y a de la vaisselle et la cuisine est crade. Pour les assiettes, tu utiliseras ta langue. Ca te fera à bouffer pour ce soir".

Avant d'aller aux chiottes, Karim m'a accompagné à la cusiine.

Elle était effectivement crade. Il y a avit des assiettes avec des restes de pizzas, des verres sales, le tout en vrac.

Il a pris les assiettes avec les restes de pizza et a pissé dessus.

"Ca leur donnera plus de goût. Bouffe"

Je commençais par bouffer les restes de pizzas. J'avais la dalle.

Puis j'ai commencé à ranger et à faire la vaisselle.

 

Je n'avais pas fini, que Karim m'appelait.

"J'ai fini de chier, nettoie moi le cul"

 

Il savait que je détestais ça. Le Maître ne pratique pas les plans scats (il trouve que ça n'offre aucun intérêt) mais Karim ça l'excite. Je me suis mis à genoux et j'ai commencé à lui bouffer le cul, malgré mon dégoût.

"Vas y plus profond. Sert toi de ta langue. Une raclure comme toi, ça sert à ça"

Je lui ai nettoyé le cul à fond, bouffant sa merde.

 

"Ok, il est tard. Tu dormiras par terre au pied de mon lit, au cas où j'ai besoin de tes services.

Tu mets le réveil sur 6 heures et demi. Tu me réveilleras à 7 heures et demi, avec mon petit dej. Je veux des croissants frais. T'as de la thune ?"

"Oui, le Maître m'a laissé 100 €"

"Ok, la boulangerie ouvre à 7 heures".

 

Karim m'a remis ma cage a bite et je me suis allongé par terre.

 

 

 

 

 

Par L'esclave - Publié dans : Karim - Communauté : Maitres et esclaves gay
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Lundi 5 juillet 1 05 /07 /Juil 12:59

Le Maître a inventé un nouveau jeu.

La semaine dernière, jeudi, il est rentré comme d'habitude vers 19h00.

Je l'attendais, comme chaque fois, nu, à genoux, douché, rasé, lavement effectué.

Je l'ai salué en sniffant, lèchant l'emplacement de son sexe.

J'espérais qu'il m'enlèverait la cage a bite que je portais depuis son départ, le matin. Il me l'a laissée en place.

 

Je lui ai servi un whisky, avant d'aller préparer le repas.

"Ce soir, tu n'auras rien à manger. Je trouve que tu as tendance à grossir".

 

J'avais prévu des filets de sole et du riz. Après avoir mis la table, pour lui seul, j'ai été le servir.

Pendant qu'il mangeait, je me tenais à genoux, à côté de lui.

 

Après le repas, j'ai débarrassé la table, fait la vaisselle.

Le Maître s'était mis à l'aise. Il n'avait conservé que son slip et s'était allongé sur le canapé, en ayant mis un DVD.

 

J'ai été m'agenouiller à ses pieds et ai commencé à les lui lècher.

 

"Tu peux sniffer mon slob et le lècher, mais ce soir tu n'as pas droit à ma teub. Compris bâtard ?"

"Oui Maître"

 

A la fin du film, il devait être 23h00.

 

"Prépare toi, PD. J'ai des projets pour ce soir. Enfile un jean et un  tshirt, nu dessous.Prends du popps".

 

Je me suis habillé comme indiqué, la cage à bite toujours en place.

 

Quand je suis revenu, il s'était rhabillé lui aussi.

 

Nous avons pris la voiture. J'ai été autorisé à m'asseoir à côté de lui.

 

Le Maître a pris l'autoroute, en direction de Rennes.

 

Dans la voiture, il avait mis un CD. Nous n'avons rien dit durant tout le trajet.

 

A Rennes, il a pris la direction de la gare et s'est garé à proximité.

 

"Prends le popps et sniffe"

J'ai obéi. Je ne savais pas ce qu'il avait en tête, mais de toute manière c'est lui qui déciderait.

 

Près de la gare, dans un coin il y avait 3 sdf qui pionçaient, par terre.

 

"Tu vois les mecs, là bas ? tu vas aller les sucer"

"Mais Maître, ils dorment. Et je ne sais pas s'ils auront envie"

"A toi de faire en sorte. Commence par celui qui est sur le dos. En plus, il est pas mal"

 

Je m'approchais du mec. Il devait avoir dans les 30 ans. Pas mal effectivement, mais avec un jean degueu, pas rasé (et sans doute je pensais pas lavé depuis un bail). Il était couché sur un sac de couchage pourrave, jambes écartées.

 

Je me suis agenouillé entre ses jambes et j'ai commencé à lui lécher la braguette.

Il a gémi, s'est à moitié retourné, puis révéillé.

 

"Hé, qu'esse tu fous. Je suis pas pédé".

"Y a pas besoin d'être pd pour se vider les couilles. Ca fait combien de temps que t' as pas joui ?"

 

Pendant ce temps, le Maître s'était rapproché.

"C'est ma pute, elle est là pour te sucer. T'inquiète pas, c'est seulement ta queue qu'il veut. Tiens"

Et de lui filer un bifton de 10 €.

 

Le mec a pris le bifton. "OK, mais je me fais pas mettre et je suce pas".

 

Je lui ai ouvert le jean. Il portait un slibard à poche, jaune de pisse. Ca puait un max !!!

Je deteste les odeurs, sauf celles du Maître. Mais je savais que le Maître ça l'excitait grave de m'obliger à m'avilir de la sorte. Je me suis obligé à le sniffer, lui lècher le slob. C'était degueu.

Puis j'ai sorti sa teub. Il bandait. Elle était bien raide, mais bien odorante également, avec un gland fromageux.

 

"Commence par le décrasser"

 

J'ai obéi.

 

La queue et les couilles du mec étaient à l'image de son slob, puants un max. J'ai maîtrisé mon dégoût pour le lécher; Il n'était peut être pas pédé, mais sous la caresses de ma langue, il a vite commencé à bander. Après l'avoir décrassé bien à fond, je lui ai décalotté le gland, pour le lui nettoyer. Il était particulièrement fromageux.

 

"Suce maintenant. Par contre, toi, tu lui jouis pas dans la gueule, OK ? Ca te fera un bifton de plus".

 

Je l'ai pris en bouche. Sa bite était tendue à l'extrême. Il gémissait de plaisir.

Après quelques minutes, il s'est retiré.

"Putain, je vais cracher"

"Jute lui sur le torse, vas y, vide toi de ton foutre".

 

Je me suis mis en arrière. Il a giclé un max. mon tshirt était trempé de foutre.

 

"Tiens, un deuxième bifton".

 

Pendant que je suçais le premier SDF, les 2 autres s'étaient réveillés et mataient, la teub à la main.

 

"On peut nous aussi ?"

"Evidemment, il est là pour ça. Mais pas dans sa gueule".

 

J'ai été m'agenouiller devant le plus âgé. Il devait avoir dans les 45 ans. Question hygiène, c'était le même style.

Sa queue était plus courte, mais plus grosse.

Après un décrassage approfondi, je l'ai pris en bouche à son tour.

Très vite, il s'est lui aussi vidé sur mon tshirt.

 

Le 3è avait déjà baissé son slob. Il avait lui aussi dans les 45 ans.

"Il nettoie aussi le cul"

"S'il vous plait, Maître, non"

 

"Evidemment, qu'il décrasse le cul. Et applique toi, bâtard"

 

Je n'avais pas le choix. le Maître avait ordonné.

J'ai commencé par lui lécher les fesses, puis le trou, espérant que je pourrais m'en tenir là.

"Bouffe lui le cul mieux que ça"

 

Son cul était dégueu. J'ai failli gerber. Mais je devais m'exécuter.

 

Quand le Maître m'a ordonné de lui décrasser le zob, ça a été un soulagement;

 

Après un nettoyage approfondi, je l'ai pris en bouche.

Lui aussi s'est vidé sur mon tshirt

 

Après avoir vidé les couilles des 3 sdf (et que le Maître leur ait filé à chacun les 20 € promis), on est parti.

 

Pour le retour, vu l'odeur que je dégageais et mon tshirt trempé de sperme, le Maître m'a mis dans le coffre.

 

En rentrant, il m'a envoyé me doucher, avant de me punir au fouet.

 

Je n'ai pas eu droit à sa queue : il s'est branlé devant moi, m'autorisant simplement à lécher sa semence sur le sol.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par L'esclave - Publié dans : Jeux divers - Communauté : Maitres et esclaves gay
Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Mardi 15 juin 2 15 /06 /Juin 23:25

Je suis uniquement PD, et pas vraiment branché odeurs.

Depuis peu, mon Maître a découvert de nouveaux jeux, et m'oblige à des rapports sexuels avec des meufs.

Avec les mecs, même si je ne suis pas un "mec" mais un PD, je n'ai pas de mal à bander, jouir, enculer. j'ai ce qu'il faut entre les jambes.

Bien sûr, c'est uniquement sur ordre et sous le contrôle de mon Maître, et je suis puni ensuite.

Avec les meufs, c'est différent.

Je n'arrive pas à bander, sauf à être battu, torturé en même temps.

Evidemment, c'est tout l'intérêt que mon Maître y trouve.

 

Depuis le plan que nous nous sommes fait avec un couple hétéro (elle sado et lui hétéro maso), mon Maître a levé une femelle maso.

 

Elle est venue un week end. Avant d'aller la chercher à la gare, le Maître m'avait attaché, nu, sur la croix.

Une heure plus tard environ, ils sont arrivés.

 

Elle était bien faite. Grande, mince, dans les 25/30 ans, plutôt androgyne que femelle, avec de petits seins;

 

En arrivant dans le donjon, elle était en jean et tshirt.

Elle ne portait apparemment de soutif, on voyait ses petits seins tendus sous son tshirt.

 

"Je te présente Marily. C'est une esclave, comme toi. Mais femelle. Je vais vous accoupler"

 

Immédiatement, elle s'est approchée de moi et a commencé à me caresser, à me lècher dans le cou, sur le torse, à me sucer les tétons, tout en frottant son entrejambe contre mon sexe.

 

Malgré ses caresses, je ne bandais pas.

 

Lorsqu'il s'agit de Cédric, la jeune lope que mon Maître m'offre de temps en temps comme vide couilles, je bande au quart de tour.

Là, ma queue restait flasque.

 

Le Maître m'a détaché et a ordonné à la meuf de se déshabiller.

Son corps était totalement lisse, bien proportionné, mais avec des seins et une chatte, là où j'aime les torses musclé, des couilles pleines et une queue raide.

 

"Assied toi, Marily. Et toi, va la sucer"

 

Je m'agenouillais aux pieds de Marily et je commençais à lui lécher la chatte.

"Mieux que ça, utilise ta langue. Elle doit mouiller, et tu dois lui offrir un orgasme"

 

Je m'appliquais de mon mieux, pénétrant sa chatte avec ma langue.

Visiblement, ça ne lui déplaisait pas. Elle commençait à mouiller.

Je trouvais ça horrible, la mouille d'une meuf. L'odeur était forte. le goût pire.

Constatant sans doute ma bonne volonté limitée, le Maître a pris une cravache et a commencé de me cingler.

 

J'ai dû la sucer longuement, puis, elle a eu un orgasme (du moins je pense). je l'ai vu se tendre, gémir.

 

"C'est bien. Tu as joui, Marily ?"

"Oui, Seigneur"

"Bien, tu connais la règle. le plaisir d'une esclave doit être puni. Agenouille toi"

 

Elle a obéi. Le Maître a pris la cravache et à commencé à la frapper sur le dos.

Il était beaucoup plus mesuré qu'avec moi dans les coups. Elle, de son côté, gémissait, criait.

Pour en faire une vraie esclave, il restait du chemin à parcourir.

 

Après lui avoir infligé une dizaine de coups, il m'a ordonné de la baiser.

"Je n'y arriverais pas, Maître. Vous savez que les meufs ne me font pas bander"

"Je m'en fous. Tu es mon esclave. Tu dois obéir"

 

Pendant ce dialogue, Marily s'était allongée sur le sol, jambes écartées, la chatte offerte.

J'enfilais une capote et m'allongeais à mon tour sur elle, en pensant à autre chose, à mon Maître, aux Mâles qui me baisaient, à Karim, à Cédric, tout en me frottant contre elle

Péniblement, j'ai commencé à bander. Je l'ai pénétrée. Mais quasi de suite, j'ai débandé.

Cela m'a valu 10 coups de cravache, qui m'ont à nouveau fait bander, mais avec le même résultat lorsque j'ai enfoncé ma queue dans sa chatte.

 

"Suce le, ce PD, sinon il ne va pas y arriver".

 

Je me suis allongé sur le dos.Marily m'a retiré la capote et m'a pris en bouche. Malgré ses efforts, je n'arrivai toujours pas à bander.

Cette fois ci, les coups de cravache ont été pour elle.

Pour finir, le Maître m'a remis une capote et serré les couilles dans un ballstretcher. Cela m' a fait immédiatement bander et j'ai pu enfin la pénétrer.

 

Craignant de débander, j'ai profité de mon érection pour la limer sans discontinuer. Et j'ai fini par jouir.

 

"Bien. Vous avez joui tous les deux. Je vais commencer par punir le PD. A la croix."

 

Le Maître m'a attaché, bras et jambes. Il m'a poppérisé bien à fond puis a pris un fouet cette fois-ci. Et a commencé à frapper.

10 coups, dont 5 sur le sexe.

Le fouet, à chaque fois qu'il s'abattait, laissait une marque sur mon corps.

Je méritais la punition : j'avais éjaculé.

 

Ensuite, il m'a détaché et ça a été le tour de Marily. Attachée à son tour et frappée, mais à la cravache et soft.

 

Pour finir, j'ai été mis en cage pour la nuit et le Maître est descendu avec la soumise.

 

Il m'a seulement sorti de la cage en début d'après midi, après l'avoir reconduite à la gare.

 

Il m'a donné 3 capotes, pleines de foutre.

"Vide les. C'est ma jouissance de la nuit. Avec la salope"

 

Par L'esclave - Publié dans : Jeux divers - Communauté : Maitres et esclaves gay
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Mardi 15 juin 2 15 /06 /Juin 22:49

Je n'ai pas été très présent sur mon blog, ces derniers temps.

Cela m'a valu une correction de la part de mon Maître.

Méritée. Tout ce que je subis comme punitions est mérité.

 

Ma seule excuse, qui ne justifie rien, c'est que mon Maître a été très exigeant ces derniers temps.

Et que ma priorité doit TOUJOURS être lui.

 

Le temps s'améliorant, il a recommencé à me mettre à dispo, en extérieur, sur des aires d'autoroutes.

Il m'a aussi imposé tout en week end de faire la pute pour lui.

Pas pour le fric, ce n'est pas ce qui le motive, mais pour me forcer à m'avilir toujours plus, pour lui, pour son plaisir; Et montrer à tous que je lui appartiens.

 

Depuis qu'il m'a fait rencontrer le couple bi, il a aussi pris goût à m'imposer des plans avec des meufs.

Baiser des PD ne me pose aucun problème : j'ai ce qu'il faut entre les jambes pour ça.

Par contre, avec les meufs, j'ai du mal à bander.

C'est tout l'intérêt de m'y contraindre.

 

En plus,  la mouille des meufs, je deteste. Là aussi, c'est ce qui l'excite.

 

Je vais faire en sorte d'être plus présent sur mon blog.

 

Pour mon Maître.

Parce que ce sont ses ordres

Par L'esclave - Publié dans : retour - pardon, Maître - Communauté : Maitres et esclaves gay
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Dimanche 18 avril 7 18 /04 /Avr 08:53

Je suis complètement accro au Maître, à son corps, à son sexe.

Cela vaut aussi pour son odeur, sa pisse, son jus.

J'aime le sniffer, le lécher, le boire.

La seule chose que je deteste c'est le scat. Ca ne le branche pas non plus. Mais si c'était le cas, je serais également à sa disposition pour ça.

Je n'aime les plans crades ou uro avec d'autres mecs.

Par contre, les odeurs du Maître font partie pour moi de sa virilité.

J'aime lui sniffer le slob, quand il l'a porté plusieurs jours, l'entrejambe, les aisselles, les pompes, les panards et le lécher longuement. J'aime l'odeur et le goût de sa sueur, de sa pisse, de son jus.

 

 

Je déteste le goût de la pisse. Je trouve ça franchement dégueu. Passe encore quand elle est bien claire, mais quand ce n'est pas le cas, c'est ignoble. En même temps, ça m'excite à fond quand il s'agit de la pisse du Maître parce que je ne connais rien de plus avilissant et que ça sort de sa queue de Mâle.

 Depuis que je lui appartiens, mon Maître n'utilise plus que ma gueule lorsqu'il a envie de pisser. Il lui suffit de claquer des doigts et de sortir sa queue et je viens m'agenouiller devant lui pour le boire.

Mon Maître pisse par a coups, pour me pemettre d'avaler au fur et à mesure.

Même quand il m'emmène au restaurant, s'il se lève pour aller  pisser,  je dois le rejoindre aux chiottes quelques minutes après pour le boire.

 

Mon Maître mouille un max. Et j'adore ça. Sa mouille sent bon le Mâle, et j'adore lécher son gland. Surtout que je sais qu'ensuite viendra le jus.

 

La queue du Maître, pour moi, est le symbole et la justification de son pouvoir. Tout ce qui en sort est évidemment sacré pour moi, sa pisse, mais surtout son jus.

Avant de rencontrer le Maître, je ne faisais pas de plans jus.

Mais une des premières choses qu'il m'a imposée quand on a commencé à se voir, ça a été de nous faire tester tous les deux. Clean tous les deux.

A partir de ce moment là, j'ai découvert le foutre.

Et je ne peux plus m'en passer.

Se sperme, c'est à la fois lui, son essence, le résultat de son plaisir, la preuve que je suis une bonne salope, qui le fait jouir et ma récompense quand j'ai morflé un max.

Mon Maître est un gros juteur et j'adore son foutre, épais et la façon dont il le crache,par à coups en me remplissant la gueule.

Il sait que je suis accro et lorsqu'il m'encule, la plupart du temps, il me lime mais en essayant de ne pas éjaculer, pour se finir dans ma bouche.

 

Qu'il s'agisse d'odeurs, de pisse, de mouille ou de jus, il n'y a qu'avec le Maître que ça m'excite.

Je deteste ce type de plans avec d'autres mecs. Quand il m'offre, je ne prends aucun plaisir à sniffer et lécher. Sans compter que le plupart du temps, quand il me prête c'est pour m'humilier, en m'offrant à des vieux, des gros, des moches. Pareil avec la pisse : avec les autres, il n'ay a plus que l'humiliation et le goût degueu. Evidemment, je bois. Mais c'est parce que j'en ai reçu l'ordre et que je sais que ça l'excite, lui.

Quant au foutre, c'est exclu : mon Maître y veille. Même Karim je ne le bois pas.

Par L'esclave - Publié dans : Le Maître - Communauté : Maitres et esclaves gay
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires

Présentation

Recherche

Derniers Commentaires

Calendrier

Avril 2024
L M M J V S D
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          
<< < > >>
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés