Mercredi 29 décembre 3 29 /12 /Déc 15:10

Le lendemain, on s'est réveillé vers midi.  Le Boss m'a détaché et m'ordonné de venir lui vider la vessie.

Après l'avoir bu, jusqu'à la dernière goutte, je l'ai décrassé à fond.

Très vite, il s'est mis à bander.

Il m'a fait mettre sur le dos, m'a foutu ses cho7 odorantes dans la gueule et à commencé à me doigter le q.

Deux doigts, puis trois. Ensuite il m'a enfilé sa pogne. J'ai couiné, d'autant que comme d'hab, je n'avais pas eu droit à du popps. Ca ne l'a pas empêché de continuer. Il m'a fisté un bon moment, en utilisant son autre main pour me malaxer les burnes.

 

Après avoir retiré sa main, il a enfilé une capote et m'a niqué comme une bête.

 

J'ai été prendre une douche rapide, puis préparer son déjeûner que j'ai été lui servir à table. Pendant qu'il mangeait, en m'envoyant de temps en temps un bout de steack ou une frite dans ma gamelle, j'étais à genoux à ses pieds.

 

Le temps de faire la vaisselle, un peu de ménage et je me remettais sur le net, pour faire le tapin.

 

Mes "coûts d'exploitations" que je devais lui rembourser, se montaient entre 120 et 150 € par jour. Je lui devais de nouveau du fric.

 

J'ai réussi à accrocher 3 mecs pour l'aprem. 240 €, plan q, lèche, suce, sodo.

 

Avant de partir au taff, j'ai comme chaque soir préparé nos casse croûtes. Pour moi, ce soir, juste un bout de pain. Facturé 10 € quand même.

 

Au boulot, les mecs avaient pris l'habitude de m'utiliser comme pissotière et de me sauter durant les pauses. J'étais la tepu de service et ils en abusaient. Le seul qui ne profitait pas de moi, c'était Joel, le céfran. Les PD apparemment c'était pas son truc !!!

 

Le plus vicieux, c'était Omar, l'un des blackos. Sa queue était monstrueuse et il savait s'en servir !!!

 

Quand à Said, il attendait son tour, à la fin du taff, et là j'avais droit à ma raclée avant de devoir le sucer et lui offrir mon q.

 

Jeudi, même scénario, tapin l'aprèm. Au taff, à la fin de la pause, quand tous s'étaient fait dégorger les burnes, Omar a proposé que je bosse dorénavant à poil.

 

"Ca sera plus commode quand on voudra le tirer, il aura pas à se deshabiller à chaque fois"

 

Said a trouvé que c'était une bonne idée. Les autres, ça les faisait marrer.

 

J'ai recommencé à bosser, entièrement nu, sauf les pompes de sécurité et des gants de manutention. Régulièrement, je me faisais "froler", palucher, voire doigter le cul.

 

En bonne chienne, je me laissais faire et tendais ma croupe quand un mec voulait me doigter.

Par L'esclave - Publié dans : Taff - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Mercredi 22 décembre 3 22 /12 /Déc 10:46

Il était 6h et demi quand on est rentré. Le Boss m’a attaché et dodo. J’étais épuisé.

 

Le lendemain, même scénario que la veille : ptit déj vers 10h00, douche, un peu de rangement/ménage.

 

L’aprèm, le Boss s’est « occupé » de moi. Il m’a attaché sur le lit, bras et jambes écartées, m’a fourré son calbut dans la bouche, m’a bondé les burnes et a pris une baguette pour me les frapper.

 

J’ai morflé grave.

 

Après les couilles, ça a été le tour de mes tits, puis j’ai eu droit à une séance d’électro et de bougie.

 

Pour finir, il m’a foutu une bougie (petit modèle) dans l’urètre, l’a allumée et l’a laissée fondre, jusqu’à ce que mon gland soit recouvert de cire.

 

J'ai été récompensé par sa queue..

 

 

Le soir, on est retourné au taff.

 

Les mecs me regardaient d’un autre œil. Le fait que je sois à leur dispo pour se vider les couilles semblait leur plaire.

 

Ce soir là, y avait pas mal de boulot et ils n’ont pas eu droit à une séance avant de commencer.

 

Saïd était toujours sur mon dos, à m’engueuler parce que j’étais trop lent. Et évidemment, les cartons les plus lourds étaient pour moi.

 

A un moment, un des mecs, un autre beur, Hakim, qui m’avait déjà sauté la veille, est venu vers moi.

 

« J’ai envie de pisser. Y parait que t’aimes ça. Tu viens ? »

 

Je l’ai suivi aux chiottes et me suis mis à genoux. Il a sorti son braquemard et me l’a fourré dans la tronche. Il avait la vessie superpleine. J’ai tout avalé.

 

« T’es une bonne pute et j’aime bien ta gueule. Suce moi en vitesse, avant que Saïd gueule »

 

J’ai commencé à l’astiquer. Ca a pas duré longtemps avant qu’il crache son jus. Il avait sorti sa queue juste avant de jouir et s’est vidé sur mon sweat. J’étais couvert de foutre.

 

En revenant, Saïd a tout de suite repéré que j’avais vidangé Hakim.

 

« La fiotte, que tu serves de chiottes, OK. Par contre, que tu en profites pour te faire niquer la tronche, c’est pas prévu. Y a les pauses pour ça. Là, c’est sur ton temps de travail. J’en tiendrais compte tout à l’heure »

 

« Mais, Chef, c’est Hakim qui m’a obligé »

 

« J’en ai rien à foutre. Si un ouvrier t’oblige, tu t’exécutes. Mais ça empêche pas que après tu devras en subir les conséquences »

 

A la pause, le Boss nous a rejoints.

 

« Le PD, tu vas directs aux chiottes et tu te fous à poil »

 

J’ai obéi, me suis dessappé et mis à genoux.

 

Il m’a rejoint avec deux autres mecs dont Saïd. L’autre, c’était Omar, le premier à m’avoir sauté.

 

« Qui s’occupe de donner du goût à son sandwiche ? Saïd ? »

 

« Non, j’ai pas envie de pisser là »

 

Omar s’est « dévoué » :

 

« Moi, je veux bien »

J’ai mis son sandwiche dans un urinoir et il a pissé dessus.

 

Puis, il m’a ordonné de le sucer, avant de me mettre debout, les mains appuyées au mur, cambré et de me sauter.

 

Pendant ce temps, 3 autres mecs nous avaient rejoints.

 

J’ai eu droit à leurs queue, dans la gueule d’abord, puis dans le cul.

 

Vers 4 heures, on a fini.

 

Je suis retourné aux vestiaires, me suis remis à poil et j’ai eu droit à 3 autres bites. Le seul qui m'avait pas encore sautén, c'était le céfran, Joël.

 

Après que les gars soient partis, le Boss et Saïd m’ont rejoint.

 

Saïd a enlevé son ceinturon.

 

« Ce soir, t’auras 5 coups de ceinturon en plus. Ca t’apprendra à sucer pendant ton temps de travail »

 

J’ai eu droit à 25 coups de ceinturon, dont 10 sur le sexe.

 

Ensuite Saïd m’a fait me relever.

 

« Comme ouvrier tu vaux que dalle. Mais t’es un bon tarba. Le tarba a droit à une récompense. Déshabille-moi »

 

Je me suis approché de lui, et j’ai commencé à me frotter contre son corps.

Il m’a roulé une pelle, tout en me faisant les tits.

 

Je luis ai enlevé son tshirt et j’ai commencé à lécher. Ca lui plaisait visiblement.

Après l’avoir bien chauffé, je me suis à genoux pour lui lécher les pompes de sécurité.

 

« Couche toi sur le dos »

 

J’ai obéi et il m’a& envoyé 5 coups de pied dans les burnes. J’ai couiné.

 

« Maintenant, occupe toi de ma queue »

 

Je me suis refoutu à genoux, j’ai sorti son engin et j’ai commencé à sucer.

 

Il bandait super. J’ai eu le droit de goûter à son gland bien humide, à lui bouffer ses couilles d’arabe vicieux et à le sucer longuement.

 

Pour finir, il m’a foutu à 4 pattes et m’a sauté comme une pute.

 

« A demain »

 

Le Boss m’a ordonné de rester à poil. Il m’a foutu dans le coffre de la bagnole pour rentrer.

 

Une fois dans l’appart, il m’a attaché sur le pieu et m’a torturé à la bougie avant de se faire sucer et de m’enculer à son tour.

 

 

 

 

 

Par L'esclave - Publié dans : Taff - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Mercredi 22 décembre 3 22 /12 /Déc 10:44

On a été dans l’entrepôt. Y avait une trentaine de remorques à quai, à charger.

 

Saïd est venu me voir.

 

« Bon. Ca, c’est tes ordres de chargement, dessus y a le numéro de la remorque. Tu vois les palettes, là au début de l’allée 3. Tu les dépalettises, tu prends un ou deux cartons, tu les fous sur le diable et tu les vas les mettre sur les palettes derrière les remorques. Sur l’ordre de chargement, t’as le nombre de cartons pour chaque remorque. T’as pigé la fiotte ?

 

« Oui, Chef »

« Bon, alors au taff »

 

Les cartons pesaient une tonne. A chaque fois, fallait les prendre, les mettre sur le diable, les apporter à côté de la remorque et les reprendre pour les poser sur la palette. Les autres en apportaient d’autres, visiblement plus légers.  Cette enflure de Said m’avait filé les plus lourds.

 

Quand la palette était pleine, les mecs du chargement la filmait et la rentrait dans la remorque avec un chariot élévateur. Pour eux, c’était cool !!!!

 

Après une demi-heure, j’étais en nage et les bras me faisaient mal.

 

Saïd était tout le temps sur mon dos, à m’engueuler parce que j’étais trop lent.

 

Les autres, ça les faisait marrer !!!!

 

A une heure du mat, c’était la pause. Le Boss nous a rejoints.

 

« Alors, la tapette, Saïd, t’en penses quoi ? »

« Ben, c’est pas un cadeau. Il est lent et ça manque de muscle »

« Faut qu’il apprenne. Je compte sur toi, il est là pour en baver »

 

On a été au réfectoire. Avant de partir, j’avais préparé deux sandwiches, un pour le Boss, un pour moi, facturé 10 €.

 

J’ai tendu son sandwiche au Boss.

 

« Déballe le tien et suis moi »

« Oui, Boss »

 

 Il m’a emmené aux chiottes. Les autres ont suivi, pour voir ce qui se passerait.

 

« Fous ton sandwich dans une pissotière. »

 

J’ai obéi. Il a sorti sa queue et a pissé sur mon sandwiche. Quand je l’ai repris, il était total détrempé.

 

« Maintenant tu peux le bouffer »

 

Les mecs se sont marrés. J’ai tant bien que mal bouffé mon sandwich.

 

« La pause c’est trois quarts d’heure. Tu te mets à poil et tu restes aux chiottes, s’il y en a qui veulent pisser, ta gueule sert d’urinoir. Et tu files tes trous à tous ceux qui les veulent. »

 

Le Boss a pris mes fringues et les as emportées avec lui. Les autres mecs ont regagné le réfectoire eux aussi, sauf le  deuxième black qui est resté. Il a sorti son zob, m’a forcé à le sucer, puis m’a tiré, à 4 pattes.

 

Trois autres mecs ont suivi. Sur les 9 mecs de l’équipe, 5 m’avaient déjà niqué.

 

Quand je suis ressorti des chiottes, à poil, après m’être fait défoncer, les mecs m’ont maté.

 

« Alors, tu en as bien profité ? Tu t’es bien fait démonter ton petit cul, la salope ? Mais c’est pas tout, après le plaisir, le boulot. Y a encore du taff »

 

Je me suis rhabillé en vitesse et j’ai recommencé à transporter mes cartons.

 

On a fini vers 4 heures et demie.

 

Les chauffeurs arrivaient vers 6 heures. Les mecs ont été aux vestiaires, se changer. L’un des beurs, qui ne m’avait pas baisé, m’a emmené aux chiottes pour me pisser dans la gueule et se faire sucer. Il m’a juté sur le sweat. Le Boss est arrivé à ce moment là.

 

« OK les mecs, à demain. Saïd, tu peux rester 5 minutes ? »

 

« Ouais, sans problème »

 

Les autres sont partis en rigolant entre eux. Je me doutais que j’étais leur sujet de conversation.

 

« Alors, le nouveau,  tu le trouves comment ? »

« Comme trou a bite, il a l’air d’avoir du succès, mais au boulot, c’est pas ça »

« Je t’ai dit, faut qu’il apprenne. Et si ça rentre pas assez vite, hésite pas à le cogner »

« Putain, faudrait que je passe mon temps à ça. Jamais vu un mec aussi lent »

« Ben vas y »

« Là, maintenant ? T’es sérieux ? »

« Ben ouais. T’as qu’à prendre ton ceinturon »

« Toi, le PD, nu »

 

Saïd a enlevé son ceinturon.

Je m’étais agenouillé, à 4 pattes.

 

Il a levé sa ceinture et a commencé à me cingler sur le dos.

Cet enfoiré de salaud cognait pour de bon !!!!

J’ai gueulé.

 

« T’inquiètes pas Saïd, il a l’habitude d’encaisser. Mais me le démolis quand même pas complètement. Demain, faut qu’il bosse. Pour ce soir, une vingtaine de coups, ça devrait faire l’affaire »

 

Après m’avoir envoyé les 20 coups autorisés, Saïd a sorti sa teub à son tour.

 

« Putain, ça m’a excité de te démolir. Suce »

Je l’ai pris en bouche et l’ai fait jouir.

 

 

 

Par L'esclave - Publié dans : Taff - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Lundi 20 décembre 1 20 /12 /Déc 19:42

Il était plus d’une heure du mat quand on est rentré. J’étais crevé, le q explosé, j’avais mal partout.

 

Le Boss m’a envoyé prendre une douche pour enlever tout ce qui restait de cire. L’eau chaude m’a fait du bien.

 

J’espérais qu’on irait se pieuter, mais il ne l’entendait pas ainsi. Il a commencé par m’obliger à lui lécher le cul, avant de me pisser dans la gueule et de se faire sucer. Pour finir, il m’a tiré une dernière fois.

 

Finalement, il m’a menotté dans le dos, et j’ai pu enfin dormir, par terre.

 

Le Boss avait mis le réveil sur 10h00.

 

A son réveil, comme la veille,  il s’est vidé la vessie dans ma gueule, avant de me détacher et de m’envoyer chercher des croissants pour lui.

 

J’ai préparé le ptit déj. Pendant qu’il le prenait, j’étais à genoux à ses pieds, à lui décrasser les panards.

 

« Bon, c’est le bordel. Il est temps que tu fasses le ménage. Mais avant, je vais t’attacher les couilles »

 

Il m’a serré les couilles avec une cordelette dont il fixé l’autre extrémité au collier que je portais autour du cou.

 

J’ai commencé par ranger les différentes pièces, pendant que le Boss prenait une douche. Puis je me suis occupé de la cuisine, j’ai fait les poussières. La salle de bain était une vraie pateaugoire après sa douche.

 

« Pour les chiottes, tu te sers comme d’hab de ta langue, compris la pute ? »

« Oui, Boss »

 

Après avoir remis l’appart d’aplomb, le Boss m’a renvoyé à la cuisine, préparer son repas. Steack frites pour lui, un demi steack pour moi. Je l’ai servi à table.

 

« Toi, à 4 pattes, et tu bouffes dans une gamelle, sans couverts, comme un bon dog »

« Oui, Boss »

 

Après avoir fini le repas, le Boss est parti s’allonger sur le canapé, pendant que je faisais la vaisselle.

 

Quand j’ai eu fini, j’ai été au salon, à 4 pattes, comme je devais le faire, pour lui demander ses ordres.

 

« Chui crevé, je vais roupiller un peu. Toi, tu peux prendre une docuhe, et fais toi un lavement. Après, tu pourras retourner draguer sur le net. Même si t’es à jour de tes coûts d’exploitation, le compteur continue de tourner. Tu as carte blanche pour les tarifs, tâche de prendre de l’avance. Et les plans c’est à la cave. Tu me réveilles au plus tard à 18h30. Pigé, raclure ? »

« Oui, Boss. Merci, Boss »

 

Je me suis remis sur le net. Y avait pas foule, mais j’ai quand même réussi à lever trois mecs. Deux actifs, pas intéressés par un plan sm, mais à 80 €. Une vieille salope qui voulait que je la saute, pour 100.

 

Je suis uniquement passif avec les Mâles, mais si on me l’ordonne, j’ai pas de problème pour servir d’étalon. Je bande au quart de tour et bien dur. J’ai accepté.

 

Les deux mecs qui m’ont baisé, rien de particulier à en dire. Plans rapides, lèche, suce, vaguement travail des nibards, sodo et bye.

 

La salope est venue en dernier. 60taine, tout sauf bandant.

 

On a été à la cave. Les marques que j’avais sur le corps l’excitaient. J’ai joué les mecs, pour une fois. Je l’ai fait se foutre à poil, tout en l’insultant, la traitant de tarlouze, l’obligeant à se mettre à 4 pattes, à ramper, à me lécher les panards, le q.

Je l’aurais bien cogné, mais c’était pas son truc.

Pour finir, je lui ai filé ma bite à sucer.

Malgré son physique plus que moyen, c’était une bonne chienne, bien accro au zob. Elle m’ fait bander, la tapette !!!!

 

Quand j’ai eu la bite bien raide, je l’ai fait s’accroupir,  son q cambré et je l’ai défoncé un max. Il couinait comme une chienne !!!!

 

Après m’être déchargé, je l’ai fait se rhabiller, mais en gardant son slob (un string noir plutôt sexy) comme trophée et je l’ai renvoyé avant de remonter à l’appart.

 

Le Boss était sur le canapé et roupillait.

 

J’ai encore répondu à quelques messages, laissé mon mail à des mecs intéressés (autant garder le contact, vu ce que je devais payer au Boss, j’aurais encore à louer mes trous), puis j’ai été reveiller le Boss.

 

Je lui ai raconté mon aprèm, filé les 260 €. Quand il a appris que j’avais enculé un mec, j’ai eu droit à une raclée, pour avoir joui.

 

J’ai préparé un diner rapide, spaghettis bolognaises, fait la vaisselle et on et parti vers 9h et quart pour aller au boulot. J’étais fringué normal, jean sweat blouson cuir noir.

 

L’entrepôt était pas très loin, 20 minutes en bagnole.

 

Il devait être 21h45 quand on est arrivé. Le Boss m’a ordonné de rester dans la bagnole, le temps que l’équipe du soir se barre et de rentrer vers 10h moins 5, en allant direct aux vestiaires, où il serait.

 

J’ai vu sortir des mecs et d’autres entrer.

 

A 10h moins 5, je suis sorti de la bagnole, j’ai fermé la porte et suis rentré à mon tour dans l’entrepôt.

 

Les vestiaires étaient à gauche. J’y ai été direct.

 

Il y avait le Boss et 9 mecs, un céfran, deux blakos et les autres des rebeux.

 

« Ah, te voilà. Les mecs, je vous présente Christophe, il est là en intérim pour un mois, pour remplacer Hassan »

 

Un de beurs, j’ai appris après que c’était Said, le chef d’équipe, a apostrophé le Boss

 

« Hé, Jacky, tu te fous de nous ? Qu’est ce tu veux que je foute avec lui ? Pour le taff, y me faut des mecs, pas des tapettes. T’as vu son gabarit ? »

 

« Ben faudra faire avec Said. Et c’est pas parce qu’il est pas foutu comme un déménageur qu’il peut pas bosser. Ca sera à toi de t’en occuper. »

 

« Mais là où t’as pas tort, c’est quand tu parles de tapette. Parce que c’en est une. Et une superbonne en plus. Et vous pourrez le tirer autant que vous voudrez, il aime ça »

 

« Et, qu’est ce tu crois, Jacky, on n’est pas des PD »

 

« Je sais que vous avez des couilles. Mais c’est pas parce que vous baisez une tapette que ça fait de vous un PD. Par contre, y a une chose que je sais, c’est que les fiottes, quand il s’agit de sucer ou de se faire enculer, y a pas mieux »

 

« Pourquoi, tu l’as niqué ? »

 

« Et comment, et il m’a complètement asséché les couilles »

 

« Moi, jme suis déjà fait un PD et c’est vrai que c’était bon »

 

« T’as vu, Omar lui il est partant »

 

« Toute façon, Omar, y tire n’importe quoi »

 

« Bon, c’est pas tout ça. Il est là pour bosser, et pour le reste, si vous voulez vous le faire, il est à votre disposition. Il demande que ça.

Et s’il y en a qui veulent commencer tout de suite, comme y a pas trop à charger ce soir, je vous laisse un quart d’heure avant de commencer la taff »

 

« Et Said, je te le confie et file lui les trucs les plus durs. Faut qu’il s’y mette »

 

Omar s’est approché de moi.

 

« Alors, la tapette, t’as envies de goûter à de la queue de black ? »

« Oui, j’adore ça »

« Ben tu vas être servi »

 

Il m’a emmené dans le réfectoire qui était à côté et a commencé par me rouler une pelle, tout en se frottant contre moi. Je sentais sa queue durcir. Et visiblement, le calibre était intéressant.

 

« Déshabille toi, chéri, et montre moi ton petit cul »

 

Je me suis foutu à poil.

 

« Ouahh, c’est quoi toutes ces marques ? Tu t’es fait tabasser ? »

« Oui. Et j’aime ça »

« Putain, les mecs, venez voir »

 

Les autres, y compris le Boss,  nous ont rejoints.

 

« Regardez. Il se fait cogner et il paraît qu’il aime ça »

 

« Oui, je vous l’avez pas dit, mais en plus il est maso. Donc, s’il y en qui veulent casser du PD, vous pourrez vous défouler »

 

Pendant ce temps, je m’étais agenouillé devant Omar et je lui léchais l’emplacement du zob.

 

Il a détaché sa ceinture et a enlevé son fute. Il portait un slob à poche, pas vraiment clean.

Sa teub était en érection et sortait largement du slip.

 

J’ai commencé par lui lécher le gland.

 

« Ouahh, c’est bon. Vas y doucement »

 

« Bouffe moi les couilles, Chéri, j’aime ça »

 

Je lui astiquais la queue, elle était superbe, bien droite et ça sentait bon le Mâle.

Il m’a laissé faire un moment, avant de me forcer à me relever et de me coincer contre la table.

 

J’avais les bras tendus sur la table, le cul cambré, offert.

Je lui ai passé une capote, il l’a mise et m’a enfilé direct.

 

Avec ce que j’avais subi la veille et l’après midi, j’étais bien ouvert.

Ca m’a pas empêché de couiner.

 

Les autres mataient, en se marrant.

 

Omar, lui me défonçait la chatte, bien à fond.

 

Ca a duré un bon moment, je gémissais de plaisir.

Puis il a joui. 

 

Said a sonné la fin du spectacle, en disant qu’il y avait du taff et que les autres, faudrait qu’ils attendent la pause.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Par L'esclave - Publié dans : Taff - Communauté : Maitres et esclaves gay
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Mercredi 15 décembre 3 15 /12 /Déc 18:27

Hubert a commandé les pizzas. 2 grandes.  Puis lui et me Boss ont été s'asseoir dans un fauteuil. On les a rejoint, Steph et moi, à 4 pattes pour leur décrasser les zobs.

 

Pendant qu'on leur léchait les couilles, le gland, la queue, ils discutaient entre eux.

 

Hubert était intéressé sur la façon dont j'avais été confié au Boss, ce qu'il envisageait.

 

Steph et moi étions à genoux devant les Mâles, à vénérer leurs queues.

 

Les pizzas sont arrivées peu après. Hubert a enfilé son fute et un tshirt pour ouvrir au livreur.

 

Il est remonté avec les boites, deux couteaux, et deux cocas et deux verres.

J'avais la dalle. Lui et le Boss on découpé les pizzas, le centre pour eux, les croutes pour Steph et moi.

Puis Hubert a pris un verre, pour pisser dedans.

"Ca, c'est pour toi"

Le Boss s'est marré et a fait pareil, en offrant le verre à Steph.

 

Après avoir mangé les pizzas et vidé les verres de la pisse des Mâles, on est passé aux choses sérieuses.

 

Steph a été attaché sur la croix de St André, pendant qu'Hubert m'a ordonné de m'allonger sur la table de travail.

 

Il a commencé par m'attacher les poignets, m'a fait mettre les pieds dans les étriers dont la table était munie, avant de me les attacher également et de les écarter au max.

 

Puis il a pris une cordelette, avec laquelle il m'a attaché les couilles, hyperserrées. Il a fixé l'autre extrémité à un anneau, en tendant la cordelette au max. J'avais les couilles tirées à fond, vers le haut. Immédiatement, je me suis mis à bander.

 

"Je vois que tu attendais ça. Je vais bien m'occuper de toi"

Il m'a fait sniffer du popps.

 

Puis, il a pris un gode gonflable, qu'il m'a enfoncé dans la chatte, avant de le gonfler à fond. J'étais écartelé sur la table, les couilles étirées, la chatte éclatée, complètement offert.

 

Hubert a pris ma queue en mains et a commencé par la caresser. Je bandais à fond. Il m'a décalotté le gland. Ensuite, il a été prendre un plug urétral, qu'il a commencé par desinfecter bien à fond, avant de me l'enfoncer dans l'urêtre. Je n'ai pas pu faire autrement que de hurler.

Ca ne l'a pas empêché de me l'enfoncer à fond.

 

Le Boss pendant ce temps s'occupait de Steph. Je l'entendais gémir mais attaché comme je l'étais, je ne voyais pas ce qu'il subissait.

 

Une fois le plug urétral en place, Hubert a pris une petite cravache et a commencé à me cravacher les couilles.

 

Puis, ça été le tour de mes tétons. Il a commencé à me les travailler, avant de me les munir de niplle sticks, réglés au max. Pour finir, il a pris une bougie, l'a allumée et a a commencé à faire couler la cire sur mes tits.

Comme il la tenait proche de la peau, la cire était brûlante. Je chialais, je gémissais de douleur, mais attaché comme je l'étais je ne pouvais que subir !!!!

 

"Ca fait mal, Pédé ? Ce n'est que le début. J'aime ça"

 

Après m'avoir couvert les tétons et les pecs de cire, il m'a permis  de reprendre du popps.

Avant de repasser à mon sexe.

J'ai à nouveau eu droit à des coups de cravache dans les couilles, avant qu'il ne me les branche sur l'électricité. Les décharges étaient douloureuses, il avait dû régler le transfo en position hard.

Puis, j'ai eu droit là encore à une séance de bougie. Cire sur les couilles, la queue et surtout le gland.

Il m'avait prévenu que je dérouillerais, j'étais servi.

 

Steph morflait aussi, si j'en jugeais par les coups que j'entendais et ses gémissements.

 

Pour finir, j'ai été cravaché sur tout le corps. Hubert m'a ensuite laissé là, attaché sur la table, pour rejoindre le Boss qui s'occupait de Steph.

 

Je l'entendais gueuler et une fois il a dit "Stop". Hubert a confirmé le signal d'arrêt. En ce qui me concerne, j'avais résisté jusqu'au bout.

 

Après, je ne sais pas, une demi heure, ils sont revenus tous les trois. Hubert m'a détaché, enlevé le plug urétral et retiré le god. J'avais mal partout. Steph lui avait été battu, sévèrement si j'en jugeais par les marques sur son corps. Il portait encore des pinces a seins. Ils les lui ont aussi enlevées et il n'a pas pu s'empêcher de gémir.

 

Une fois libréré, je me suis immédiatement agrnouillé devant Hubert.

 

"Tu es un bon bâtard, ton Maître peut être fier de toi"

Pour finir, Ils nous ont une nouvelle fois enculé chacun.

 

En partant, Hubert a demandé au Boss s'il était partant pour remettre ça.

"Bien sûr, et je te ferais même un prix"

 

 

 

Par L'esclave - Publié dans : Taff - Communauté : Maitres et esclaves gay
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